Le mot du psy : L’immaturité affective

Par
Florence Escaravage
7 min
9/5/2024

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Bien des maux du couple ou de la relation homme-femme sont attribués par les psys à cette fameuse « immaturité affective ».
Mais qu’entend-on par là ?
Comment ces hommes et ces femmes, parfaitement intégrés socialement, peuvent croire que leurs difficultés à nouer des relations vient d’une forme d’
immaturité affective ? Love Intelligence® vous éclaire.

Avant d’en donner une définition, il est utile de se souvenir de sa première histoire d’amour, avec sa mère, et de sa première rupture.

Car c’est à cette période de la vie que va s’installer la « couleur » de la vie affective d’un être humain, au moins dans ses grands traits — qui aura pour conséquence une plus ou moins grande maturité affective, car tout, dans ce domaine, s’inscrit dès la plus petite enfance.

LA PREMIÈRE HISTOIRE D’AMOUR… ET LA PREMIÈRE RUPTURE

L’état fusionnel

La première histoire d’amour vécue par tout être humain est, tout bébé, la relation totalement fusionnelle avec sa mère.
Pendant environ un an, la mère « souffre » de ce que l’on appelle « la maladie infantile de la mère », c’est-à-dire qu’elle ressent à peu près tout ce que ressent son nourrisson puis son bébé.

Au cours de cette merveilleuse histoire d’amour, la mère et l’enfant, l’enfant surtout, vivent dans une sorte d’état de grâce où la dépendance est totale.
« Je » et « tu » se confondent : « Je suis toi, tu es moi », « nous ne faisons qu’un ».

Les deux protagonistes de cette symbiose ont le sentiment d’avoir tout pouvoir sur l’autre, sur le plan psycho-affectif. Pendant cette période, les désirs de l’enfant sont des « ordres ».

La nécessaire séparation

Ces courts moments sont « gravés » à tout jamais dans l’esprit de l’enfant.
Comme est également gravée la première rupture, la première séparation : il advient qu’un jour, et c’est heureux, « je » et « tu » se séparent : ils ne font plus « un ».

L’enfant apprend que sa mère ne fait plus partie de lui et qu’elle ne va plus répondre systématiquement à tous ses désirs.
C’est à partir de cette défusion (= fin de la fusion) que l’enfant pourra développer son identité propre avec ses limites et ses frontières d’individu « entier ».

C’est ce moment de « séparation » qui va conditionner sa maturité ou immaturité affective.
Selon la façon dont sera vécue cette étape si importante, l’enfant devenu adulte conservera plus ou moins de traces de cette fusion/séparation et sa vie affective les reflètera.
C’est un processus normal, qui laissera des empreintes différentes selon les individus.

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Immaturité affective et insécurité

Si la mère a progressivement préparé son enfant à cette séparation, celle-ci se passera en douceur.
Dans le cas contraire, quand la rupture est brutale, elle laissera des traces qui auront des répercussions sur la vie affective de cet enfant, même et surtout une fois adulte.
Il recherchera, inconsciemment, ce même état de grâce dû à la fusion avec sa mère — pour qui il était « tout » — dans chaque relation amoureuse.
Et sa crainte d’être quitté, sa crainte de la rupture apparaîtra chaque fois qu’il entrera en amour.
La douleur de la « défusion » sera réactivée.

Car sa grande peur, inconsciente, c’est de revivre la rupture de sa petite enfance — dont il semble ne jamais pouvoir se remettre.
Tout se passe comme s’il vivait dans le deuil angoissé de cette fusion avec sa mère et de sa toute-puissance sur elle.
Sa vie affective (amoureuse, surtout) s’en trouve donc affectée.

Petit à petit, l’enfant va — souvent difficilement — apprendre et devoir accepter qu’il n’est pas tout-puissant (vers trois ans).
Ses rêves d’omnipotence n’habitent plus que son imaginaire et ce renoncement est particulièrement pénible.
Tout comme en apprenant que sa mère et lui sont deux personnes distinctes, il fait le douloureux apprentissage de la solitude.

LA CONFUSION DES SENTIMENTS

Être amoureux n’est pas aimer

Le « symptôme » le plus important et le plus révélateur de l’immaturité affective est le suivant : la personne croit en aimer une autre, mais ce n’est pas de l’amour.
En réalité, elle confond être amoureuse et aimer.
Cette confusion est malheureusement on ne peut plus répandue, d’autant plus que les manifestations subjectives (sensorielles) de cette émotion (cœur qui bat plus vite, impatience, désir sexuel, etc.) entretiennent ce malentendu.

L’état amoureux

Être amoureux signifie désirer sexuellement une autre personne, d’où cette impatience à plaire, à être désiré(e), à être ensemble, à se toucher, etc.

Pourtant, nombreux sont ceux et celles qui, pour rester sur une sorte de petit nuage, refusent de reconnaître cette réalité.

Le fait de tomber amoureux peut être assimilé à une sorte de régression, un retour à l’époque bénie où le bébé était tout-puissant, ne faisait qu’un avec sa mère, vivait avec dans une totale fusion.

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Malheureusement, il s’agit d’une utopie, d’une illusion — inconsciente — que la réalité, la simple vie quotidienne, viendra détruire un jour ou l’autre.
Les désirs ne sont pas automatiquement satisfaits dès qu’ils sont exprimés, les désaccords compliquent la vie, les difficultés cassent le rêve.

L’identité unique des partenaires, illusoirement réunies en une seule personne, refait surface, avec ses limites (comme il y a longtemps, avec leur mère).
L’état amoureux s’est enfui.

L’état amoureux est provisoire

C’est bien pourquoi l’état « amoureux » ne s’installe pas dans la durée : puisqu’il n’est pas étayé par un véritable amour, il disparaît dès que le feu de la passion s’est éteint.

Rappelons que, dans la passion, c’est soi-même que l’on aime, à travers le regard aimant, passionné, de l’autre sur soi.
Alors, quand l’état amoureux passe, les partenaires se retrouvent à une croisée des chemins : ils acceptent de revenir sur terre pour apprendre à s’aimer, ou bien ils se quittent — sans réelle grande douleur puisqu’ils ne s’aimaient pas.

C’est le plus souvent leur amour-propre qui est atteint, ce qui n’est pas très grave, psychologiquement parlant.

État fusionnel et estime de soi

Ce désir de fusion et de toute-puissance sur l’autre, régressif, signifie que la personne qui croit aimer a le plus souvent une très faible estime de soi, voire aucune.

Sa personnalité ne s’est pas fondée sur une assise narcissique primaire suffisante.

Et faut-il rappeler que l’on ne peut pas aimer quelqu’un sans s’aimer soi-même.

Quand la personne désire plus que tout au monde aimer et/ou être aimée sans estime de soi, elle va s’empresser de qualifier d’amour toute relation naissante.


AMOUR, FUSION ET DÉPENDANCE !

Car dans les amours romantiques, il y a certes du désir, mais la sexualité est interdite.
Roméo et Juliette, pas plus que Tristan et Iseult n’ont consommé leur union…

Que nous apprennent les romantiques sur l’amour ? Ils nous disent que, dès le premier regard, « ils » s’aiment, puis qu’ils ne « font qu’un » tout au long de leur vie et qu’ils seront heureux jusqu’à la fin de cette vie idyllique.
Ils nous disent aussi qu’il n’existe qu’une seule personne au monde pour nous « compléter » : c’est effrayant !

Imaginons un instant que nous nous soyons trompés de personne…
Mais ceci est impossible puisque, par magie, nous la « reconnaissons » tout de suite, puisque nous entrons dans l’état amoureux.
Ce qu’ils ne disent pas, c’est comment ils font (le prince et la bergère) pour que leur passion dure toute la vie.
Ils ne parlent évidemment pas de sexualité active : seulement de désir.
Ces mensonges seraient sans gravité si personne n’y croyait. Mais ce n’est pas le cas, loin s’en faut…

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Immaturité et dépendance

Le plus frappant, dans l’immaturité affective, c’est la dépendance — un synonyme la plupart du temps.
Tout comportement de dépendance (dans une relation, amoureuse ou amicale) est un symptôme d’immaturité affective.
Car, comme il y a confusion entre état amoureux et amour, il y a aussi confusion entre dépendance et amour.
Dire : « Je ne peux vivre sans toi » est une preuve de dépendance et non d’amour.

Lorsqu’une personne adulte et en bonne santé a besoin de quelqu’un pour vivre ou se sentir exister, il s’agit de dépendance et non d’amour.
En effet, une relation dans laquelle l’un des partenaires (ou pire, les deux) ne se sent pas libre n’est pas une relation d’amour : c’est une relation fondée sur le besoin, la dépendance affective.

Décider de vivre ensemble, choisir de s’engager dans une vie à deux est une décision prise librement, un choix libre et réfléchi, en toute conscience.

Une personne qui ne se sent pas « complète » sans sa « moitié » et qui n’imagine pas pouvoir vivre seule n’est pas adulte sur le plan affectif.

Avoir envie de partager sa vie avec quelqu’un que l’on aime n’est pas de la dépendance ; en avoir besoin, oui.
Il est, dans ce cas-là, urgent de grandir et de renoncer à l’illusion d’une fusion et d’une toute-puissance sur l’autre comme avec sa mère dans sa première année.
Ce temps est fini, révolu, passé pour toujours : inutile de rechercher une situation de ce type : c’est impossible, perdu d’avance.

Immaturité affective et exigences

Comme l’enfant dont tous les désirs sont satisfaits par sa mère, la personne immature affectivement sera exigeante, sinon capricieuse, car elle voudra que l’autre soit au service de ses attentes : « Si tu m’aimes, tu peux bien faire ça pour moi, sinon, c’est que tu ne m’aimes pas ».

Il est urgent d’apprendre à satisfaire soi-même la plupart de ses besoins sans toujours compter sur l’autre, à donner et non plus de passer son temps à désirer, à attendre, à recevoir — comportement lié à l’immaturité affective.

Cette dernière rend pénible toute forme de refus — vécu presque comme un abandon, une séparation, la solitude, comme pour le bébé, dans sa première année.

Dans la dépendance, les marques d’amour deviennent des exigences constantes, qui correspondent aux besoins vitaux du nourrisson.
C’est une façon inconsciente de dominer l’autre, de prendre le pouvoir sur lui.

L’immaturité affective entraîne souvent à préférer être aimé(e) plutôt que d’aimer.
Et, au fil du temps, les envies, demandes deviennent de véritables exigences : des caprices d’enfant qui a du mal à renoncer à l’omnipotence, à son pouvoir sur l’être aimé. Mais il ne s’agit pas d’amour.

C’est ainsi que cette dépendance s’accompagne la plupart du temps de passivité : c’est l’autre qui doit tout faire, tout prendre en charge.
Jamais une personne dépendante ne se pose la question : « qu’est-ce que moi, je peux faire pour moi ? Pour lui (elle) ? »

Ne rien faire, se laisser aimer : une conception de l’amour immature

D’autant plus que la passivité s’accompagne généralement d’agressivité.
Ainsi, l’immaturité affective est le plus souvent le fait des personnes appelées « passives-agressives » dans le jargon psy.
Car elles supportent très difficilement de ne pas conserver leur pouvoir sur l’autre (comme l’enfant-roi, le tyran domestique), et elles le critiquent pour un oui ou pour un non. Ainsi, non seulement elles veulent tout prendre, tout recevoir de l’autre sans jamais rien donner, mais en plus elles se plaignent d’être mal aimées…

Immaturité affective et sentiment d’être soi

N’ayant pas, dans sa vie affective, de sentiment d’identité nettement séparée, donc pas de frontière nette avec l’autre, il est très difficile de remplir cette sensation de « vide » affectif lié à l’absence de cet autre.

Des phrases du type : « Sans elle, je ne suis que manque, je ne suis plus rien, ma vie n’a plus de sens ». _ Le (la) partenaire de vie n’est pas sur terre pour conférer à quiconque un sentiment d’identité, pour tenir lieu de père et/ou mère, pour prendre l’autre en charge et se sentir responsable de son bonheur.

COMMENT FAIRE FACE À UNE PERSONNE IMMATURE AFFECTIVEMENT ?

Comprendre la problématique de cette personne

Déjà, il faut bien garder à l’esprit que l’immaturité affective est inscrite dans l’histoire de la personne qui n’aura pas reçu (ou le croit-elle) suffisamment d’amour de ses parents, ou pour qui la rupture avec la mère aura été trop douloureuse car pas assez progressive pour que l’enfant soit sécurisé sur l’amour qu’elle lui portait.

Elle est devenue adulte tout en manquant singulièrement d’estime de soi, du sentiment d’être aimée et aimable.
Elle est donc en grave manque affectif : tel le tonneau des Danaïdes, qui se vide au fur et à mesure qu’on le remplit, elle a cette sensation de n’être jamais assez aimée, rassasiée.
Elle ne veut que des preuves d’amour, preuves « reconnues » par le bébé qui, en elle, veut revivre une relation fusionnelle.

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Ce qui explique leur dépendance affective : leur grande exigence et leur agressivité quand elles craignent (le plus souvent à tort) d’être moins ou mal aimées.

Pourtant, leurs partenaires finissent par se lasser : c’est un cercle vicieux.
Cette dépendance affective, comme toutes les autres addictions, fonctionne comme une véritable drogue : les doses doivent être régulièrement augmentées.

Entreprendre l’étape de « désintoxication »

Le plus urgent étant de les rassurer sur le fait qu’elles sont aimables — dignes d’amour — pour installer une base d’estime de soi. _ La désintoxication devra être lente, progressive.
Elle comprendra des confrontations « en douceur », sans critiques, reproches ou arrogance, face aux comportements immatures.
Mais il faudra sûrement qu’elles se fassent aider par un spécialiste pour leur donner l’envie de « grandir » affectivement, faire le deuil de l’état fusionnel vécu dans leur toute petite enfance, les inciter à établir des frontières claires entre elles et les autres, leur apprendre à se faire confiance pour devenir autonomes.

De la même façon, la personne dépendante pourra, si c’est justifié, confronter l’autre en lui expliquant de quelles marques d’amour elle a besoin.
Ainsi, la confrontation mutuelle peut devenir source de compréhension et d’attention à l’autre si chacun a la liberté de s’exprimer.

Le premier pas vers le changement, c’est donc de reconnaître le problème et de vouloir changer.
Le (la) partenaire d’un(e) personne immature affectivement sera d’autant plus aimant(e) et aidant(e) qu’il (elle) saura lui faire comprendre conscience que la relation est vouée à l’échec si l’immaturité affective perdure.

Faire accepter le risque de la maturité affective, de l’identité séparée

Car il s’agit bien d’un risque : celui de l’indépendance affective, celle qui manque le plus souvent. Grandir, sur ce plan, présente des risques, en particulier celui de quitter cette dépendance — qui, en réalité, n’est pas si rassurante puisqu’elle n’exclut jamais la peur de l’abandon, c’est même tout le contraire.

D’autant plus que l’engagement, qui accompagne l’amour véritable, comporte lui aussi des risques, comme celui de s’être trompé.

Prendre sa vie amoureuse en main, accepter ses responsabilités en la matière — et reconnaître l’importance des efforts à consentir dans toute relation, permet de mieux affronter les difficultés inhérentes à une relation de couple.

Reconnaître que deux individus qui s’aiment sont deux personnes uniques et différentes disposant de frontières qui les séparent l’une de l’autre est difficile lorsque l’on est régi par l’immaturité affective.
Un véritable apprentissage de l’identité séparée est absolument nécessaire pour acquérir une autonomie adulte.
Chaque partenaire peut désirer, par exemple, pratiquer une activité sans l’autre : c’est normal. Ce n’est ni du rejet, ni de l’abandon.

Ces étapes sont indispensables : il ne sera peut-être pas facile de faire adhérer ces personnes à ce « programme ».
En effet, il demande un véritable engagement dans ce choix de changement qui sera peut-être un peu long mais tellement bénéfique pour le restant de la vie du couple.

Sylvie Tenenbaum - 2007

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Franchement je donne mon avis car je pense quon ne peut pas critiquer le programme il est fait par des personnes qui accompagnent les gens dans leur vie de couple sans pour autant avoir une approche psy.

Gaëlle