Je ne parviens pas à m’engager
Célibataire, vous avez envie depuis longtemps de construire une relation stable et durable avec une femme qui réponde à vos attentes.
Et pourtant…
- Ce n’est pas faute de faire la connaissance de jeunes femmes sympathiques, mais il y a toujours quelque chose qui cloche, qui vous empêche d’aller plus loin… vous ne savez pas comment le décrire.
Le temps passant, vous avez parfois le sentiment que vous ne trouverez jamais la perle rare !
Vous voulez comprendre ce qui vous arrive ? Cette situation est loin d’être insurmontable ! Mais il y a des choses à comprendre pour ouvrir les yeux et rebondir vers de nouvelles relations épanouissantes !
Ce guide aborde de façon très concrète tout ce qui vous sera nécessaire pour ne pas perdre de temps avec des histoires décevantes et oser l’engagement avec la personne qui convient !
Ayez la volonté de vous engager et réussissez enfin à construire une relation durable.
Il est normal de ressentir une crainte face à une décision qui engage sur le plan sentimental.
Elle est, en un sens, le signe d’une volonté de bien faire, de ne pas se tromper.
Certaines personnes abordent cette période de doutes de façon assez sereine : au terme de leur réflexion elles n’ont aucun mal à prendre la décision de poursuivre, ou non, la relation.
D’autres en revanche, se rendent compte qu’elles vivent de manière un peu trop systématique ces histoires à répétition où elles prennent la poudre d’escampette lorsque la période de l’engagement à l’autre se profile.
Si vous êtes de ceux-là, Love Intelligence® vous donne les moyens de comprendre ce qui vous arrive et d’y remédier pour vivre enfin une relation stable et durable.
Cinq manifestations concrètes de la peur de l’engagement.
L’amour rend vulnérable. Il est parfaitement compréhensible que le couple soit synonyme de questionnements à un moment où il s’agit de passer un autre cap de la relation.
Néanmoins, face à ces questionnements, nous espérons tous un jour entendre notre petite voix intérieure nous dire : « oui, avec cette personne là, je veux m’engager ».
Soyez rassurés, rares sont les personnes qui s’engagent sans traverser une période de doutes ou de questionnements ! Il faut des doutes pour avoir ensuite des convictions !
Comment alors reconnaître les signes qui nous empêchent d’avancer en amour ? Comment reconnaître ceux qui trahissent une peur de l’engagement ? Comment réussir à changer ?
Love Intelligence® vous propose tout d’abord de comprendre comment se manifeste, chez vous, la peur de l’engagement.
La perte d’intérêt
- Sûr d’avoir à faire à la bonne personne, vous déployez une énergie considérable pour séduire. Mais une fois séduite, la femme que vous avez courtisée perd soudain tout intérêt. Le désir sexuel s’affaiblit voire disparaît, tout comme l’intérêt général porté au couple naissant.
Il s’agit là d’un état caractéristique lorsque sont confondus le désir d’amour et le désir de conquête. Ce que l’on croyait être de l’amour n’était en réalité qu’une simple volonté de relever et de gagner le défi de la séduction. Une fois la partenaire et son amour acquis la perte d’intérêt est subite et quasi automatique.
L’incapacité à se décider
- Vous ne sautez jamais le pas. Vous vous dites qu’en amour, et bien plus que dans d’autres domaines de la vie, prendre la bonne décision s’avère difficile, d’autant plus lorsqu’il s’agit de s’engager à plus ou moins long terme.
Vous vous posez à un moment donné de la relation de lourdes questions, celles qui vous permettent d’aboutir à un choix réfléchi :
« Je ne suis pas sûr que ce soit la bonne personne : elle ne correspond pas à ce que j’imaginais, à ce que j’attendais. Même si j’ai encore des sentiments pour elle, je ne préfère pas prendre le risque de continuer la relation. Je vais chercher ailleurs. »
Cinq manifestations concrètes de la peur de l’engagement. (2)
Les justifications à la rupture
- Pour justifier la rupture, bon nombre de défauts sont trouvés à la partenaire : « finalement, elle est trop … ou pas assez … » .
Souvent, l’entourage tente d’éclairer d’une vision qui se veut objective, mais rien n’y fait et les justifications à la rupture, devenant prédominantes, prennent parfois le pas sur le bon sens. - Dans ce cas de figure, il est important de faire preuve de lucidité.
Contrairement au mythe traditionnel le véritable amour n’est pas passionné mais lucide. Personne n’est parfait. Personne n’est omnipotent. - Il convient de se poser les bonnes questions quant à ce que vous attendez d’une relation amoureuse.
N’en attendez pas plus que ce qu’une relation peut vous donner ! - Il faudra faire le tri entre tous vos critères : quels sont ceux qui sont essentiels, quels sont ceux qui sont, finalement, plus secondaires ?
La chose la plus essentielle est liée au partage ou non des valeurs. Elles sont fondamentales pour construire une histoire.
L’éloignement volontaire de la partenaire
- L’exercice consiste à adopter une attitude volontairement exécrable pour pousser la partenaire à la rupture.
- Ainsi « l’engagement » représenté par la décision de rompre est contourné.
Le véritable amour n’est pas passionné mais lucide.
La résignation au célibat
- Certains hommes se résignent bon gré mal gré à un mode de vie célibataire. Ils sont convaincus de leur incapacité à aimer.
- Faisant abstraction des causes profondes de cette difficulté, les ignorant souvent même, ils vont se tenir à l’écart des femmes en se rendant le moins disponible possible.
- Ils ressentent de l’attirance mais ne font aucune démarche pour les aborder ou mettent rapidement un terme à leur relation tant elle les met mal à l’aise.
Comprendre votre fonctionnement amoureux.
L’intérêt de l’étape précédente est de constituer un premier pas vers une meilleure connaissance de soi. Avoir une vision objective de ses propres comportements relève d’une mission quasi impossible. Cependant, il est toujours possible d’acquérir une meilleure connaissance de son fonctionnement amoureux.
Accéder à une meilleure connaissance de vous-même c’est accéder à une meilleure connaissance de ce que vous attendez de l’autre.
Revenez sur vos expériences passées
- Sachez reconnaître avec objectivité ce qui vous semble essentiel à la réussite d’une relation amoureuse.
Qu’attendez vous d’une histoire d’amour ?
Quelles sont les qualités essentielles que vous recherchez ?
Pourquoi ne les retrouvez-vous jamais chez votre partenaire ? Existent-elles vraiment chez une autre personne que vous connaissez (même d’une autre génération) ?
Qu’attendez vous de la relation qui soit, finalement, peut-être un peu trop idéaliste ?
Reprenez le contrôle sur vos décisions.
- Votre prochaine prise de décision sera étoffée d’un panel plus vaste de facteurs à prendre en compte, encore une fois vous accédez à une vision plus éclairée et plus objective de votre situation.
Connaître les manifestations concrètes de la peur de l’engagement
_ Une première étape qui sera l’occasion de :
vous situer : vous retrouvez-vous dans plusieurs de ces descriptions ?
Peut-être faites-vous partie de ces hommes qui ont développé une réelle méfiance envers l’engagement amoureux.
vous rendre compte que vous n’êtes pas un cas isolé : d’autres hommes sont dans la même situation que vous.
Il est important maintenant de bien analyser votre propre situation et de comprendre comment évoluer.
Identifier ce qui vous bloque.
Tous les hommes qui présentent une hésitation face à l’engagement ne prennent pas la fuite aux mêmes étapes d’une relation. Il est important pour vous de reconnaître ce que nous appellerons votre « seuil-limite ».
Il correspond au cap qui symbolise pour vous la limite à partir de laquelle vous estimez être sur la voie de l’engagement. En fonction des personnes, il peut être très variable et dépend de nombreux facteurs tels que votre personnalité, votre caractère, votre histoire personnelle ou encore le comportement de votre conjointe.
Voici les cinq phases où la relation laisse présager un engagement proche.
La première relation sexuelle
- Certains hommes se contentent de cette seule relation sexuelle car ils considèrent la seconde comme porteuse d’une trop forte symbolique d’engagement à moyen ou long terme.
Le premier « je t’aime »
- Qu’elle soit prononcée par l’autre ou par soi, la première déclaration peut être l’occasion d’un questionnement intense en ce sens qu’elle constitue le point de départ d’un engagement.
- Parfois, c’est après avoir dit « je t’aime » que l’homme se met à douter de la relation. Il faut y voir une angoisse déguisée de s’être trop livré, de se retrouver coincé dans une position de dépendance vis-à-vis de l’autre et de son amour.
- Lorsque c’est la partenaire qui le dit en premier, alors une perte d’intérêt peut être observée car la configuration est celle que nous exposions plus haut : une confusion entre désir de conquête et désir d’amour.
Trois ans de relation
- Il est parmi les légendes admises que les caps difficiles à franchir sont 3, 7 et 9 ans de relation.
- Ce qui pose problème à cette étape c’est l’ouverture à une histoire d’amour :
« ai-je véritablement la volonté de construire et d’inscrire ma relation dans la durée ? »
La vie commune
- Jusque-là dans des appartements séparés, une fois chez l’un, une fois chez l’autre , tout cela convenait parfaitement puis vint le moment du : « On s’aime et si on emménageait ensemble ? ».
- Peut-être enthousiaste au début, vous mettez peu de bonne volonté à la tâche et, à court terme, vous prenez vos jambes à votre cou.
Le mariage
« L’amour rend aveugle, le mariage lui rend la vue. »
- La symbolique d’engagement extrêmement puissante portée par le sacrement du mariage a raison de la bonne volonté de nombreux hommes.
Identifier ce qui vous bloque. (2)
Love Intelligence® vous conseille
Le « seuil-limite » est singulier pour chaque homme. Il n’existe pas de règles établies. Il est donc très important pour vous de faire un travail d’introspection pour le repérer en fonction de ce que nous avons indiqué plus haut.
Repérer ce seuil, c’est :
commencer à apprivoiser votre angoisse et vos craintes en les rationalisant c’est-à-dire pouvoir s’y préparer et les appréhender armé d’une plus grande sérénité
se poser les bonnes questions :
- Qu’est-ce qui, concrètement, m’empêche de franchir ce cap ?
- Ai-je réellement envie de ne pas aller plus loin ? Ai-je en moi le désir de franchir ce cap et de voir ce qui se passe après ?
- En quoi le dépasser serait-il pour moi une erreur irréversible, une source de mécontentement, de tristesse ou d’angoisse ?
- Vais-je toujours laisser mes relations s’éteindre à ce stade et prendre le risque de rester à nouveau sur un échec ?
Dialoguez avec votre partenaire :
Expliquez-lui que cette échéance à laquelle vous faites front est un cap difficile ou qu’il vous a été difficile de franchir par le passé.
Faites confiance à son intelligence et à sa capacité de compréhension : exprimez-lui clairement que vous avez besoin de temps, que vous ne voulez en aucun cas être contraint ou bousculé.
Les femmes sont touchées lorsqu’un homme se confie à elles.
Employez des mots simples et sincères pour l’exprimer : elle appréciera cette confidence et ce recul sur vous-même.
Votre couple ne pourra tirer que des bénéfices de cet échange.
Les femmes sont touchées lorsqu’un homme se remet en question et se confie à elles.
Cette capacité est une qualité rare :
- elle considérera cet aveu comme un signe de bonne volonté et de maturité affective.
- elle prendra soin de ne pas laisser se développer en vous le sentiment tant redouté d’avoir la corde au cou.
Comprendre ce qui vous empêche de sauter le pas.
Alors qu’ils vivent une relation amoureuse tout à fait épanouissante, pourquoi certains hommes refusent de “sauter le pas”, celui qui les propulserait dans un avenir à moyen ou long terme avec la même partenaire ?
Pourquoi préfèrent-ils vivre leur relation dans le présent, au jour le jour, et se refusent-ils à faire des projets dans le temps. Pourquoi refusent-ils ce qui implique forcément une projection dans la durée ?
Love Intelligence® vous propose d’explorer six pistes d’explication pour mieux comprendre ces hommes.
L’absence d’exemples rassurants
Nombreux sont ceux qui, parce que le modèle de couple parental ou de leurs ami(e)s ne leur semble vraiment pas convaincant, n’ont aucune envie de s’engager dans ce qui leur semble une aventure inéluctablement vouée à l’échec.
- Des parents sans cesse en conflit ou, au contraire, qui ne communiquent pas et paraissent subir leur vie de couple,
- Des amis qui, loin de s’épanouir dans leur relation, semblent s’y éteindre.
- ces anti-modèles ne les incitent sûrement pas à s’engager dans une vie de couple.
La peur de se tromper de partenaire
- Cette peur se rencontre le plus souvent chez les personnes qui se sont déjà engagées précédemment au moins une fois, mais dont la relation s’est soldée par un échec.
- Les déceptions amoureuses sont très pénibles à vivre et “refroidissent” quelque peu leur enthousiasme à renouveler l’expérience.
- Ces personnes déçues craignent alors de manquer de lucidité et de se tromper à nouveau : elles ont perdu toute confiance en elles et en leur capacité à évaluer un(e) partenaire.
- Elles se contentent alors de relations “simples”, plus ou moins éphémères, sans engagement de leur part. Elles peuvent aussi entretenir une relation avec un(e) partenaire déjà engagé, ce qui leur évite de se poser la question de l’engagement. Elles peuvent encore vivre une relation avec un(e) partenaire lointain(e), ce qui les protège également.
- Elles sont dans l’évitement.
La peur de la rupture
Cette peur, alimentée par une ou plusieurs expériences de rupture extrêmement douloureuses, parfois déchirantes, freine considérablement toute velléité d’engagement amoureux.
- Pour certaines personnes, il aura fallu plusieurs années pour que le deuil soit complètement terminé et elles craignent terriblement de s’engager à nouveau car pour rien au monde elles ne voudraient revivre de telles souffrances.
- Elles ne veulent même pas envisager un engagement, car elles désirent avant tout se protéger en évitant de se mettre une fois encore dans une situation de rupture.
Elles sont conscientes qu’en agissant ainsi, elles se privent de vivre une belle relation et de lui donner une chance d’exister dans la durée. Là encore, c’est de l’évitement.
Comprendre ce qui vous empêche de sauter le pas. (2)
Le manque d’estime de soi
Lorsqu’on ne s’estime pas suffisamment soi-même, il est vraiment très difficile d’accepter d’être
aimé. Et ceci à tel point que l’engagement dans une relation fait très peur.
« Ce n’est pas possible, un jour, elle va bien finir par découvrir qui je suis vraiment et ne voudra plus de moi. »
« Je ne peux pas croire que l’on m’aime vraiment : je n’ai rien pour retenir quelqu’un. »
Tel est, avec de nombreuses variantes, l’essentiel des arguments qui entretiennent cette peur.
- Si une personne ne s’estime pas, ne s’aime pas, si elle n’est pas sa meilleure amie, comment en effet peut-elle imaginer être aimée ? Et comment peut-elle croire que ce qu’elle pense être une simple attirance puisse durer ?
- Il n’est alors pas rare de rencontrer des femmes et des hommes qui, parce qu’ils ont très peur que l’autre les quitte puisqu’ils ne “valent” rien — en tous cas pas autant que l’autre — se précipitent la rupture pour ne plus la craindre, pour l’anticiper, car “forcément, l’autre, un jour, partira”.
La peur de ne pas savoir aimer
Cette peur peut avoir différentes origines :
- Quand le modèle du couple parental n’est vraiment pas très encourageant, certaines personnes croient que, n’ayant pas eu un bon modèle de couple, elles non plus ne sauront pas aimer.
- Quand des personnes ont le sentiment de ne pas avoir été suffisamment aimées, ou mal aimées, elles supposent aussi qu’elles ne sauront pas donner de l’amour, n’en ayant pas reçu, ou trop peu, ou très maladroitement.
Elles doutent alors de leurs capacités à “inventer” de bonnes façons d’aimer.
Elles préfèrent alors vivre des relations quelque peu superficielles, sans s’y investir, sans jamais s’engager, persuadées qu’un jour ou l’autre, leur partenaire leur reprochera de ne pas savoir l’aimer.
La peur d’être mal aimé
- Comme précédemment, quand des personnes ont le sentiment que leurs parents ne les ont pas aimées, ou mal aimées, ou pas suffisamment mais surtout pas comme elles l’auraient voulu, elles croient que l’amour n’est pas pour elles et refusent tout engagement affectif — dont pourtant elles rêvent. Non parce qu’elles ne seraient pas “aimables” ou dignes d’être aimées, mais tout simplement parce qu’elles estiment que personne ne saura les aimer vraiment, répondre à leurs attentes.
- Elles ont souvent la certitude qu’elles sont un peu différentes des autres, donc qu’elles peuvent pas être comprises : or on ne saura pas bien les aimer telles qu’elles sont.
Souvent très exigeantes dans le choix de leurs partenaires, elles se disent souvent déçues car aucun n’est “à la hauteur”. Ainsi, elles refusent tout engagement.
Comment réagir face aux doutes qui reviennent en permanence ?
A cette étape, il va s’agir de comprendre que la confrontation au doute est une épreuve essentielle dans la vie d’un jeune couple. Il faudra apprendre à bien gérer cette phase.
Voici les différentes phases, de la rencontre à l’engagement.
La phase « d’illusion duelle »,
selon l’expression de Serge Hefez
- Cette période est caractérisée par un bien-être exceptionnel au sein du couple. La partenaire est idéalisée. On se comprend à demi-mot. On fait abstraction de ses défauts, de ses failles, de ce qui ne convient pas en elle.
- La focalisation se porte essentiellement sur les aspects positifs de la relation et de la conjointe.
- Pendant cette période un peu « folle », les partenaires se trouvent dans l’incapacité de se rendre objectivement compte que l’autre n’est pas forcément l’être idéal tant attendu.
Une phase de désillusion
- Les aspects négatifs qui ont été inconsciemment évincés vont refaire surface à plus ou moins court terme. Intervient alors la première crise, le doute et son cortège de questionnements : « Est-ce réellement la femme de ma vie ? »
- La désillusion conduit souvent à accabler sa partenaire de tous les défauts de la Terre.
Saboter la relation est une façon d’anticiper et de se mettre à l’abri de sa probable et prochaine fin.
- Il est très important de comprendre que cette période est essentielle, obligatoire et saine pour le couple car elle permet de se poser les bonnes questions et d’avancer dans la relation ou, au contraire, d’y mettre un terme.
- Le problème de celui qui a peur de l’engagement est qu’il gère mal l’arrivée des doutes.
Explications sur cette phase de désillusion…
- Aucun couple ne peut en faire l’économie.
- Elle est fondatrice en ce sens qu’elle est un passage obligé et le gage d’une possibilité de construire une histoire d’amour.
- Elle permet aux partenaires de se regarder tels qu’ils sont et de redéfinir les rôles de chacun pour permettre au couple d’avancer.
- Cette épreuve passe en premier lieu par l’acceptation de ce qu’est l’autre dans son entier : ses qualités, bien sûr, mais aussi et surtout, ses défauts.
- Aucun amour ne fonctionne naturellement tout au long de la vie sans qu’aucune des deux parties ne fasse ce pas vers l’autre.
- La rupture intervient souvent au moment de cette fameuse crise fondatrice et c’est compréhensible.
- On a tendance à se dire : « je suis déçu, je me pose beaucoup trop de questions, j’y vois là le signe qu’il ne s’agit pas de la bonne personne. »
- Mais n’oubliez pas que :
cette étape est un passage fondamental:
c’est une phase qui a vocation à se terminer rapidement pour vous amener à prendre une décision dans un sens ou dans l’autre
sans ce passage aucune histoire ne peut s’établir sur des bases réelles, saines et équilibrées.
Maîtriser sa crainte de l’engagement, passer outre et construire avec la bonne personne.
Une fois votre situation mieux comprise, mieux analysée, il s’agit d’aller de l’avant. Il n’y a aucune raison de ne pas réussir à construire une belle histoire sur la durée. Lorsque vous vous trouvez face à l’engagement vous êtes soumis à une peur qui est somme toute légitime mais qui est, vous l’aurez compris, maîtrisable.
Si vous faites partie des “déçus” du couple
Il conviendrait peut-être d’avoir un regard moins sélectif sur votre entourage.
Cherchez à identifier avec lucidité ceux sont heureux dans leur vie de couple et qui s’y épanouissent.
Si vous avez peur de vous tromper de partenaire
Il conviendrait de vous arrêter un moment pour réfléchir.
au type de femme qui vous attire et de rechercher les points communs entre elles.
aux premiers moments de vos relations (quand tellement de traits de caractère sont délibérément mis de côté) et de porter un regard lucide sur la façon dont les relations se sont installées.
à savoir si vous avez réellement pris le temps de connaître vos partenaires, de passer du temps avec elles : si vous ne vous êtes pas un peu précipité… avant de commencer la relation.
Si vous avez peur de la rupture
Il est bon de savoir que, si une rupture est effectivement une véritable épreuve, emplie de souffrance, il est possible, après un travail de deuil bien mené, de vivre une autre belle histoire d’amour.
Refuser un nouvel engagement, la période de “convalescence” terminée, serait le signe d’un deuil pathologique.
Si vous manquez d’estime envers vous-même
Il est nécessaire de vous faire aider par un spécialiste afin de construire ou de développer celle-ci.
Si vous aviez peur de ne pas savoir aimer
Il est essentiel de suivre vos élans et votre instinct.
Vous vous apercevrez qu’il suffit parfois de se laisser aller en toute confiance pour se surprendre à savoir aimer.
En cas de doute, il est toujours possible de s’adresser à sa partenaire pour mieux connaître ses attentes. L’amour fera le reste et l’engagement ne sera plus un problème.
Si vous craignez de ne pas être aimé comme vous le voudriez
Sachez que l’expression de vos attentes est un excellent moyen pour que la partenaire puisse à la fois les comprendre et répondre à vos désirs — dans la mesure où ils sont réalistes…
La question de l’engagement ne se posera même plus.
Dans tous les cas, faites un pas de plus vers l’autre et dialoguez pour exprimer vos attentes, votre besoin de prendre une bonne décision. Et écouter également les attentes de l’autre.
Maîtriser sa crainte de l’engagement, passer outre et construire avec la bonne personne. (2)
En bref
Lorsque viendra le moment important du choix, gardez en tête ce que vous avez appris :
Reprenez le contrôle sur vos émotions et vos prises de décision avec l’objectivité qui est maintenant la vôtre.
Apprenez à rationaliser la situation en vous posant les bonnes questions quant à vos attentes fondamentales.
Repérez votre « seuil-limite » et appréhendez-le avec sérénité.
Dialoguez avec votre partenaire. Gardez en tête que face à toute problématique rencontrée, le dialogue est la condition sine qua non au bon fonctionnement d’un couple.
Ne laissez pas le doute vous submerger : apprivoisez–le.
- Voyez-y le signe que le moment est venu de se poser les vraies questions et de construire durablement ou pas. « Cette femme est-elle faite pour moi ? »
- Répondez à cette question, ô combien essentielle, armé de la plus grande lucidité : personne n’est omnipotent ! Demandez vous également ce que vous apportez à la relation (et non pas uniquement ce qu’elle ne vous apporte pas, elle).
N’attendez pas tout d’une histoire d’amour.
N’y investissez pas plus que ce qu’une relation peut vous donner. Souvent, certaines personnes, très inconsciemment attendent de l’autre qu’il comble leur manque (ex : il est cultivé, je ne le suis pas). L’attirance, basée principalement sur le « manque comblé » rend la relation compliquée sur le long terme.
Ne gardez pas trop en tête ce que vous attendez d’une histoire d’amour mais étudiez plutôt tout ce que celle que vous êtes en train de développer peut vous apportez.
Reprenez confiance en vous et en votre capacité à aimer.
En dernier lieu, selon les mots de Serge Gainsbourg, prenez soin de ne pas « fuir le bonheur de vivre de peur qu’il ne se sauve ».
N’oubliez pas que s’engager dans une relation amoureuse n’est pas une condamnation à mort : dédramatisez.
Vous disposerez encore librement de vous-même à l’avenir. Si réellement il ne s’agit pas de la bonne personne, alors une autre viendra.
La différence est que, maintenant, vous pourrez aborder avec plus de confiance et de discernement les possibilités de construction d’une véritable histoire d’amour…
Pour aller plus loin…
Posez une question personnelle à un coach.
Décrivez votre situation et laissez vos coordonnées téléphonique et l’une de nos coachs vous appellera.
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Tous nos coachs sont certifiés Love Intelligence®. En plus de la formation Love Intelligence, nos coachs sont diplômés en coaching, conseiller conjugal, PNL ou psychologie.
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