Comment gérer la maladie dans son couple ?
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La maladie fait partie intégrante de la vie
Le couple se promet amour et protection pour le meilleur et pour le pire sans réellement se projeter vers le pire. Et dans « pire » on peut entendre « maladie ». Nous ne sommes jamais vraiment préparés à la maladie. Le conjoint peut avoir peur de voir l’autre diminuer, changer. Aussi, la crainte de le perdre rend la relation incertaine. Il est donc souhaitable d’avoir les outils nécessaires à la bonne gestion de cette étape.
La maladie fait partie intégrante de la vie et, par conséquent, de la vie de couple. Elle peut être d’ordre psychologique, physique et parfois même des deux. Dans tous les cas, il y a une souffrance psychologique qui se manifeste de la part du malade mais aussi de la part du partenaire. Il faut accepter qu’il y ait des moments durs mais aussi des moments riches. La maladie est un moment important dans la vie du couple puisque c’est un remaniement intense. Le couple se bouscule, se remet en question et met en avant ses limites mais aussi ses forces. C’est souvent une étape qui renforce le lien.
Accepter et comprendre la maladie : une épreuve qui se traverse à deux
Tout d’abord, il faut comprendre ce que vous vivez. Identifiez le trouble, les difficultés, retrouvez les symptômes, leurs évolutions possibles. Allez chercher des témoignages, des avis et des conseils sur votre état et sur votre situation. Vous pourrez ainsi appréhender les changements, les accepter vous-même si vous êtes concerné personnellement.
Le fait même d’annoncer la maladie est une épreuve. Les réactions peuvent être psychophysiologiques (agitation), cognitives (déni), affectives (anxiété, colère). En fait, le couple ressent un sentiment d’injustice, de tristesse et d’incompréhension.
Evitez le déni ou le non-dit. Au début, il est préférable de protéger votre couple, essayez donc de ne parler de la maladie qu’à ceux et celles qui peuvent réellement vous apporter le soutien dont vous avez besoin.
Exprimez votre ressenti actuel, vos doutes, vos questionnements, vos aspirations, vos peurs. Essayez de trouver des compromis et vous verrez émerger de véritables trésors de sentiments. Vous ne devez pas traverser cette épreuve seul(e). A quoi bon être en couple si vous ne pouvez pas parler des épreuves difficiles avec votre partenaire ? Le combat se mène à deux. N’essayez pas de cacher ce qui fait partie de vous, de vos doutes.
Le soutien de votre partenaire et de vos proches est indispensable pour vous sentir mieux
Les conséquences d’une maladie sont plus ou moins graves mais font évoluer le partenaire individuellement et, surtout, le couple. Le couple tente, après avoir accepté le diagnostic, de se reconnaître, se positionner face à sa nouvelle vie. Les émotions peuvent envahir la pensée et entraver la communication qui s’avère essentielle ! Votre moitié peut vous conseiller et vous soutenir de diverses manières. A vous d’exprimer ce que vous attendez de lui. De nombreuses études prouvent que le moral joue un rôle important dans le traitement d’une maladie. Or, [le soutien de votre partenaire->http://www.love-intelligence.fr/En-couple-avec-une-personne-malade.html] est indispensable pour vous sentir mieux. La communication est nécessaire dans une histoire d’amour car elle solidifie le couple face à la maladie. C’est justement dans ce genre de situation que l’échange, les discussions vont porter leurs fruits et aider à traverser ces moments difficiles et douloureux.
Vous ne pouvez pas combattre et faire face à la maladie tout(e) seul(e)
Il n’est pas question de banaliser cette étape et d’être dans le déni. Pour vivre au mieux, cette période, il faudra savoir à quoi s’en tenir. Crises, moral au plus bas, mauvaise humeur, irritabilité, colère, volonté d’abandonner ou de garder l’autre pour soi, dépression… tout est possible. La maladie, comme toutes les crises, est une période d’instabilité et de remue-ménage qui peut être dangereuse si elle n’est pas gérée. Effectivement, les craintes et les frustrations qui peuvent en résulter sont responsables de conflits, de tensions, parfois même de chaos. Soyez vigilants. Donnez-vous un cadre. Connaissez vos limitez, partagez vos envies.
Admettez cette réalité : vous ne pourrez pas tout faire tout(e) seul(e). Une maladie grave est une épreuve souvent longue dans laquelle il est nécessaire d'avoir tout un réseau sur lequel s'appuyer. Le réseau des proches (conjoint(e), parents, amis), le réseau des connaissances (collègues, voisins, potes) et le réseau médical (médecins, soignants).
Combattre deux idées toxiques
Il faut combattre deux idées très toxiques : « je vais me débrouiller » et « si je demande de l'aide, ils vont penser que je ne suis pas à la hauteur ». Dans ces circonstances, il est bon de laisser un peu son amour-propre de côté. Tous ces ressentis sont normaux, il ne faut pas en éprouver de honte, mais il faut avoir quelqu'un à qui le dire. Un(e) partenaire, des amis intimes, des groupes de parole d'une association ou d’un professionnel. Une thérapie de soutien s'avère souvent très bénéfique. Surtout si un pronostic vital est engagé.
Ne vous interdisez pas de rêver, continuer à faire des projets
Profitez de chaque instant sans oublier de continuer à voir l’avenir ensemble car c’est indispensable. De nombreux couples vivent au jour le jour mais cela ne veut pas dire que vous devez vous empêcher de construire, par peur que la maladie prenne de plus en plus d’ampleur. Il est toujours important d’avoir des projets pour soi ou bien pour sa progéniture. Il ne faut donc jamais s’interdire de rêver. Les projets font avancer les relations. Vous l’avez compris, il est préférable que vous développiez une sagesse de vie qui vous permette de vous mettre au centre de vos préoccupations. Profitez de chaque instant et continuez à voir l’avenir ensemble. Vous pouvez toujours construire, avoir des projets pour vous, pour soi, ou bien pour vos enfants. Vivez, aimez, rêvez.
Vous pouvez donc continuer à sortir, manger au restaurant, aller au cinéma, faire du shopping, bref, vous faire plaisir. Et si la maladie ne le permet pas, regardez un film, lisez un bon livre. Lisez un livre de développement personnel, apprenez à vous connaître ! Essayez de remplir vos journées pour éviter de penser à la maladie, empêchez votre pensée de prendre une tournure négative.
Vous n’êtes pas malade, vous souffrez d’une maladie : nuance !
Maintenez une hygiène de vie qui vous donne du temps pour vous. C’est le moment de vous chouchoutez et de vous écouter intérieurement. Si la maladie apparaît, elle a peut-être un sens pour vous. Cherchez-le et utilisez cette étape de votre vie comme le point de départ d’une quête d’un soi, sans doute oublié ou d’un nous peut-être négligé. En agissant ainsi vous allez ouvrir votre esprit à de nouvelles perspectives, et ne plus vous focaliser sur la maladie.
Par ailleurs, ne vous identifiez pas au trouble. Vous n’êtes pas malade, vous souffrez d’une maladie. Cette nuance est importante pour vos interrelations et votre image de vous. Vous êtes la même personne qu’avant. Vous devez donc vous concentrer sur votre guérison et votre bien être en évitant au maximum de ne voir que le symptôme. Entretenez un esprit positif, cela ne pourra faire que du bien à vous et votre partenaire de vie. Rappelez-vous : un corps sain commence avec un esprit sain. Soyez optimistes !
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