Notre enfance influence nos relations et la recherche de notre partenaire

Par
Florence Escaravage
6 min
9/5/2024

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OMBER AMOUREUX D’UNE PERSONNE DÉPEND DU DEGRÉ AUQUEL CETTE PERSONNE SE SUPERPOSE À NOTRE IMAGO

Cela fonctionne comme une base de données : notre cerveau analyse les points communs, les différences avec cette personne et il nous donne un résultat de compatibilité ou d’incompatibilité. Soit il y a trop de différences, dans ce cas-là nous restons indifférent, soit il y a de fortes corrélations et dans ce cas-là nous trouvons cette personne très séduisante.

« Je ne supporte pas qu’il soit sévère avec les enfants, mais le fait qu’il passe beaucoup de temps avec ses amis ne me dérange pas. C’est marrant, car dans le couple de ma meilleure amie, c’est exactement le contraire. » Pourquoi sommes-nous énervés sur certains sujets et très détendus sur d’autres ? Pour comprendre cela, il faut remonter jusque dans notre enfance. Car nos colères, nos crises, notre caractère, sont forgés depuis notre enfance et sont profondément ancrés dans notre cerveau.

RACONTE-MOI TON ENFANCE, JE TE DIRAIS QUI TU ES

Nos besoins

Lorsque nous sommes enfants, nous passons par plusieurs stades de développement. Les réactions de nos parents face à nos besoins changeants ont considérablement joué un rôle dans notre équilibre émotionnel. Tous sans exception, nous avons eu dans notre enfance des besoins inassouvis ou du moins l’angoisse qu’ils ne soient pas assouvis. Ces besoins nous suivent jusqu’à l’âge adulte et s’ancrent profondément en nous. Nous éprouvons alors inconsciemment le désir d’être soigné, d’être protégé pour pouvoir avancer sans encombres vers la maturité. C’est là où le couple joue un rôle crucial. Par exemple, si, lorsque nous étions tristes et que nous cherchions du réconfort dans les bras de nos parents, ceux-ci nous repoussaient « Oust ! Je suis occupé ! » ou « Arrête d’être toujours dans mes jambes » alors nous devenons dépendants à l’âge adulte en vivant dans la peur d’être abandonné, nous cherchons quelqu’un qui soit très affectif. A l’inverse, si nos parents étaient trop protecteurs avec nous et que nous nous sommes bien émancipés, nous cherchons la liberté, nous aimons être tranquilles ou isolés.

Notre socialisation

Il s’agit des messages que nous avons reçus de la part de nos parents, nos frères et sœurs, notre nourrice… et de la société elle-même, des messages qui nous disent comment nous comporter, que faire et qui devenir. Ces messages, nous les enregistrons dans notre mémoire et ils définissent ce que nous devenons, notre caractère. Par exemple, si lorsque nous étions enfant nos parents nous répétaient sans cesse « tu n’es pas intelligente comme ton frère » ou « tu auras besoin de trouver un homme intelligent sinon tu ne t’en sortiras pas toute seule » alors à l’âge adulte, (en fonction de la manière dont on s’est affranchi de nos transmissions), nous pouvons devenir une personne peu sûre d’elle, peu apte à penser clairement ou logiquement, anxieuse. De plus, si la société diffusait l’idée que les petites filles deviendraient des femmes belles, gentilles, soumises et jamais aussi brillantes que leur mari, alors le message, ajouté à celui de nos parents, s’amplifie en nous.

Notre corps

Dès notre plus jeune âge, nous sommes conditionnés : on nous apprend à nous habiller en fille ou en garçon, à ne pas montrer ni toucher nos parties génitales. Les enfants ne doivent pas être nus quand il fait chaud ou lorsqu’ils sont à la plage. Il faut rester naturel. Ou il faut en faire beaucoup pour plaire à un homme. De nombreux interdits et moult croyances nous ont été imposés et transmis sur notre sexualité quand nous étions enfant et cela se ressent à l’âge adulte.

Nos émotions

Nos sentiments sont également contrôlés : certains comme la joie sont permis et même encouragés et félicités mais d’autres comme la colère sont réprimées car déplaisants. Certains de nos sentiments et pensées, tout comme nos sensations sexuelles, considérés comme antisociaux nous ont été interdits et cela nous a créé un sentiment de frustration plus ou moins fort selon la manière dont on a été élevé. Il existe de nombreuses manières de réprimer un enfant. Nous pouvons lui donner des directives : « Ne te touche pas là », « Les garçons ne pleurent pas », « Je ne veux plus jamais t’entendre dire ça », « Non chez nous ça ne se fait pas ». Et il existe tout autant de manière pour récompenser un bon comportement (ou au contraire fermer les yeux).

Tous ces conditionnements nous amènent, dans le couple, à vivre de manière « relax » sur certains sujets, et, au contraire, de manière « crispante » sur d’autres. Comprendre ce qui se joue dans nos tensions, absences, silences, repli sur soi, dans le cadre de la relation est tellement fondamental pour une vie de couple épanouie, que nous abordons ce sujet régulièrement dans ce programme. L’objectif de cette Lovers’ Drive ? Faire un petit pas de plus pour faire sauter (ou assouplir) un conditionnement qui gâche parfois un peu la qualité de la relation.

DANS LES PROFONDEURS DE NOTRE INCONSCIENCE : NOS DIFFÉRENTS « MOI »

Harville Hendrix, thérapeute conjugal et auteur de Le couple : mode d’emploi, a défini trois parties du « moi » : le moi perdu, le faux moi et le moi renié. Ensemble, ces éléments forment notre personnalité.

Le moi perdu

Toutes ces parties de nous-mêmes dont nous n’avons pas conscience mais qui forgent notre caractère font partie du moi perdu. Il s’agit de tous ces aspects de nous-même que nous avons dû refouler en raison des contraintes sociales. Chacun de nos comportements, de nos réactions, de nos ressentis sont identifiés à une attitude, un sentiment, une pensée que nous avons éliminés de notre moi conscient. Notre moi perdu se forme très tôt dans notre enfance. La société – chaque société – possède un ensemble de lois, de valeurs, de croyances, de pratiques que nous devons assimilés dès l’enfance et ce sont nos parents qui en sont les principaux vecteurs.

Le faux moi

Le faux moi camoufle nos parties refoulées tout en nous protégeant de souffrances ultérieures. Il s’agit d’une façade, d’un masque que l’on se donne pour combler le vide créé par ces refoulements et ces carences affectives de notre enfance. Par exemple, un enfant élevé par une mère distante pourrait devenir un « dur » en se disant « Je me moque que ma mère ne soit pas affectueuse. Je peux me débrouiller tout seul ». Il se crée alors sa propre carapace.

Le moi renié

Mais cette forme d’autoprotection devient source de blessures car l’enfant est critiqué pour sa négativité. L’enfant, ne voulant pas être rejeté par les autres, se retrouve piégé car il ne veut pas abandonner son autoprotection. Ces traits négatifs ont été forgés par sa souffrance mais sont devenus partie intégrante d’une fausse identité. Ses traits positifs peuvent se trouver effacés. Alors, pour maintenir une image positive, l’enfant doit renier son faux moi. Ces parties négatives ont suscité la désapprobation et ont donc été reniées.


LA COMPLEXITÉ DE NOTRE CERVEAU

Les trois parties de notre cerveau

Notre cerveau est divisé en trois parties d’après le neuroscientifique Paul McLean : le tronc cérébral, le système limbique et le cortex cérébral. Le tronc cérébral est la partie du cerveau qui contrôle la reproduction, l’instinct de conservation et les fonctions vitales (circulation du sang, respiration, sommeil, muscles…). Le tronc cérébral est la source de nos actions physiques. Le système limbique a pour fonction principale de susciter et de stimuler des émotions vives. Le cortex cérébral est la partie de notre cerveau qui est la plus développée, c’est le centre de la majorité de nos fonctions cognitives. C’est la partie consciente de nous-même, celle qui nous permet de penser, de réagir, de prendre des décisions, de trier l’information, d’élaborer des idées.

Le vieux cerveau et le nouveau cerveau

Harville Hendrix a quant à lui défini deux parties du cerveau : le vieux cerveau (tronc cérébral + système limbique) et le nouveau cerveau (cortex cérébral). Le nouveau cerveau a une logique de base qui cherche une cause à chaque effet et un effet à chaque cause. Il peut modérer les réactions instinctives de notre vieux cerveau. Nous ne sommes pas conscients de notre vieux cerveau contrairement au nouveau. Le vieux cerveau semble avoir une conscience floue du monde extérieur, il tire ses informations des images, symboles et pensées fournis par le nouveau cerveau.

Pour le vieux cerveau, il n’existe que 6 catégories de personnes

La seule chose qui lui importe est de savoir dans quelle catégorie classer les personnes de notre entourage :

  1. celles dont on doit prendre soin,
  2. celles qui prendront soin de nous,
  3. celles avec qui nous pouvons avoir des rapports sexuels,
  4. celles avec qui nous devons fuir,
  5. celles à qui nous devons nous soumettre,
  6. celles que nous devons attaquer. Conjoint, voisin, parent, ami… ne sont pas des critères qui entrent en compte. Le vieux cerveau n’a aucune notion de temps, il ne connaît ni le passé, ni le présent, ni le futur car pour lui tout perdure. Ce principe est important : il nous permet de comprendre pourquoi il nous arrive d’avoir des réactions excessives ou des sentiments inadaptés à une situation particulière.

LE CHOIX DE NOTRE PARTENAIRE N’EST PAS UN HASARD

Nous sommes très sélectifs lorsque nous choisissons notre partenaire et nous semblons être à la recherche d’un seul et unique partenaire avec sa panoplie de traits positifs et négatifs. D’après Harville Hendrix, ce que nous recherchons, c’est quelqu’un ayant les traits de caractère prédominants de la personne qui nous a élevé. En effet, notre vieux cerveau, emprisonné dans un présent éternel et n’ayant qu’une faible conscience du monde extérieur, essaye de recréer l’environnement de notre enfance. Et la raison pour laquelle ce vieux cerveau essaye de faire resurgir le passé relève d’un besoin irrésistible de guérir de vieilles blessures d’enfance. Pour Hendrix, la vraie raison pour laquelle nous tombons amoureux de notre partenaire n’est ni sa beauté, ni son caractère, ni sa réussite professionnelle, ni ses valeurs. Nous tombons amoureux d’une personne parce que notre vieux cerveau a confondu notre partenaire avec nos parents ! Notre vieux cerveau a cru qu’il avait finalement trouvé le candidat idéal pour panser nos blessures d’enfances et nous guérir des dégâts psychologiques et émotionnels qui nous ont marqué dans notre passé.

Nous choisissons nos partenaires pour deux raisons fondamentales : • Ils ont à la fois les qualités et les défauts des personnes qui nous ont élevés. • Ils compensent les parties positives de nous-mêmes dont nous avons été amputées dans notre enfance.

NON, MON PARTENAIRE NE RESSEMBLE PAS À MES PARENTS !

Beaucoup de personnes ont du mal à accepter l’idée que nous choisissons des personnes ressemblant à nos parents. Consciemment, nous nous disons que nous avons choisi notre partenaire pour ses qualités « il est beau, gentil, intelligent ou drôle, ou sociable, ou mystérieux… ». Mais inconsciemment, nous sommes attirés par des personnes ayant les qualités et les défauts des protecteurs de notre enfance et ce sont les traits négatifs qui ont le plus d’influence sur nous. Pourquoi ? La logique voudrait qu’on choisisse justement quelqu’un qui soit bourré de qualités ou qui aurait les capacités de compenser les insuffisances de nos parents. Par exemple, si nos parents ont eu tendance à nous surprotéger lorsqu’on était enfant, on devrait choisir une personne qui nous laisserait respirer, qui nous offrirait un peu de liberté afin de surmonter notre peur d’être emprisonné. Cependant, c’est notre vieux cerveau, myope et dépourvu de toute notion temporelle qui a dirigé notre recherche de partenaire, ce n’était pas notre nouveau cerveau, logique et organisé. Et notre vieux cerveau a essayé de recréer un environnement semblable à notre enfance dans le but de corriger nos blessures. Son but était de reconstituer notre frustration afin de la guérir définitivement. Ahhhh, voilà encore à quoi sert donc le couple : guérir de nos blessures d’enfance et grandir librement en étant plus fort, plus libre de nos conditionnements du passé.

L’IMAGO

Chacun de nous porte une image qui contient les caractéristiques positives et négatives de nos parents (ou des personnes qui ont pris soin de nous enfant) et de leurs attitudes à notre égard. Cette image est appeléel’Imago. Elle détermine la manière dont nous vivons nos relations par la suite. C’est une sorte de mémoire inconsciente qui est inscrite, gravée en nous.

L’IMAGO : ON PREND LE NÉGATIF DE NOS PARENTS ?

Consciemment, nous cherchons des personnes dotées uniquement de qualités (gentille, aimante, intelligente, belle…). Mais notre enfance influence notre recherche de partenaire. Nous pouvons par exemple nous dire « Je n’épouserai jamais un infidèle comme mon père » ou bien « Il est hors de question que je fasse ma vie avec un tyran comme ma mère ». Et la plupart d’entre nous sommes attirés par des personnes pourvues des qualités et des défauts de nos parents (ou de nos protecteurs : nourrices, oncles, grands-parents…) et généralement, ce sont les traits négatifs, les défauts qui ont le plus d’influence. Tous les thérapeutes vous diront que leurs patients énoncent souvent des phrases telles que « Tu me traites exactement comme le faisait ma mère » ou « Je me sens aussi frustrée que je l’étais face à mon beau-père ». Nous vous avons déjà fait travailler sur l’exercice qui consiste à comparer les traits de caractère de votre moitié à ceux de vos parents. Et dans la plupart des cas, chacun trouve d’étroites corrélations notamment sur les traits négatifs. Pourquoi ? Car c’est notre vieux cerveau qui a dirigé notre recherche de partenaire et son but est de recréer notre enfance pour en corriger les blessures.

TOMBER AMOUREUX D’UNE PERSONNE DÉPEND DU DEGRÉ AUQUEL CETTE PERSONNE SE SUPERPOSE À NOTRE IMAGO

Cela fonctionne comme une base de données : notre cerveau analyse les points communs, les différences avec cette personne et il nous donne un résultat de compatibilité ou d’incompatibilité. Soit il y a trop de différences, dans ce cas-là nous restons indifférent, soit il y a de fortes corrélations et dans ce cas-là nous trouvons cette personne très séduisante.

DEVENIR CONSCIENT(E) ET MIEUX GÉRER SA RELATION

Vous comprenez maintenant pourquoi vous avez choisi votre partenaire, pourquoi c’est lui (elle) et pas un(e) autre. Vous avez pris conscience de beaucoup de choses. D’abord, vous avez compris que votre relation amoureuse avait un but caché, celui de guérir les blessures de votre enfance. Désormais, vous devez apprendre à reconnaître les conflits non résolus de votre enfance au lieu de vous concentrer sur vos besoins superficiels. Ainsi, vous aurez une meilleure maîtrise de votre vie et surtout une relation plus épanouie. Vous avez maintenant une image plus précise de votre partenaire. Vous vous débarrassez progressivement de vos illusions, vous apprenez à mieux connaître votre partenaire en le voyant, non plus comme un sauveur, mais comme un être blessé par son enfance, tout comme vous. Vous devenez plus intentionnel(le) dans votre relation, vous vous comportez de manière plus constructive. Vous établissez de nouvelles voies de communication, vous faîtes part de vos besoins et de vos désirs à votre partenaire et vice versa. Vous faîtes votre possible pour répondre aux besoins de votre partenaire. Et surtout, vous comprenez qu’une bonne relation nécessite de l’amour mais surtout courage, maturité, engagement, discipline, travail et communication. C’est aussi ce que nous appelons, au sein de Fantastic Couple, la maturité affective.

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Franchement je donne mon avis car je pense quon ne peut pas critiquer le programme il est fait par des personnes qui accompagnent les gens dans leur vie de couple sans pour autant avoir une approche psy.

Gaëlle