On me dit très exigeant : cela nuirait-il à mes relations ?
Dire d’un homme qu’il est exigeant, c’est incontestablement souligner l’une de ses qualités. En amour, cela signifie se faire une haute opinion de l’aventure dans laquelle on souhaite se lancer, des sentiments, de ce qu’on cherche à construire, de la femme qu’on a envie de rencontrer.
Pourtant, l’exigence a ses excès. Elle peut aussi être une prison invisible, parfois totalement imperceptible, dans laquelle on se retrouve enfermé : on est alors incapable de construire.
Aimer, c’est accepter l’autre tel qu’il est, avec ses défauts, ses qualités, avec lesquels on compose, comme notre partenaire le fait avec nous, pour former un couple équilibré.
Bien loin de cette situation idéale, que se passe-t-il lorsque ces spécificités, ces petits travers qui font aussi l’autre nous deviennent insupportables ?
Quand on perçoit chaque imperfection comme une menace à la possibilité d’une relation voire d’un amour ?
Lorsque l’exigence devient systématique et montre ses limites ?
Etre trop exigeant, une forme de blocage dont il faut rapidement cerner les origines pour trouver le chemin vers la confiance et vers la rencontre de l’autre. Love Intelligence® vous propose une analyse pour vous éclairer et des solutions pour avancer.
Vos relations ne vous satisfont jamais complètement ?Vous vous demandez si vous n’êtes pas trop exigeant ?Nos experts vous aident à distinguer les bonnes exigences des mauvaises pour donner un nouveau souffle à vos relations.
L’exigence, mal du siècle ?
Les hommes sont devenus plus exigeants qu’avant
… et encore plus passés 30 ans !
Naturellement, l’exigence s’accroît à mesure qu’on avance dans la vie — dans sa vie professionnelle et sociale comme dans sa vie privée et affective. On est plus exigeant à 30 ans qu’à 20 parce qu’on se connaît mieux et que l’on considère ses relations avec davantage de recul.

Pour autant, sait-on vraiment bien distinguer ses attentes fondamentales, légitimes, des autres ?
N’a-t-on pas tendance, plus souvent qu’on ne le pense, à confondre le nécessaire et le secondaire ? À juger l’autre trop rapidement ? À se crisper sur des détails ?

Car à trop en demander, on finit par en oublier l’essentiel : nouer une relation stable et épanouissante avec l’autre.
Conséquence d’une possibilité étendue de choix que n’avaient pas nos grands-parents (voire nos parents dans certains milieux), cette exigence accrue jusqu’à l’absurde ne serait-elle pas liée à :
Une certaine immaturité…
Des peurs enfouies…
Un manque de confiance en soi ?
Les exigences qui font obstacle à toute possibilité de relation amoureuse.
Des exigences excessives finissent par faire obstacle à toute possibilité de relation amoureuse.
C’est tout le problème ! Mais comment distinguer alors les exigences naturelles de celles qui devraient être secondaires et qui nous amènent à polluer nos relations ?
Pourquoi se laisse-t-on trop facilement — et trop vite — aller à l’évaluation, au jugement ?
Une rencontre, c’est de l’inconnu qui surgit. Or l’inconnu fait peur. Et l’enjeu est grand, immense : un grand amour, un amour qui dure, c’est une vie qui change, c’est le bonheur qui se laisse approcher.
L’enjeu est si important qu’on veut trop vite savoir, faire le tour de « la question ». Pour se rassurer, on juge, on distribue les bons et les mauvais points… souvent sans laisser la liberté à l’autre de s’exprimer, et surtout sans se laisser le temps de le découvrir. Sentiment et évaluation ne font pas bon ménage.
Les valeurs communes sont fondamentales pour construire un couple qui dure.
Mais indépendamment ces points d’attirance qui vous ont rapprochés,
qu’êtes-vous en droit d’exiger de l’autre ?
Vous êtes en droit d’attendre d’être respecté (sans oublier de respecter en retour)
Vous avez raison d’exiger que votre relation se place sous le signe de la sincérité, de l’honnêteté.
Vous ne devez pas craindre de parler, d’exprimer vos opinions, vos souhaits.
Portrait d’un homme trop exigeant
Portrait d’un homme trop exigeant
Il dit avoir envie d’une relation stable et épanouissante, pourtant il multiplie les relations courtes.
La raison ? Aucune jeune femme ne trouve grâce à ses yeux :
- il aime qu’elle soit sexy et séductrice quand cela lui est adressé mais ne supporte pas que d’autres hommes se retournent sur elle dans la rue.
- il aime les femmes indépendantes mais ne supporte pas que sa petite amie n’ait pas le même avis que lui ou montre des connaissances aussi pointues que lui sur certains sujets.
- aux prémices de l’engagement, il s’attache à des détails qu’il déclare rédhibitoires et se dédouane ainsi de l’échec de la relation.
On le sait, partir en quête d’une relation, établir un lien, suppose un minimum d’exposition : cela suppose d’aller se frotter à l’autre, à sa réalité, à son incomplétude, et surtout au risque d’être rejeté.
Un certain nombre de personnes préfèrent redoubler d’exigence que d’accepter deux aspects indissociables de la rencontre amoureuse :
- L’ouverture à l’autre : dans toute relation, il ne suffit pas de se montrer sous son meilleur jour, il faut être attentif, lui poser de véritables questions pour la découvrir.
- La volonté de l’effort : le bien-fondé de la relation en dépend.
Il s’agit de mettre tout en œuvre pour comprendre l’autre sans la juger. Dans cette démarche, ces hommes font preuve d’une immaturité affective évidente. Ils n’ont pas le sentiment d’avoir des exigences plus élevées ou décalées par rapport à leurs semblables. Et pourtant !
Qui se cache derrière un homme trop exigeant ?

En général, un homme qui se cache derrière une exigence extrême est un homme qui a peur de s’engager, et qui finalement sabote lui-même de belles relations en devenir parce qu’il craint de ne pas être à la hauteur. Mais, tout comme la femme exigeante, il ne se l’avoue pas ou n’en a pas conscience.
Je ne me reconnais pas dans ces portraits
Vous vous dites « Non, ce n’est pas que je sois exigeant(e). Mon problème, c’est que l’autre m’ennuie vite » ou « je ne tombe jamais amoureux ».
Et bien si, votre problème vient de votre exigence. Car vous devez comprendre que « la vraie rencontre de l’autre » ne vous intéresse pas, vous vous cantonnez à une fausse idée, irréalisable, de la rencontre amoureuse.
Quand vous aurez accepté de connaître véritablement l’autre, d’aller à sa rencontre, vous pourrez nouer des relations amoureuses satisfaisantes.
Comment se manifestent ces exigences et que masquent-elles ?
L’exigence se manifeste non seulement par des désirs très précis et presque irréalisables, mais également par un rejet, à travers des déclarations péremptoires, catégoriques, définitives, sur le mode : « Moi ? Une femme comme ça ? Jamais ! Impossible ! »
Nous connaissons tous des amis qui s’exclament — ou il nous est déjà arrivé, nous-mêmes, de proférer : « Moi ? Vivre quelque chose avec une femme qui ne porterait pas de tenues classes, parfaitement entretenues ? Impossible ! », « Moi, il est hors de question que je me retrouve avec une femme plus grande que moi ! »
Pourquoi cette volonté de se distinguer d’une autre catégorie de personnes, souvent jugées à l’emporte-pièce ?
Ce qui fait le charme de la rencontre, c’est son essence : l’inconnu, l’inattendu, la surprise…
Une vision égocentrique
- S’arrêter à une tenue un peu classique, à la taille de quelqu’un, c’est privilégier la dimension du paraître, superficielle.
- C’est se couper de l’humanité de l’autre, de sa profondeur, de sa richesse intérieure, de son histoire.
- C’est rester séparé d’elle par un écran fantasmatique fait de stéréotypes et de visions idéalisées – ne rien faire pour crever cet écran qui empêche la rencontre.
- On se retrouve enfermé dans sa tour d’ivoire, confiné à ses attentes personnelles.
- En se barricadant dans la toute-puissance (l’autre doit être comme je veux qu’elle soit !), comme si le fantasme était capable de faire advenir la réalité, on rate nécessairement la rencontre – ce qui fait son essence : l’inconnu, l’inattendu, la surprise… Bref, on est dans l’impasse.
Comment se manifestent ces exigences et que masquent-elles ? (2)
La peur
- Si l’on attire l’attention de celui qui vient de dire, par exemple, « Je ne pourrai jamais aimer une femme plus grande que moi » sur son propos, on observe souvent le même paradoxe.
- En fait, cet homme ne considère aucunement que les femmes plus grandes — voire n’ayant pas de vêtements haute-couture !… — seraient indignes d’être aimées. Ce n’est pas une condamnation morale générale !
- Mais il fait une exception pour lui-même.
C’est-à-dire qu’il s’exclut du champ des possibles : aimer une telle femme, ce serait possible pour les autres hommes, pas pour lui. Mais pourquoi ?
C’est une façon de masquer sa peur de ce que représente une rencontre.
On a tellement peur de ne pas plaire assez, de ne pas être assez séduisant, pas assez « bien », pas assez aimable, qu’on se sert inconsciemment d’un détail pour rendre la rencontre d’emblée impossible, et même impensable.

Tel aspect pourtant superficiel, secondaire devient rédhibitoire : la rencontre ne peut pas avoir lieu et on évite ainsi, sans s’en rendre compte, de se confronter à l’épreuve de la réalité.
Trois clés pour se défaire des exigences inutiles
On l’a dit, l’attitude d’un homme trop exigeant peut parfois le rendre antipathique aux yeux de certains, qui penseront tout bas : « Mais pour qui se prend-il pour oser déclarer de façon aussi péremptoire qu’il ne pourrait jamais vivre avec une femme qui n’aurait pas les mêmes goûts musicaux que lui ! »
Or il faut comprendre, ici encore, quelque chose de fondamental dans le mécanisme qui enferme la personne trop exigeante dans son propre piège.
« Celui qui exige beaucoup de lui-même se sent naturellement porté à beaucoup exiger d’autrui. »
André Gide
1. Trop exigeant envers sa partenaire… trop exigeant envers soi-même !
L’exigence excessive ne porte pas seulement sur celle qu’on a rencontrée ou qu’on attend de rencontrer. Avoir trop d’exigences en matière amoureuse, c’est aussi être trop exigeant avec soi, placer la barre trop haut, ne s’accorder aucun droit à l’erreur.
On en est soi-même la première victime.
Le même scénario se répète : l’autre est évaluée, scrutée dans ses moindres défauts, et comme, nécessairement, elle en a, elle se retrouve écartée. Parce qu’elle ne correspond pas à l’image idéale de la princesse en détresse forgée dans l’enfance, parce qu’elle ne vient pas combler toutes les attentes qu’on s’est mises en tête… Mais aussi parce que la mauvaise image qu’on se fait d’elle à cause d’un détail jugé rédhibitoire crée instantanément une mauvaise image de soi.
Et ne vous y trompez pas, un excès d’exigence n’est en rien louable. Il ne fait que trahir un manque profond de confiance en vous, qui vous est plus nuisible qu’autre chose.
Trois clés pour se défaire des exigences inutiles (2)
2. Mauvaise image de l’autre,
mauvaise image de soi
Et c’est cette image, en fait, qui est insupportable.
Prenons un exemple : « Je ne supporterais pas une femme qui ne soit pas sportive. »
Ah bon, mais si elle s’intéresse à autre chose ? L’art, les voyages, les arbres… Ou alors cela signifie « Je ne supporterais pas une femme un peu enrobée » ? Et si tel était le cas, pour qui serait-ce gênant, si ce n’est pas pour elle ?
Tout se passe comme si le défaut de l’autre devenait rédhibitoire lorsqu’il rencontrait un complexe, un problème personnels : je ne peux pas m’imaginer avec une femme qui ne soit pas comme ci ou comme ça, parce que cela voudrait dire que je n’ai pas bon goût – ou que je n’ai que ce que je mérite…
La partenaire est parée de toutes les exigences, comme si de son image découlait l’image qu’on se fait de soi. La relation amoureuse est perçue en termes de stricte identité : femme intelligente, belle, intéressante = homme intelligent, beau, intéressant.
C’est le vieil adage « Qui se ressemble s’assemble » réduit à l’apparence, au superficiel. L’autre a valeur de trophée.
3. Confiance !
On n’imagine donc pas qu’on puisse soi-même intéresser au-delà de l’apparence. À force de douter de ce que l’on est, on finit par brader sa vision de l’amour, en oubliant que c’est précisément l’espace dans lequel l’être prévaut sur le paraître !
Moins on a confiance en soi, plus on se réfugie dans une vision idéalisée de son partenaire.
Plus on a confiance en soi, mieux on compose avec les défauts de l’autre. On n’en fait pas des obstacles infranchissables, mais on les accepte comme des éléments de réalité. On arrive à s’y intéresser comme à une partie d’un tout, à en parler (voire à en rire !), à ne pas se laisser atteindre par eux. Le défaut de l’autre n’est plus perçu comme une menace envers soi.
Plus on se fait confiance, mieux on arrive à aller vers ce qu’on ne connaît pas…
Même lorsque le comportement affiché paraît égocentrique, voire arrogant, les déclarations péremptoires sur la femme idéale masquent souvent un manque de confiance en soi.
Juste ce qu’il faut d’exigences pour trouver l’amour
On ne peut pas décréter la confiance, en soi comme en l’autre. C’est le fruit d’un long cheminement personnel. Cependant, on peut essayer d’en gagner en procédant à quelques changements d’attitude assez simples.
Accordez à votre partenaire le droit à l’erreur.
Elle peut faire un faux pas, se tromper, ne pas être à son avantage dans les tout premiers temps de la rencontre… Et vous passeriez à côté de quelqu’un d’intéressant ? voire d’une rencontre capitale ?
Le coup de foudre existe, mais il ne se déclenche pas forcément au premier coup d’œil. De plus, il y a les coups de foudre et il y a toutes les autres formes de rencontre amoureuse.
Il faut laisser le temps au temps.
Laisser le temps à l’autre de se montrer tel qu’elle est, une fois la fébrilité, voire le trac du premier contact passés. Se laisser le temps de vivre ses émotions avant d’analyser, disséquer, formuler des conclusions erronées issues d’observations trop hâtives, tirer des conséquences définitives de détails sans importance.
Il faut faire des efforts pour aller à la rencontre de l’autre : s’intéresser à elle en restant ouvert, sans préjugés. Par exemple, posez des questions qui favorisent l’échange.
Déposez votre armure d’exigences, votre bouclier de phrases toutes faites, uniquement destinées à vous protéger de l’irruption d’une émotion inattendue ! Dans un premier temps, au moins, évitez de juger, de définir, de trop penser.
Ne demandez à l’autre que ce que vous êtes capable d’offrir vous-même.
Vous verrez, c’est une bonne méthode pour faire le tri entre les exigences fondées et les autres !… Et même si vous trouvez que vous possédez une qualité indispensable qui manque à votre amie, ne l’exigez pas d’elle : vous êtes différents. Votre partenaire ne possède peut-être pas l’une de vos qualités, mais elle en a d’autres !
Rappelez-vous : vous avez tout à gagner à découvrir votre partenaire sous un nouveau jour, authentique et si riche !
Juste ce qu’il faut d’exigences pour trouver l’amour (2)
Accordez-vous le droit à l’erreur
- Plutôt que de passer tout votre temps et toute votre énergie à extrapoler sur le comportement de votre partenaire, essayez de tirer au clair ce que vous craignez et qui, nécessairement, vous paralyse un peu : peur de l’échec, peur de l’engagement, peur de la solitude ?…
Votre partenaire ne sera pas la solution miracle à vos propres problèmes. - Et si vous vous trompiez, en quoi serait-ce si grave ? Cela vaudrait-il la peine de ne pas donner sa chance à une rencontre ?
N’oubliez pas qu’en couple on continue à exister par soi-même.
Ce qui vous caractérise ne s’évanouira pas au contact de votre partenaire.
- Par exemple, on ne va pas cesser de vous considérer pour ce que vous êtes parce que votre amie commettrait une bourde lors d’un dîner ou s’y rendrait sans porter les vêtements dernier cri. Lorsqu’on fait une gaffe, qu’on manque d’attention, voire qu’on se montre franchement désagréable, on peut toujours s’excuser, s’expliquer, essayer de se rattraper avec quelque chose d’agréable.
- À l’impossible nul n’est tenu. C’est valable pour elle. C’est valable pour vous.
Enfin, dites-vous que cette personne, en confiance, se révèlera bien plus épanouie et rayonnante le jour où elle aura trouvé l’amour : projetez-vous !
Les présomptions premières : le cas de Raphaël
Raphaël, comme bien des hommes exigeants, cache derrière l’échec de ses relations un refus de l’engagement. Mais le point bloquant n’est pas là.
Il pousse l’exigence si loin qu’à chaque relation, il conçoit des convictions négatives quant au succès de la relation : petit à petit, il tend à rechercher dans le cours de la relation tous les éléments négatifs qui viennent confirmer ses « présomptions premières », qui viennent rompre l’avenir de la relation.
Plutôt que de s’en accommoder, il en accuse l’autre et la relation est condamnée avant d’avoir eu le temps de se développer.
Grâce à l’intervention du coach, Raphaël prend conscience que ce sont ses propres croyances sur l’amour qui le limitent et l’empêchent d’être heureux à deux.
Une prise de conscience libératrice de ces croyances si simples lui permettra de construire une nouvelle relation autour d’une vision transformée de la femme dans sa vie.
Aimer…
Quand on est trop exigeant, on veut une relation parfaitement dessinée avant même d’avoir cherché à construire. On imagine une puissante cathédrale, élégante et indestructible, mais on n’a pas pris la peine de se pencher sur les contraintes du sol, les matériaux dont on dispose, les outils, les lignes de force, les zones de faiblesse, les points d’équilibre. Et on n’arrive même pas à patienter le temps de la construction !
Or pour aimer, il faut accepter de construire à deux, sans précipitation, dans le respect mutuel des capacités de chacun.
Aimer, c’est s’attacher à l’autre tel qu’elle est.
Dans toute relation amoureuse, il y a nécessairement de l’incompréhension. S’il n’y en avait pas, ce serait le signe que deux clones se sont rencontrés, pas deux êtres humains avec leur personnalité propre, leur subjectivité irréductible.
Il est beaucoup plus intéressant, stimulant, excitant de s’aventurer à aimer quelqu’un de réel, une femme de chair et de sang avec ses qualités et ses défauts qu’une figure idéalisée, figée, désincarnée et immuable, qui n’évoluera jamais.
Aimer, c’est
s’attacher à l’autre
tel qu’il est.
« Plus on juge, moins on aime », écrivait Balzac.
Dès lors qu’on vous respecte, qu’on accepte de communiquer avec vous honnêtement et qu’on ne vous empêche pas, vous-même, de le faire, lâchez du lest. Vous deviendrez ainsi plus conciliant, aussi, avec vous-même…
Pour aller plus loin….
Posez une question personnelle à un coach.
Décrivez votre situation et laissez vos coordonnées téléphonique et l’une de nos coachs vous appellera.
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