La volonté en amour : comment la volonté peut être m’aider à trouver l’amour cette année ?

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La volonté en amour n’est pas un concept idiot car « avoir envie d’une belle relation » est le point de départ. Cette volonté génère de la motivation pour mettre en place tout ce qui est nécessaire pour trouver l’amour. Car si l’amour est magique, la volonté nous permet de mettre nos illusions au panier et de comprendre ce qu’il faut faire pour le trouver, le laisser naître et grandir. La volonté en amour, c’est tout un ensemble de dispositions, de travail sur soi et ses relations aux autres ; vouloir, c’est avant tout se donner les moyens de laisser l’amour nous toucher. Sans volonté, on se laisse aller à croire que l’amour nous tombe dessus. Et si ça ne marche pas, c’est la faute à « pas de chance ». La volonté en amour, c’est donc accepter de changer, de s’ouvrir, de laisser derrière soi un ensemble de croyances et d’idées préconçues sur l’amour (cf l’étape 1 de la Méthode Florence). Cette étape N°1 c’est faire le deuil de ce qui nous empêche d’avancer. Nous allons voir que la volonté de trouver l’amour est un travail de 3 ou 4 mois, qui peut être entravé par le refus de lâcher-prise et l’idée préconçue que l’amour est fluide. Avoir de la volonté en amour, c’est d’abord accepter le changement, laisser la peur de côté et s’attaquer aux derniers bastions qui nous empêchent de faire la bonne rencontre, et de dévoiler toute la beauté de notre personnalité. Love Intelligence, via la Méthode Florence, vous donne les clefs pour mettre à l’œuvre cette volonté et se mettre sur la bonne voie, celle qui mène à la rencontre et à l’aboutissement d’une jolie relation amoureuse.

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ÊTRE PRÊT À CHANGER

Tout d’abord, en finir avec les blessures et les expériences malheureuses… Revoir et transformer ses schémas pour ne plus s’y enfermer, sinon ils ne sont que répétition et malédiction. Accepter qu’il n’y ait pas de « coup du sort », mais qu’il y a des dynamiques qu’il faut mettre en mouvement : A commencer par le lâcher-prise. Cela exige que l’on accepte de sortir du contrôle « mon image, je veux la préserver » et que l’on accepte de se révéler en soi de manière très vraie, brute. Cela passe par comprendre ce qui est touchant en nous, et qu’on oubliait complètement de révéler (étape 3 de la Méthode Florence). Être prêt à changer, c’est aussi abandonner nos attentes formatées ainsi que nos critères rigides sur notre partenaire idéal. Il faut également être prêt à assumer sa part de responsabilités : « Ai-je peur de souffrir ? Ai-je peur de perdre le contrôle et de me tromper ? Ai-je peur de me prendre le mur une nouvelle fois ? » S’interroger permet de prendre la mesure de ses projections négatives, celles qui viennent entraver une dynamique relationnelle.

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DES EXIGENCES SAINES

La volonté d’être touché(e) en amour, c’est la volonté d’accepter de se laisser surprendre en amour. Pour cela, il faut en finir avec cette guerre narcissique qui pousse chacun à chercher dans l’autre un miroir flatteur. Prendre le risque de s’ouvrir à l’autre, c’est aussi prendre le risque d’être aimé pour soi. Et qu’importe le risque de déplaire, puisqu’on ne va pas se changer soi. Mieux vaut froisser une certaine image que l’on a l’habitude de renvoyer de soi dans nos relations mais qui nous induit en erreur en amour. En bousculant ses critères (physiques, sociaux, …) et en se surprenant soi-même à tant d’ouverture, on laisse un espace à la découverte : et c’est dans cet espace fécond en richesses et en surprises que réside l’amour. Il faut donc travailler à sa libération : ce n’est qu’à ce prix-là que l’on peut s’épanouir sur le plan affectif et être prêt à rencontrer la bonne personne.

LA VOLONTÉ DE TUER LES ILLUSIONS QUI M’AMÈNENT À ÊTRE SEUL(E) OU À FAIRE DES RENCONTRES ININTÉRESSANTES

« L’amour m’attend quelque part… Je vais tomber dessus au coin de la rue » Combien de fois avons-nous entendu ces quelques mots illusoires, qui pourtant sont assez représentatifs de nos attentes ? Tout d’abord, avoir de la volonté en amour c’est essentiellement tenir compte de la réalité. Il ne faut pas se raconter d’histoires : « je vais le croiser par hasard » (quand bien même je sors peu et tous mes amis sont en couple) « avec moi, ce sera vraiment différent, il sera fidèle, il quittera sa femme, il sera capable de s’engager… » mais plutôt de tenir compte de notre environnement de rencontres : est-ce que je ME créé suffisamment d’opportunités de rencontres ? Est-ce que je tiens bien compte des signaux, positifs ou négatifs reçus (tels que nos propres émotions, nos sensations, nos impressions. Sont-elles dénuées de critères enfermant qui pourraient m’empêcher de laisser éclore une relation ? Oser affronter ce qui nous bloque et être conscient de ce qui nous retient (étape une de la Méthode Florence) et nous motive sont autant de façons de s’inscrire dans une démarche d’ouverture concrète qui part du réel et non de ses fantasmes.

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RETOUR SUR MES ANCIENNES ILLUSIONS QUI, FINALEMENT, ME CANTONNAIENT À LA SOLITUDE

Faire le deuil de sa relation parfaite et idéale, d’une relation passée, du prince charmant… Tant de freins qu’il faut laisser derrière soi. Il est important de se saisir de cette période de célibat, même si elle semble subie, afin de faire un point sur soi-même et sur ses relations amoureuses passées ou qui viennent de s’achever : était-ce moi, l’autre, ou l’association des deux, qui créait le dysfonctionnement ? En essayant d’analyser les différents paramètres de votre dernière relation, on peut ainsi la mettre à distance, tant psychiquement qu’affectivement. C’est ici que le coaching prend tout son sens : en acceptant de voir ce qui nous fait défaut, ce qui nous a manqué, en faisant un travail poussé d’introspection de sa vie amoureuse, d’un schéma qu’on répète, on acquiert des bases essentielles à la construction d’une relation future (ce que l’on souhaite ou ne souhaite plus, l’idéal vers lequel on tend…) Et pour prendre conscience de ses entraves, deux questions clefs sont à se poser : qu’est-ce que l’autre a emporté de moi en partant (confiance en soi, spontanéité, joie de vivre, etc.) ? Et quels bénéfices cachés m’apportaient mes relations précédentes ?

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TUER LE NÉGATIF, QU’IMPORTE LE PASSÉ. C’EST MA VIE AMOUREUSE D’AUJOURD’HUI ET DEMAIN QUI COMPTE

Nous avons tendance, lorsque nous sommes enlisés dans des relations stagnantes, à répéter le même schéma et à nous dire sans cesse que notre vie amoureuse est un désastre peuplé d’échecs ; sans nous rendre compte qu’au bout du chemin ce qui nous attends, c’est bel et bien l’usure. Vivre l’échec, c’est le porter sur soi ! Entre les conquêtes qui s’enchainent sans rien donner, les relations éphémères qui finissent de nous achever, c’est tout un tas d’expériences malheureuses qui forment à force un ensemble de croyances erronées ou limitantes : « je ne mérite pas d’être aimé(e)… ». A la fois déterminées par ce que nous avons vécu (divorce des parents, aléas de la vie, séparations) et ce que nous vivons, elles nous empêchent d’agir. Il faut donc sortir des généralités sur les hommes ou les femmes et des préjugés sur le couple ou la sexualité. Nous voyons chaque jour en coaching des hommes et des femmes qui sortent d’années « off » d’années sans amour, ou bien pauvres en amour, et qui pensent qu’ils sont abonnés à cela. Et, chaque jour, nous voyons l’un ou l’autre rebondir, s’ouvrir et se laisser emporter par l’amour, tant il s’est délesté d’apriori débiles sur lui, les autres, les hommes, les femmes, les rencontres… Finalement, seule une prise de conscience de l’existence de ces nuisibles (nos certitudes sur nos prétendus manques ou incompétence) peut nous en libérer. Demain peut être plein de promesses…

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LEVER LA PEUR

Une fois les fantômes du passé neutralisés et les freins levés, reste à affronter la peur : centrale dans le processus de la rencontre, elle est à la fois facilitante et inhibante. De plus, elle agit sur trois dimensions de la vie psychique : la réalité « comment l’aborder, me comporter ? », l’imaginaire « la prochaine fois, je dirai ça et je proposerai cela », et enfin le fantasme « il ou elle provoque telle image, tel souvenir, ce désir en moi ». Mais, la plupart du temps, la peur ferme à la rencontre. La meilleure disposition reste alors d’être bien curieux des autres, d’accepter son physique et de faire confiance à nos sens. Certaines croyances et pensées peuvent nous limiter, nous et nos actes ; par peur, on peut risquer de laisser passer une belle rencontre : « il ou elle n’est pas fait(e) pour moi, j’ai peur de me tromper encore une fois, je préfère ne pas rappeler ».)

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STOP LES CONSEILS EN TOUT GENRE

Les amis et leur avis, c’est bien mais il n’en faut pas moins négliger le sien. Il n’est pas facile de trouver l’amour lorsque l’on se retrouve prisonnier de clichés (« on voit le bon au premier regard ; toutes les femmes sont immatures, tous les hommes sont des goujats ») et si les conseils sont bénéfiques, ils peuvent néanmoins nous désorienter par leur caractère contradictoire, en ne faisant que renforcer des idées préconçues sur l’amour. Il suffit alors d’ouvrir les portes avec ses propres clefs, car chaque expérience et ressenti qui en découle est unique ; ce n’est pas parce que cela a fonctionné pour un de ses amis que cela fonctionnera pour soi. Il faut s’écouter à nouveau pour apprendre à être soi-même.

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S’OUVRIR À L’AUTRE, QU’EST-CE QUE CELA VEUT DIRE ?

Faire preuve d’ouverture et de générosité : Une vraie rencontre amoureuse entraine toujours des changements, intérieurs et extérieurs. Elle est à la fois transformatrice et créatrice : il ne s’agit pas uniquement d’un lien qui s’ajoute à d’autre mais d’un lien nouveau qui se crée. C’est un nouveau lieu à construire mais qui empiète parfois sur des territoires individuels que l’on a mis du temps à se construire (des années, une vie…) Il peut donc paraitre difficile de s’en défaire ; on peut avoir le sentiment de se nier, ou d’avoir peur d’être lésé (« si je m’ouvre, je vais être faible… je vais encore être déçu(e ) ») Il faut alors faire preuve d’ouverture et de générosité. Mais là où une rencontre ne peut se transformer en relation que si l’on est capable, à partir de son identité, d’en forger une nouvelle à deux, comment y parvenir ? D’abord en ne se fondant pas dans l’autre en l’absorbant mais en produisant grâce à lui, du neuf. Qu’il faudra ensuite apporter dans ses comportements, ses croyances, sa manière de penser et d’agir… Ce n’est pas une tâche facile car cela implique de chacun qu’il se laisse surprendre par l’autre comme par lui-même en mettant entre parenthèses ses certitudes et ses petites habitudes de célibataire.

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LES RENCONTRES OÙ L’ON PEUT DONNER LE MEILLEUR DE SOI-MÊME ET INVITER L’AUTRE À FAIRE DE MÊME

Finalement, la dynamique amoureuse et l’alchimie d’une rencontre repose d’abord sur la volonté. Nous l’avons vu, la volonté est animée par plusieurs mécanismes avec le désir profond de changer durablement pour être prêt à accueillir l’amour. C’est la volonté d’être meilleur ; qui est parfois étouffée par les scénarios de répétition ou par les peurs, qui ont tendance à inhiber désir et confiance en soi. Et pour « réactiver » cette volonté, il faut creuser en soi, et oser parler de ses questionnements, de ses fragilités et inviter l’autre à se confier en confiance : c’est à cela que nous invite la rencontre amoureuse : une intimité qui ouvre un nouvel espace d’échange. Celle qui nous inscrit dans une nouvelle dynamique du désir. Avoir un but à atteindre, savoir comment agir pour l’atteindre et enfin, avoir la motivation suffisante pour l’atteindre, voilà les trois clefs essentielles pour développer et trouver sa volonté. Vous voilà fin prêts à rencontrer !

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