Dans un couple, y a-t-il forcément un partenaire qui aime plus que l’autre ?
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Souvent, au terme d’une relation, on entend l’un des partenaires se livrer d’un
« De toutes façons, je l’ai toujours davantage aimée qu’elle ne m’a aimé. Et ça me convenait plutôt… »
D’où vient cette impression, cette croyance même, qu’un amour n’est jamais partagé de façon totalement équitable, que l’un des deux se résigne à une relation avec une personne qu’il apprécie, qu’il estime, mais qu’il n’aime pas autant qu’il devrait ? Décryptage.
LES ORIGINES D’UNE TELLE CROYANCE
Une croyance si fréquente qu’on peut se demander sur quoi elle est fondée.
Le modèle de couple parental
Certaines personnes ont ainsi pu constater que l’un de leurs parents aimait davantage que l’autre. Elles en ont conclu que c’était la norme et ont intégré cette observation comme une vérité sans y réfléchir, qu’il s’agisse d’une vérité ou d’une interprétation du comportement de leurs parents l’un envers l’autre.
Un manque profond d’estime de soi
Ces personnes en arrivent alors très vite à cette conclusion et se résignent à être moins aimées par leur partenaire.
La plupart du temps, elles sont déjà très étonnées — et restent parfois sceptiques — d’avoir été choisies, d’être aimées. Leur amour comporte une très grande part de reconnaissance envers cet autre qui a “daigné” s’intéresser à elles.
Cette reconnaissance est d’ailleurs trop souvent confondue avec l’amour.
Un amour communicatif « miroir »
Il existe des personnes qui vivent en relation avec un(e) partenaire très amoureux alors qu’elles-mêmes l’aiment moins et le reconnaissent. Ce qu’elles ont surtout apprécié, ce sont justement les sentiments très forts de ce(tte) partenaire.
En réalité, elles aiment surtout être aimées : elles sont plutôt des amoureuses de l’amour.

Dans ce cas, cette croyance peut sembler fondée, mais c’est une erreur puisque, du côté de la personne qui est aimée, il ne s’agit pas de sentiments amoureux ou d’amour. Elles sont seulement extrêmement flattées d’être quasiment adorées par leur partenaire : c’est très bon pour leur ego. Leur fierté d’elles-mêmes en est gonflée et elles se laissent aimer avec bonheur.
Jusqu’au jour où les marques d’amour qu’elles reçoivent finissent par les lasser : elles se sentent comme piégées dans cet attachement qui ne leur convient plus.
A moins qu’elles tombent réellement amoureuses d’un(e) autre partenaire. Le (la) partenaire premier(e) qui les aiment tant sera vite évincé(e).
UNE QUÊTE ÉPERDUE D’AMOUR
Il est également possible que des personnes croient que la “quantité”, ou la “qualité”, ou encore la force de l’amour soit mesurable par le degré de satisfaction de ses attentes dans le couple.
Elles font souvent fausse route : si elles n’ont pas exprimé ces attentes, leurs désirs et leurs envies à leur partenaire, ce dernier ne sait pas a priori ce qu’elles désirent.
Ils avancent un peu à l’aveuglette dans leur relation, et malgré leur totale bonne volonté et total amour, ils tâtonnent et se trompent, ne sachant pas ce qui plaira.
Dans ce cas, il est urgent que ces personnes s’expriment davantage et verbalisent leurs attentes. Sinon, elles risquent bien de se croire peu aimées, à tort.
Une confusion entre dévouement et amour
De nombreuses personnes qui ont cette croyance ont le sentiment de donner beaucoup à l’autre sans recevoir autant, et donc de l’aimer plus qu’elles ne sont aimées.
Car il faut bien confirmer ses croyances : c’est rassurant.
C’est donc dans l’objectif inconscient de se conforter dans l’idée que cette attitude de dévouement total — voire de sacrifice — est un véritable amour, qu’on l’adopte.
Mais ce n’est ni juste ni équilibré, et la relation de pourra durer sur une telle base.
6 ÉTAPES POUR LUTTER CONTRE CETTE « CROYANCE-VÉRITÉ »

- Bien la repérer, en connaître et reconnaître l’existence.
- Se demander d’où elle vient : de l’observation du couple parental ? D’expériences antérieures ? Du manque d’estime de soi ?
- Lorsque l’origine en est connue, se questionner sur sa véracité :
- regarder autour de soi avec lucidité, sans a priori ;
- en parler à des ami(e)s qui ne partagent pas cette idée ;
- en parler à un spécialiste.
- Se demander si l’on ne met pas tout en œuvre, inconsciemment, pour la confirmer, la renforcer.
- Déterminer avec toute l’objectivité possible, si, dans son histoire amoureuse, on a eu le sentiment d’aimer plus que l’autre, ou de l’avoir aimé mieux que lui. En tirer des conclusions.
- Faire la même chose si l’on est dans une relation amoureuse : a-t-on le sentiment d’aimer plus ou moins que l’autre ? Se demander ce que cela veut dire et en parler avec son (sa) partenaire. L’évaluation de la quantité d’amour n’est pas forcément juste.
Le sentiment qu’un des partenaires aime plus que l’autre relève donc essentiellement d’une croyance, aux fondements divers.
Si cette croyance vous vient, posez-vous les bonnes questions et surtout, gardez en tête qu’une relation ne peut fonctionner à long terme que dans le respect et l’équité des deux partenaires.
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