
La génération sacrifiée en amour, et si les politiques nous aidaient ?
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Nous n’avons jamais autant écrit sur la question du genre, quand plus personne ne se penche sur la question de l’amour. Pourtant, notre 21ème siècle traverse bien une dérive de l’amour ; nous rentrons, sans nous en rendre compte, dans une culture du désengagement amoureux. Les seuls qui communiquent sur le sujet du couple sont les Tinder, Happn’, Gleeden, et les sites pornos s’affichent subrepticement sur les écrans de nos enfants. Pourquoi les trentenaires représentent-ils la génération sacrifiée de l’amour ? L’état intervient sur les questions intimes de la PMA, aurait-il aussi une place à prendre en recherche, et dans les collèges pour reparler d’éducation affective (et pas uniquement sexuelle et placée dans la peur de l’autre). Nous avons un secrétariat d’Etat chargé de lutter contre la discrimination Hommes Femmes. Et, si le plus important était de nous apprendre à créer des liens, et de gagner en éducation affective ?
Constat
A l’heure de la consommation de l’autre, la solitude affective est plus forte que jamais et affecte en particulier les très jeunes générations, en perte de repères, exposées à une entrée problématique dans la sexualité et dans les relations amoureuses. Elles nous semblent tout particulièrement souffrir :
- le cyber-harcèlement, le « revenge porn » et l’augmentation alarmante de la prostitution de jeunes filles, y compris dans les couches aisées de la population, notamment au sein des établissements scolaires.
- les enfants se construisent avec les images de la pornographie (bien avant l’adolescence et à une très large échelle). Ils se construisent sur des bases biaisées.
- les divorces ne cessent d’augmenter, tout comme la dépression et autres troubles « psy », créant un appauvrissement matériel et les vulnérabilisant psychiquement.
Nous avons tous un manque d’éducation relationnelle et sexuelle (plus de transmission, plus de modèles, valeurs perdues).
Solutions
La prévention et l’éducation constituent deux de nos outils pour endiguer l’immaturité affective.
L’éducation affective, ça s’apprend
S’il ne s’agit pas de promouvoir des valeurs, ni d’imposer un quelconque modèle amoureux, il s’agit d’engager un effort public de transmission de clés simples, cognitives et comportementales, donnant aux personnes plus de chances d’accroitre leur bonheur amoureux et donc leur bien-être global. Car il est indéniable que la clé principale du bien-être, individuel autant que social, réside dans nos relations avec l’autre, dans notre éducation affective et dans notre intelligence émotionnelle. Toute notre éducation ne peut donc plus être limitée à nos compétences intellectuelles. Apprendre à être bien à deux, établir les bonnes bases du développement affectif outre que cognitif nous apparaît désormais comme un objectif incontournable de tout système éducatif et social se voulant moderne.
Notre but n’est pas de s’attaquer au « pourquoi » des problèmes amoureux. Donc la thérapie n’est pas la solution. Il faut répondre au « comment », pour que chacun ait un gouvernail pour diriger ses désirs en accord avec son propre bonheur et moins au gré de cette surenchère d’attentes illusoires ou de consommation de l’amour. Autrement dit, divulguer auprès du plus grand nombre des clés simples pour que chacun soit le pilote dans l’avion de sa vie affective.
Chacun doit pouvoir franchir les stades d’une relation. Une étude américaine démontre que 80% des couples stagnent au stade de la lutte de pouvoirs (Etape 1 : état amoureux. Etape 2 : désillusion, Etape 3 : lutte de pouvoir/Confrontation des 2 visions du monde. Etape 4 : le couple ne doute plus ou n’est plus remis en question à chaque dispute, c’est un couple connecté, où chacun assume qu’il est co-créateur de la relation accepte sa part de responsabilité, est co-engagé) = chacun pallie aux difficultés rencontrées dans une meilleure connaissance de chacun. Avec les applis, la majorité des couples ne passent plus la phase n°2. [Découvrez les 5 stades du couple.->https://www.love-intelligence.fr/La-maturite-affective-les-5-stades-du-couple.html?var_recherche=5%20stades%20du%20couple]
Love Intelligence a décidé de monter au créneau de nos politiques pour les réveiller, les sensibiliser et leur proposer un plan d’actions concrètes pour favoriser la transmission dans le domaine des dynamiques des relations amoureuses.
Nous avons donc réfléchi à quels mesures et programmes serait-il envisageable d’appliquer en France ? Comment mener ce combat en faveur du bien-être affectif, relationnel et sexuel, dans le respect de la vie privée et de la diversité des citoyen.ne.s ? Comment éviter l’écueil paternaliste, sans pour autant balayer la question du bonheur individuel ? Si vous voulez en savoir plus, n’hésitez pas à nous contacter.
Par ailleurs, voici un rapide éclairage sur la manière dont d’autres pays s’attaquent à la question,
L’éducation affective dans d’autres pays
D’autres pays se montrent sensibles, ouverts et volontaristes. Nous avons identifié trois grands volets de réflexion et d’action :
i) L’intervention des pouvoirs publics dans la répression des sextos (messages à caractère sexuel accompagnés ou non de photos), du « revenge porn » et, plus en général, du cyber-harcèlement :
- Au Canada, depuis 2014, le revenge porn est criminalisé et considéré comme de la cybercriminalité. La police de Châteauguay a récemment fait campagne pour s’attaquer à ce phénomène grandissant en milieu scolaire.
- En mars 2018, aux Pays-Bas, la police a ouvert une enquête sur le forum de revenge porn Anon-IB. Au préalable, un analyste norvégien avait pu collecter les adresses IP des utilisateurs et établir les lieux de provenance des messages. Sa carte thermique montre que ces personnes sont surtout localisées aux Etats-Unis, en Grande Bretagne ou en Allemagne ; et qu’une large majorité des images sont postées depuis des ordinateurs du Sénat, des bases navales et de l’exécutif (http://www.fredzone.org/revenge-porn-une-carte-pour-se-rendre-compte-de-lampleur-du-phenomene-996).
ii) Les plaidoyers des chercheurs et du domaine psy/neuropsy en faveur du développement de l’éducation affective. La mise en place de programmes d’éducation socio-émotionnelle et sexuelle
- A partir de septembre 2019, l’éducation sexuelle deviendra obligatoire dans toutes les écoles secondaires de Grande Bretagne. A partir de quatre ans, les enfants recevront à l’école des modules de formation en matière de « relations saines et sûres » ; tandis qu’à partir de six ans ils seront également initiés aux questions sexuelles, et concernant la communication numérique (sextos etc). Les parents pourront refuser de faire participer leurs enfants à ces cours ; tandis que les écoles religieuses pourront fournir ces formations en accord avec leur ligne éducative. (https://www.theguardian.com/education/2017/mar/01/sex-education-compulsory-secondary-school).
iii) La reconnaissance du bonheur et de la qualité de vie comme objectifs légitimes des institutions publiques
- En 2011, l’Assemblée Générale des Nations Unies reconnaît le bonheur individuel comme une « aspiration universelle » légitime et le range parmi les objectifs pour le Millénaire. Par la même occasion, elle avance les préconisations suivantes :
1. Que les Etats membres « tiennent mieux compte de l’importance de la recherche du bonheur et du bien-être afin d’orienter leurs politiques de développement » et élaborent des mesures en conséquence ;
2. Que les Etats membres ayant « élaboré de nouveaux indicateurs ou adopté d’autres initiatives » en fassent part au Secrétaire général « afin de contribuer aux activités de l’Organisation des Nations Unies dans le domaine du développement, y compris à la réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement. »
- Depuis les années 1970, le Bhoutan a substitué au PIB le BNB (Bonheur National Brut)
- A Copenhague, le Happiness Research Institute conseille le gouvernement danois, les municipalités et d’autres organisations publiques et privées afin d’accroitre la qualité de vie et le bonheur des citoyens.
- En 2016, Le cheikh Mohammed Bin Rachid Al Maktoum, émir de Dubaï et Premier ministre émirati, a créé un ministère du Bonheur. Le poste de ministre d’État du Bonheur a été attribué à une femme, Mme Ohoud Al-Roumi. Le ministère est en charge de la mise en place de politiques publiques visant à engendrer du bien-être social et de la satisfaction individuelle. En partenariat avec l’Université des EAU, un centre de recherche sur le bonheur a été créé.
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