L’auto-érotisme : un substitut régressif ?
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L’auto-érotisme, plus fréquemment nommé la masturbation est une des pratiques sexuelles qui a toujours existée et qu’on a toujours voulu cacher. Aujourd’hui, elle est mieux tolérée et elle est même davantage considérée protectrice que dangereuse.
Love intelligence vous explique en quoi elle peut limiter le véritable rapport à l’autre mais aussi en quoi elle est primordiale dans le rôle qu’elle entretient avec les fantasmes.
Le sida a instauré une relation ambivalente avec la sexualité. Dès lors, il a introduit un changement dans les comportements sexuels et a redonné à la masturbation sa place centrale.
N’oublions pas que cet instinct naturel qu’est l’onanisme s’est ancré en nous dès l’enfance.
Beaucoup de personnes s’inquiètent et pensent que cette pratique risque d’empêcher l’orgasme vaginal.
Cet a priori est peut-être vrai, notre corps s’habituant très vite aux habitudes précoces. Ceci dit, l’absence d’érotisme à l’adolescence est sûrement plus inquiétant pour la sexualité future.
Quoiqu’il en soit, la masturbation ne devient véritablement un problème que lorsqu’elle se substitut complètement au coit. Un professionnel tel le sexologue, face à ce type de patient, s’intéresse aux fantasmes qui l’accompagnent.
Par exemple, nombre de femmes sont stupéfaites de surprendre leur mari en train de se masturber devant la télévision.
De même, les maris déçus par le manque de désir de leur femme s’étonnent parfois de trouver un vibromasseur dans leur sac.
Bien que ce soit une pratique solitaire, l’onanisme est un bon moyen de connaître son corps et son rapport au plaisir, il peut donc s’avérer utile de le pratiquer pour pouvoir connaître ses attentes et les partager à l’autre :
http://www.love-intelligence.fr/Tout-savoir-sur-l-orgasme.html?var_recherche=masturbation
Dès lors, il ne s’agit plus d’un simple refus d’une sexualité commune mais d’une véritable pathologie de l’attraction conjugale.
Ce que nous voulons dire par là c’est que préférer la masturbation à avoir un rapport sexuel complet avec son (sa) partenaire est révélatrice d’une relation défaillante avec l’autre.
Il convient de s’interroger sur son rapport à l’autre : est-ce par peur ? par dégoût ? par absence de désir qu’on refuse la sexualité avec l’autre ?
Toutefois, la masturbation, savamment dosée, est source d’enrichissement de la sexualité du couple.
Elle est un excellent préliminaire ou une alternative au rapport complet.
Elle est constructrice dans le sens où elle permet de laisser s’épanouir son imaginaire, déployer des scénarios fantasmatiques et ainsi entretenir le désir.
Elle permet de vous donner envie d’avoir envie et ainsi relancer votre sexualité en douceur :
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