On me dit très exigeante : cela nuirait-il à mes relations ?
Dire d’une femme qu’elle est exigeante, c’est incontestablement souligner l’une de ses qualités. En amour, cela signifie se faire une haute opinion de l’aventure dans laquelle on souhaite se lancer, des sentiments, de ce qu’on cherche à construire, de l’homme qu’on a envie de rencontrer.
Pourtant, l’exigence a ses excès. Elle peut aussi être une prison invisible, parfois totalement imperceptible, dans laquelle on se retrouve enfermé : on est alors incapable de construire.

Aimer, c’est accepter l’autre tel qu’il est, avec ses défauts, ses qualités, avec lesquels on compose, comme notre partenaire le fait avec nous, pour former un couple équilibré.
Bien loin de cette situation idéale, que se passe-t-il lorsque ces spécificités, ces petits travers qui font aussi l’autre nous deviennent insupportables ?
Quand on perçoit chaque imperfection comme une menace à la possibilité d’une relation voire d’un amour ?
Lorsque l’exigence devient systématique et montre ses limites ?
Etre trop exigeante, une forme de blocage dont il faut rapidement cerner les origines pour trouver le chemin vers la confiance et vers la rencontre de l’autre.
Love Intelligence® vous propose une analyse pour vous éclairer et des solutions pour avancer.
Vous avez des exigences en amour et ne voulez pas en démordre ?
Vous vous demandez si celles-ci ne sont pas à l’origine de certains problèmes. Vous empêcheraient-elles d’être épanouie ?
Vous êtes consciente que ces exigences ne sont pas toujours constructives ?
Love Intelligence va vous aider à transformer ces exigences néfastes en exigences constructives afin de vivre des relations harmonieuses :
- Grâce à une analyse complète en 4 étapes de ce qu’est l’exigence au féminin aujourd’hui, de minis exercices pour comprendre comment elle se manifeste chez moi et comment elle est perçue par l’autre,
- Grâce à nos conseils fondamentaux, nos coachs vont vous permettre de vous défaire des exigences qui nuisent à l’instauration d’une relation stable et épanouissante mais de conserver juste ce qu’il faut d’exigence pour trouver son équilibre amoureux.
L’exigence, mal du siècle ?
« Trop exigeante, moi ? Un comble ! » explose Laure, 34 ans, qui, une fois ce léger énervement passé, explique posément :
« C’est une avancée notable. Un progrès. Désormais, les hommes ne sont plus les seuls à pouvoir choisir. Les temps ont changé. Les femmes ne sont plus obligées de refouler leurs exigences. Elles peuvent les exprimer et les assumer ! »
Plus autonomes : plus exigeantes…
De fait, l’accès aux études, la conquête du travail, la possibilité de se réaliser dans sa vie professionnelle et ses loisirs, bref, une plus grande autonomie intellectuelle et matérielle, mais aussi la fin des mariages arrangés, la libéralisation générale des mœurs des femmes les ont naturellement rendues plus exigeantes.
… et encore plus passés 30 ans !
Tout aussi naturellement, l’exigence s’accroît à mesure qu’on avance dans la vie — dans sa vie professionnelle et sociale comme dans sa vie privée et affective. On est plus exigeante à 30 ans qu’à 20 parce qu’on se connaît mieux et que l’on considère ses relations avec davantage de recul.
Pour autant, sait-on vraiment bien distinguer ses attentes fondamentales, légitimes, des autres ?
N’a-t-on pas tendance, plus souvent qu’on ne le pense, à confondre le nécessaire et le secondaire ? À juger l’autre trop rapidement ? À se crisper sur des détails ?
Car à trop en demander, on finit par en oublier l’essentiel :
nouer une relation stable et épanouissante avec l’autre.
Conséquence d’une possibilité étendue de choix que n’avaient pas nos grands-parents (voire nos parents dans certains milieux), cette exigence accrue jusqu’à l’absurde ne serait-elle pas liée à :
Une certaine immaturité…
Des peurs enfouies…
Un manque de confiance en soi ?
Les exigences qui font obstacle à toute possibilité de relation amoureuse.
Pourquoi se laisse-t-on trop facilement — et trop vite — aller à l’évaluation, au jugement ?
Une rencontre, c’est de l’inconnu qui surgit. Or l’inconnu fait peur. Et l’enjeu est grand, immense : un grand amour, un amour qui dure, c’est une vie qui change, c’est le bonheur qui se laisse approcher.
L’enjeu est si important qu’on veut trop vite savoir, faire le tour de « la question ». Pour se rassurer, on juge, on distribue les bons et les mauvais points… souvent sans laisser la liberté à l’autre de s’exprimer, et surtout sans se laisser le temps de le découvrir. Sentiment et évaluation ne font pas bon ménage.
Les valeurs communes sont fondamentales pour construire un couple qui dure.
Mais indépendamment ces points d’attirance qui vous ont rapprochés,
qu’êtes-vous en droit d’exiger de l’autre ?
Vous êtes en droit d’attendre d’être respectée (sans oublier de respecter en retour)
Vous avez raison d’exiger que votre relation se place sous le signe de la sincérité, de l’honnêteté.
Vous ne devez pas craindre de parler, d’exprimer vos opinions, vos souhaits.
Portrait d’une femme trop exigeante
Portrait d’une femme trop exigeante
Elle espère quelqu’un :
- qui ait la tête bien faite,
- qui ait les mêmes réactions qu’elle, le même rythme,
- qui partage les mêmes envies, les mêmes valeurs,
- qui la rassure quand elle en a besoin,
- qui s’intéresse sans faillir à ce qu’elle fait,
- qui possède un vrai sens de l’humour …
- et bien sûr qui devine ses moindres attentes !
On le sait, partir en quête d’une relation, établir un lien, suppose un minimum d’exposition. Cela suppose d’aller se frotter à l’autre, à sa réalité, à son incomplétude, et surtout au risque d’être rejeté.
Un certain nombre de femmes préfèrent redoubler d’exigence que d’accepter deux aspects indissociables de la rencontre amoureuse :
- L’ouverture à l’autre :
dans toute relation, il ne suffit pas de se montrer sous son meilleur jour, il faut être attentive, lui poser de véritables questions pour le découvrir.
- La volonté de l’effort :
le bien-fondé de la relation en dépend.
Il s’agit de mettre tout en œuvre pour comprendre l’autre sans le juger. Dans cette démarche, ces femmes font preuve d’une immaturité affective évidente. Elles n’ont pas le sentiment d’avoir des exigences plus élevées ou décalées par rapport à leurs semblables. Et pourtant !
Portrait d’une femme trop exigeante (2)
Qui se cache derrière une femme trop exigeante ?
Souvent une petite fille qui rêve encore au Prince Charmant…
Un homme intelligent, charismatique, beau, drôle, riche, gentleman et Harvey Keitel ou George Clooney à la fois… ça n’existe pas !
Mais certaines petites filles devenues grandes ont tendance à attendre d’un homme qu’il soit tout pour elles - comme leur père l’a peut-être été dans leur enfance - protecteur et comblant tous leurs désirs, rassurant et capable de résoudre tous les problèmes. Des désirs très enfantins.
Une femme qui veut se protéger…
Dans La femme seule et le Prince charmant, le sociologue Jean-Claude Kaufmann résume et analyse parfaitement cet écueil : « A trop imaginer le Prince, il devient difficile de rencontrer l’homme. Mais il convient de préciser que cette outrance ne se développe pas de façon arbitraire ; elle empêche en fait la rencontre surtout quand l’envie d’une vraie rencontre n’est pas vraiment évidente. »
L’excès d’exigence se développe donc « Quand l’envie n’est pas vraiment évidente »… c’est-à-dire quand la rencontre fait peur. L’exigence excessive est un rempart contre la peur de la rencontre — la peur de ce qu’une vraie rencontre implique d’inconnu, de bouleversements immédiats et de changements durables.
Toute l’énergie passe dans le rêve, le fantasme ou les questionnements sans fin au sujet d’ex ou de « potentiels » avec lesquels il n’y a aucune chance de relation sérieuse (sans qu’elle se l’avoue).
Comment se manifestent ces exigences et que masquent-elles ?
L’exigence se manifeste non seulement par des désirs très précis et presque irréalisables, mais également par un rejet, à travers des déclarations péremptoires, catégoriques, définitives, sur le mode : « Moi ? Un homme comme ça ? Jamais ! Impossible ! »
Nous connaissons tous des amis qui s’exclament — ou il nous est déjà arrivé, nous-mêmes, de proférer : « Moi ? Vivre quelque chose avec un homme qui ne porterait pas de magnifiques chaussures, parfaitement entretenues ? Impossible ! », « Moi, il est hors de question que je me retrouve avec un homme plus petit que moi ! »
Pourquoi cette volonté de se distinguer d’une autre catégorie de personnes, souvent jugées à l’emporte-pièce ?
Ce qui fait le charme de la rencontre, c’est son essence : l’inconnu, l’inattendu, la surprise…
Une vision égocentrique
- S’arrêter à une paire de chaussures un peu défraîchies, à la taille de quelqu’un, c’est privilégier la dimension du paraître, superficielle.
- C’est se couper de l’humanité de l’autre, de sa profondeur, de sa richesse intérieure, de son histoire.
- C’est rester séparée de lui par un écran fantasmatique fait de stéréotypes et de visions idéalisées – ne rien faire pour crever cet écran qui empêche la rencontre.
- On se retrouve enfermée dans sa tour d’ivoire, confinée à ses attentes personnelles.
- En se barricadant dans la toute-puissance (l’autre doit être comme je veux qu’il soit !), comme si le fantasme était capable de faire advenir la réalité, on rate nécessairement la rencontre – ce qui fait son essence : l’inconnu, l’inattendu, la surprise… Bref, on est dans l’impasse.
Comment se manifestent ces exigences et que masquent-elles ? (2)
La peur
- Si l’on attire l’attention de celle qui vient de dire, par exemple, « Je ne pourrai jamais aimer un homme plus petit que moi » sur son propos, on observe souvent le même paradoxe.
- En fait, cette femme ne considère aucunement que les hommes plus petits — voire n’ayant pas ciré leurs chaussures !… — soient indignes d’être aimés. Ce n’est pas une condamnation morale générale !
- Mais elle fait une exception pour elle-même. C’est-à-dire qu’elle s’exclut du champ des possibles : aimer un tel homme, ce serait possible pour les autres femmes, pas pour elle. Mais pourquoi ?
C’est une façon de masquer sa peur de ce que représente une rencontre.
On a tellement peur de ne pas plaire assez, de ne pas être assez séduisante, pas assez « bien », pas assez aimable, qu’on se sert inconsciemment d’un détail pour rendre la rencontre d’emblée impossible, et même impensable.

Tel aspect pourtant superficiel, secondaire devient rédhibitoire : la rencontre ne peut pas avoir lieu et on évite ainsi, sans s’en rendre compte, de se confronter à l’épreuve de la réalité.
Trois clés pour se défaire des exigences inutiles.
On l’a dit, l’attitude d’une femme trop exigeante peut parfois la rendre antipathique aux yeux de certains, qui penseront tout bas : « Mais pour qui se prend-elle pour oser déclarer de façon aussi péremptoire qu’elle ne pourrait jamais vivre avec un homme qui n’aurait pas les mêmes goûts musicaux qu’elle ! »
Or il faut comprendre, ici encore, quelque chose de fondamental dans le mécanisme qui enferme la personne trop exigeante dans son propre piège.
« Celui qui exige beaucoup de lui-même se sent naturellement porté à beaucoup exiger d’autrui. »
André Gide
1. Trop exigeante envers son partenaire… trop exigeante envers soi-même !
L’exigence excessive ne porte pas seulement sur celui qu’on a rencontré ou qu’on attend de rencontrer. Avoir trop d’exigences en matière amoureuse, c’est aussi être trop exigeante avec soi, placer la barre trop haut, ne s’accorder aucun droit à l’erreur.
On en est soi-même la première victime.
Le même scénario se répète : l’autre est évalué, scruté dans ses moindres défauts, et comme, nécessairement, il en a, il se retrouve écarté. Parce qu’il ne correspond pas à l’image idéale du prince charmant forgée dans l’enfance, parce qu’il ne vient pas combler toutes les attentes qu’on s’est mises en tête… Mais aussi parce que la mauvaise image qu’on se fait de lui à cause d’un détail jugé rédhibitoire crée instantanément une mauvaise image de soi.
Et ne vous y trompez pas, un excès d’exigence n’est en rien louable. Il ne fait que trahir un manque profond de confiance en vous, qui vous est plus nuisible qu’autre chose.
Trois clés pour se défaire des exigences inutiles. (2)
2. Mauvaise image de l’autre, mauvaise image de soi
Et c’est cette image, en fait, qui est insupportable.
Prenons un exemple : « Je ne supporterais pas un homme qui ne soit pas sportif. »
Ah bon, mais s’il s’intéresse à autre chose ? L’art, les voyages, les arbres… Ou alors cela signifie « Je ne supporterais pas un homme un peu enrobé » ? Et si tel était le cas, pour qui serait-ce gênant, si ce n’est pas pour lui ?
Tout se passe comme si le défaut de l’autre devenait rédhibitoire lorsqu’il rencontrait un complexe, un problème personnels : je ne peux pas m’imaginer avec un homme qui ne soit pas comme ci ou comme ça, parce que cela voudrait dire que je n’ai pas bon goût – ou que je n’ai que ce que je mérite…
Le partenaire est paré de toutes les exigences, comme si de son image découlait l’image qu’on se fait de soi. La relation amoureuse est perçue en termes de stricte identité : homme intelligent, beau, intéressant = femme intelligente, belle, intéressante.
C’est le vieil adage « Qui se ressemble s’assemble » réduit à l’apparence, au superficiel. L’autre a valeur de trophée.
3. Confiance !
On n’imagine donc pas qu’on puisse soi-même intéresser au-delà de l’apparence. À force de douter de ce que l’on est, on finit par brader sa vision de l’amour, en oubliant que c’est précisément l’espace dans lequel l’être prévaut sur le paraître !
Moins on a confiance en soi, plus on se réfugie dans une vision idéalisée de son partenaire.
Plus on a confiance en soi, mieux on compose avec les défauts de l’autre. On n’en fait pas des obstacles infranchissables, mais on les accepte comme des éléments de réalité. On arrive à s’y intéresser comme à une partie d’un tout, à en parler (voire à en rire !), à ne pas se laisser atteindre par eux. Le défaut de l’autre n’est plus perçu comme une menace envers soi.
Plus on se fait confiance, mieux on arrive à aller vers ce qu’on ne connaît pas…
Même lorsque le comportement affiché paraît égocentrique, voire arrogant, les déclarations péremptoires sur le compagnon idéal masquent souvent un manque de confiance en soi.
Juste ce qu’il faut d’exigences pour trouver l’amour.
On ne peut pas décréter la confiance, en soi comme en l’autre. C’est le fruit d’un long cheminement personnel. Cependant, on peut essayer d’en gagner en procédant à quelques changements d’attitude assez simples.
Accordez à votre partenaire le droit à l’erreur.
Il peut faire un faux pas, se tromper, ne pas être à son avantage dans les tout premiers temps de la rencontre… Et vous passeriez à côté de quelqu’un d’intéressant ? voire d’une rencontre capitale ?
Le coup de foudre existe, mais il ne se déclenche pas forcément au premier coup d’œil. De plus, il y a les coups de foudre et il y a toutes les autres formes de rencontre amoureuse.
Il faut laisser le temps au temps.
Laisser le temps à l’autre de se montrer tel qu’il est, une fois la fébrilité, voire le trac du premier contact passés. Se laisser le temps de vivre ses émotions avant d’analyser, disséquer, formuler des conclusions erronées issues d’observations trop hâtives, tirer des conséquences définitives de détails sans importance.
Il faut faire des efforts pour aller à la rencontre de l’autre : s’intéresser à lui en restant ouvert, sans préjugés. Par exemple, posez des questions qui favorisent l’échange.
Déposez votre armure d’exigences, votre bouclier de phrases toutes faites, uniquement destinées à vous protéger de l’irruption d’une émotion inattendue ! Dans un premier temps, au moins, évitez de juger, de définir, de trop penser.
Ne demandez à l’autre que ce que vous êtes capable d’offrir vous-même.
Vous verrez, c’est une bonne méthode pour faire le tri entre les exigences fondées et les autres !… Et même si vous trouvez que vous possédez une qualité indispensable qui manque à votre compagnon, ne l’exigez pas de lui : vous êtes différents. Votre partenaire ne possède peut-être pas l’une de vos qualités, mais il en a d’autres !
Rappelez-vous : vous avez tout à gagner à découvrir votre partenaire sous un nouveau jour, authentique et si riche !
Juste ce qu’il faut d’exigences pour trouver l’amour. (2)

Accordez-vous le droit à l’erreur
- Plutôt que de passer tout votre temps et toute votre énergie à extrapoler sur le comportement de votre partenaire, essayez de tirer au clair ce que vous craignez et qui, nécessairement, vous paralyse un peu : peur de l’échec, peur de l’engagement, peur de la solitude ?… Votre partenaire ne sera pas la solution miracle à vos propres problèmes.

- Et si vous vous trompiez, en quoi serait-ce si grave ? Cela vaudrait-il la peine de ne pas donner sa chance à une rencontre ?
N’oubliez pas qu’en couple on continue à exister par soi-même.
Ce qui vous caractérise ne s’évanouira pas au contact de votre compagnon.
- Par exemple, on ne va pas cesser de vous considérer pour ce que vous êtes parce que votre partenaire commettrait une bourde lors d’un dîner ou s’y rendrait sans porter les vêtements dernier cri. Lorsqu’on fait une gaffe, qu’on manque d’attention, voire qu’on se montre franchement désagréable, on peut toujours s’excuser, s’expliquer, essayer de se rattraper avec quelque chose d’agréable.
- À l’impossible nul n’est tenu. C’est valable pour lui. C’est valable pour vous.
Enfin, dites-vous que cet homme, en confiance, se révèlera bien plus épanoui et rayonnant le jour où il aura trouvé l’amour : projetez-vous !
Aimer…
Quand on est trop exigeante, on veut une relation parfaitement dessinée avant même d’avoir cherché à construire. On imagine une puissante cathédrale, élégante et indestructible, mais on n’a pas pris la peine de se pencher sur les contraintes du sol, les matériaux dont on dispose, les outils, les lignes de force, les zones de faiblesse, les points d’équilibre. Et on n’arrive même pas à patienter le temps de la construction !
Or pour aimer, il faut accepter de construire à deux, sans précipitation, dans le respect mutuel des capacités de chacun.
Aimer, c’est s’attacher à l’autre tel qu’il est.
Dans toute relation amoureuse, il y a nécessairement de l’incompréhension. S’il n’y en avait pas, ce serait le signe que deux clones se sont rencontrés, pas deux êtres humains avec leur personnalité propre, leur subjectivité irréductible.
Il est beaucoup plus intéressant, stimulant, excitant de s’aventurer à aimer quelqu’un de réel, un homme de chair et de sang avec ses qualités et ses défauts qu’une figure idéalisée, figée, désincarnée et immuable, qui n’évoluera jamais.
Aimer, c’est
s’attacher à l’autre
tel qu’il est.
« Plus on juge, moins on aime », écrivait Balzac.
Dès lors qu’on vous respecte, qu’on accepte de communiquer avec vous honnêtement et qu’on ne vous empêche pas, vous-même, de le faire, lâchez du lest. Vous deviendrez ainsi plus conciliante, aussi, avec vous-même…
Pour aller plus loin….
Posez une question personnelle à un coach.
Décrivez votre situation et laissez vos coordonnées téléphonique et l’une de nos coachs vous appellera
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