Dans mes rencontres, je vois le mal partout
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En quoi sont-elles nocives ?
« Il ne m’aime pas. » « Il/elle en aime un(e) autre, je le sais. »
Ces pensées vous ont peut-être accompagné lors des premiers rendez-vous, vous donnant un coup de stress et vous faisant comprendre que cette personne compte pour vous et que vous désiriez être aimé(e)elle. Cependant, si ces pensées sont récurrentes et qu’elles teintent vos rencontres qui comptent, les conséquences sont peut être désastreuses pour vos relations et vous ne savez plus quoi faire. Alors, quel est le problème ? Une amie vous dirait certainement que vous portez les lunettes du pessimisme et que par conséquent vous trouvez toujours facilement les arguments qui soutiennent cette pensée (il va se rendre compte finalement que je ne lui plais plus etc.), et la suite de la relation, tôt ou tard, confirmera votre « intuition » initiale.
Alors, votre amie a-t-elle raison ?
Par exemple, si vous pensez qu’il/elle ne vous aime pas vraiment,vous chercherez à sécuriser la relation en ne lui donnant pas assez de fluidité. Ou bien vous chercherez à contrôler votre séduction, vos dires, et l’échange pourra être intéressant, mais sans émotion, car le contrôle tue l’attraction. Certaines personnes vont en effet se focaliser sur les manques, comme par exemple sur le fait qu’il vous ait abandonné pour aller voir un match de foot avec ses amis, et occulter les heures de détente, restos, shopping qu’il a passé avec vous. On saborde ainsi soi même la relation, on y croit pas, on sait que l’autre ne va pas avoir envie de « tenir » sur la durée. Et comme quelque chose que l’on redoute, on le provoque. On ne se sent jamais assez aimé(e) et cela nous génère de l’anxiété. Anxiété qui nous vous poussera à avoir des comportements méfiants, envahissants envers lui/elle, (cf. Les comportements étouffants) qui ne se sentira pas libre de vous aimer. Et puis il sentira que vous ne cherchez pas à le comprendre, donc il aura le sentiment de ne pas être aimé pour ce qu’il est, et aura tendance à fuir. Néanmoins il n’est pas impossible de sortir de ce cercle vicieux !
COMMENT SE DÉBARRASSER…DE CE SCHÉMA RÉCURRENT QUI NOUS EMPÊCHE DE TRANSFORMER DE BELLES RENCONTRES EN DE GRANDES HISTOIRES ?
Contrairement à ce que l’on pourrait penser « on ne naît pas pessimiste » ou abonné(e) aux histoires à impasse. Lorsque nous sabordons nos histoires d’amour, c’est un apprentissage qui a pu se faire à la suite de déceptions amoureuses, ou dans notre enfance. D’où l’importance de se libérer de son passé, nous vous conseillons de « travailler à fond », seul(e) cette question grâce à l’Etape 1 de la Méthode Florence.
VOTRE CROYANCE FREINANTE SUR L’AMOUR.
Vous n’arrêtez pas de penser qu’il/elle n’est pas assez impliqué ? ? Ou vous faîtes tout pour vous empêcher d’y penser ? Vous vous répéter sans cesse qu’il faut rester positif(e) … mais sans succès ? Ou alors vous êtes en colère contre vous-même, déprimé(e), car vous savez que vous vous êtes installé dans un schéma qui vous conduit à ne pas réussir vos relations. Vous voulez changer et ne savez pas comment ? Premièrement arrêter de lutter contre vous-mêmes et acceptez que vous pouvez vivre une grande histoire d’amour. Y croire, c’est le plus important.. Tant que cette croyance n’a pas été intégrée, vous ne pourrez-pas aller de l’avant, et courrez tout droit vers des relations qui se terminent trop tôt. Quand vous aurez accepté le fait que vous êtes, tout simplement, une personne à aimer, que vous pouvez avoir des faiblesses (et des ressources évidemment !) et que tout votre être peut être aimé ; cela voudra dire que vous pourrez enfin stopper le contrôle et accepter d’être laissé(e) voir comme vous êtes. Sans vulnérabilité exprimée, il n’y a pas de possibilités d’être aimé(e). Dès que vous contrôlez votre discours, l’autre ne ressent rien et la relation devient amicale.
Quitter cette croyance que l’amour ne marche jamais avec vous c’est activer les bons ressorts dans chaque situation de rencontre ou de relation. Et vous serez en mesure de vous construire.
Y CROIRE, C’EST BIEN MON PROBLÈME
Y croire, signifie aussi accepter sa part de responsabilité dans la co construction d’une belle relation, comme dans la direction à donner pour faire de bonnes rencontres.
Cela ne sert à rien d’accuser l’autre, ou le manque de chance dans ses rencontres. Je vous propose d’utiliser davantage le « je » dans votre vie amoureuse. JE décide de livrer une part intacte de moi-même, pure, vraie. JE décide d’enclencher des rencontres. JE décide d’apprendre à me faire respecter. JE décide d’ouvrir chaque conversation afin que l’autre se livre, et que je me donne une chance d’être séduit(e).
JE SUIS DÉPENDANT(E) AFFECTIF(VE) ? CE N’EST PAS GRAVE !
D’autre part, La société d’aujourd’hui a tendance à condamner le fait d’être dépendant. On voit beaucoup de livres publiés sur les dépendances affectives. Mais se sentir mal et appeler son chéri pour être rassurer n’a rien de toxique. C’est le propre d’un attachement sécure. La dépendance c’est rester passif, ou inactif quand l’autre est absent, ou trop le solliciter. Le solliciter de temps en temps, c’est normal. Si votre partenaire ne l’accepte pas, cela risque d’augmenter vote anxiété et votre dépendance.
TRAVAILLER SON INTELLIGENCE ÉMOTIONNELLE
Cette étape va de pair avec l’étape « accepter la situation ». Au cours de vos rencontres, vous allez vous appliquer à écouter transmettre votre ressenti sur les situations marquantes de votre vie que vous avez traversées. Mettre ainsi des mots sur vos émotions et vos ressentis, en parler, c’est donner la possibilité à l’autre de vous capter, d’être touché par vous. Les personnes anxieuses, (mais pas toutes !) ont cette difficulté à parler de leurs émotions. Lorsqu’elles ont peu de distance émotionnelle, elles provoquent chez le/la conjoint(e) un mouvement de recul, une impression d’étouffer. Lorsqu’elles ont un blocage émotionnel, elles provoquent chez leur conjoint(e), ce même mouvement de recul. Sachez vous livrer néanmoins, tout en exprimant aussi, par ailleurs, les éléments positifs de votre vie. Car tout retenir et tout caché serait une erreur, tout votre être sonnerait faux.
FAIRE UNE RÉTROSPECTIVE SUR SES RELATIONS AMOUREUSES
Prenez une feuille et crayon et faîtes une liste exhaustive de vos relations amoureuses, ou d’évènements de votre enfance, des relations que vous avez avec vos parents. Après avoir décrit en détail vos relations amoureuses, relevez les mots qui parlent d’émotions, la prévalence du positif et du négatif, la cohérence et votre capacité à vous souvenir pour déceler ou non des blocages, des distorsions. Si votre récit est assez fluide et cohérent, si vous avez réussi à prendre une distance émotionnelle vis-à-vis des évènements du passé, si votre récit montre que vous avez confiance en vous-même et les autres alors vous avez sans doute un attachement sécure. Si vous avez une majorité d’émotions négatives, que vous êtes confus, que vous sentez que vous n’êtes pas libéré(e) du passé, qu’il n’y a pas de distance émotionnelle, on peut parler d’attachement anxieux. Si vous êtes indifférent aux émotions, si vous niez l’importance de vos relations, si vous avez confiance en vous mais que vous vous méfiez des autres alors vous êtes surement « évitant ».
COMMENT VOIR L’AUTRE TEL QU’IL EST, SANS PRÉJUGÉS DÉLÉTÈRES, ET DÉCOUVRIR DES MERVEILLES CACHÉES ?
Si vous possédez un système de croyances, tel que : « il ne m’aime pas ». Inversez la situation. Soyez maître de vous-même. Votre nouveau mantra sera « il m’aime ». Interrogez le aussi de telle manière à ce qu’il se sente compris. Questionnez le sur ses choix de vie, ses moteurs dans la vie, ses questionnements ; A travers ces nouvelles lunettes, vous ouvrez un nouvel espace de dialogue. Et vous vous concentrerez sur la situation dans son ensemble : « Ok il est allé voir le match de foot avec ses copains, mais il a fait du shopping avec moi tout l’aprèm, nos discussions sont passionnantes, j’ai le sentiment de le percer à jour, et j’ai le sentiment d’être comprise ». Il faut aussi accepter que l’autre ne soit pas un surhomme. Il peut parfois ne pas savoir comment gérer la situation. Lui expliquer, lui demander ce qu’on attend de lui. Voir l’autre tel qu’il est, c’est aussi admettre qu’on ne pourra jamais connaître l’autre dans sa globalité. Il faut savoir se laisser surprendre par la personne que l’on a devant nous et qui évolue sans arrêt. Penser que l’on connait entièrement une personne, (« Eh arrête hein, je te connais, tu fais toujours cela ! ») c’est refuser que celle-ci change. C’est vouloir la posséder.
RENFORCER L’ESTIME DE SOI EN AMOUR
(cf. Cultiver une bonne estime de soi)
Cela ne constitue en aucun cas une injonction à « être heureux », car il est normal d’avoir des hauts et des bas, tout comme il est normal d’avoir une fluctuation de l’estime de soi. En revanche, ces pensées si elles sont obsédantes peuvent vous nuire. C’est pourquoi je vous propose de suivre l’Etape 3 de la Méthode Florence : en quoi suis-je unique ? En attendant, voici quelques conseils pour vous redonner espoir : prenez soin de vous, entourez-vous de personnes qui vous apprécient, et faîtes de temps en temps des choses que vous réussissez facilement (mais pas que !). Tout au long de ces exercices, vous vous exposez aux émotions, et stimulez votre système parasympathique qui réduit votre anxiété. Cela vous aidera à vous sentir plus léger(e) et mieux réussir vos relations.
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