La confusion des sentiments
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Être amoureux n’est pas aimer
Le « symptôme » le plus important et le plus révélateur de l’immaturité affective est le suivant : la personne croit en aimer une autre, mais ce n’est pas de l’amour.
En réalité, elle confond être amoureuse et aimer.
Cette confusion est malheureusement on ne peut plus répandue, d’autant plus que les manifestations subjectives (sensorielles) de cette émotion (cœur qui bat plus vite, impatience, désir sexuel, etc.) entretiennent ce malentendu.
L’état amoureux
Être amoureux signifie désirer sexuellement une autre personne, d’où cette impatience à plaire, à être désiré(e), à être ensemble, à se toucher, etc.
Pourtant, nombreux sont ceux et celles qui, pour rester sur une sorte de petit nuage, refusent de reconnaître cette réalité.
Le fait de tomber amoureux peut être assimilé à une sorte de régression, un retour à l’époque bénie où le bébé était tout-puissant, ne faisait qu’un avec sa mère, vivait avec dans une totale fusion.
Malheureusement, il s’agit d’une utopie, d’une illusion — inconsciente — que la réalité, la simple vie quotidienne, viendra détruire un jour ou l’autre.
Les désirs ne sont pas automatiquement satisfaits dès qu’ils sont exprimés, les désaccords compliquent la vie, les difficultés cassent le rêve.
L’identité unique des partenaires, illusoirement réunies en une seule personne, refait surface, avec ses limites (comme il y a longtemps, avec leur mère).
L’état amoureux s’est enfui.
L’état amoureux est provisoire
C’est bien pourquoi l’état « amoureux » ne s’installe pas dans la durée : puisqu’il n’est pas étayé par un véritable amour, il disparaît dès que le feu de la passion s’est éteint.
Rappelons que, dans la passion, c’est soi-même que l’on aime, à travers le regard aimant, passionné, de l’autre sur soi.
Alors, quand l’état amoureux passe, les partenaires se retrouvent à une croisée des chemins : ils acceptent de revenir sur terre pour apprendre à s’aimer, ou bien ils se quittent — sans réelle grande douleur puisqu’ils ne s’aimaient pas.
C’est le plus souvent leur amour-propre qui est atteint, ce qui n’est pas très grave, psychologiquement parlant.
État fusionnel et estime de soi
Ce désir de fusion et de toute-puissance sur l’autre, régressif, signifie que la personne qui croit aimer a le plus souvent une très faible estime de soi, voire aucune.
Sa personnalité ne s’est pas fondée sur une assise narcissique primaire suffisante.
Et faut-il rappeler que l’on ne peut pas aimer quelqu’un sans s’aimer soi-même.
Quand la personne désire plus que tout au monde aimer et/ou être aimée sans estime de soi, elle va s’empresser de qualifier d’amour toute relation naissante.
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