La beauté de l’autre est tellement importante pour moi : je comprends pourquoi
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Aujourd’hui, la rencontre amoureuse est surinvestie, on la souhaite parfaite, idéale. Voilà sans doute pourquoi les choix inconscients narcissiques tels que la beauté du partenaire sont devenus les plus fréquents dans les choix amoureux. On cherche un être qui ressemble à ce que l’on pense être ou à ce que l’on voudrait être, qui est ou qui a « tout ce dont on rêvait ». Bref, un faire-valoir, un miroir qui renvoie une image positive de soi-même.
Miroir mon beau miroir, dis-moi qui est la plus belle ?
Le physique est un atout majeur pour séduire, mais pas pour se construire. Sur la durée, l’attachement relève de mécanismes parfois inconscients donc invisibles, mais surtout de liens profonds liés à la capacité d’ouvrir une belle connexion entre les deux individus.
Narcisse et son selfie au lac en témoignent. Un million d’années de "likes" plus tard, nous sommes toujours plantés devant notre téléphone, à méditer sur le mystère de la beauté, dans le sens : se contempler et contempler les autres. En faisant cela, nous méditons sur l’intérieur de soi, (quand bien même nous bafouons nos rétines ultra-sollicitées par des images en surimpression perpétuelle).
Nos critères d’éducation et le miroir de l’autre.
Les critères avec lesquels nous grandissons sont « Tu trouveras le beau prince charmant, tu épouseras une jolie fille, ou la belle « girl next door ». Mais où est la limite véritable du beau ? Quel est le miroir que nous renvoie l’autre ? Pour comprendre cette théorie du miroir, il est nécessaire d’intégrer que chaque personne que nous croisons est là pour nous apprendre quelque chose. En d’autres termes, il y a des parties de notre corps et de notre image qui ne nous plaisent pas quand nous nous regardons dans un miroir, mais également des aspects de notre personnalité que nous n’acceptons pas. Nous trouvons chez les autres, essentiellement, les reflets de ce que nous n’acceptons pas encore vraiment en nous, parce que nous en avons réprimés certains, ou nos parents n’ont pas souhaité qu’on les développe, on les a alors congelé dans notre enfance, où nous ne nous sommes pas autorisés à les développer (par notre inconscient). En d’autres termes, les traits que nous aimons le moins chez les autres, soit c’est quelque chose que nous reconnaissons même de manière symbolique en nous, soit quelque chose que nous ne nous sommes pas autorisés à développer (le bordel, beaucoup de soin à sa personne, les coups de folie…). Nous sommes constamment en train de projeter une partie de notre être, sur l’autre, qui est notre reflet. Et vous comprenez alors que si nous ne nous aimons pas beaucoup, nous allons chercher peut être quelqu’un de beau pour réparer cette blessure.
La projection de l’autre sur moi
Cette citation illustre bien nos propos « Dans le regard des autres nous cherchons d’abord notre propre reflet. En premier lieu dans le regard de nos parents. Puis dans le regard de nos amis. Puis nous nous mettons en quête d’un unique miroir de référence.Cela signifie se mettre en quête de l’amour mais en fait il s’agit plutôt de la quête de sa propre identité » Nous les Dieux -Livre de Poche page 123 - Edmond Wells Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu Tome V - Bernard Werber Ainsi, la théorie du miroir est une vision qui propose un changement de point de vue : au lieu de penser que nous devons nous protéger de l’autre pour qu’il ne nous fasse pas de mal, nous pouvons rester curieux de nos attirances en nous posant cette question “Pourquoi suis-je en train de vivre cette situation avec cette personne, quelle partie d’elle m’attire car je ne l’ai pas ? Et quelle sont les éléments chez elle que je ne supporte pas car, finalement, je ne me suis jamais autorisé à le faire ( de par mon éducation trop stricte ou libertaire…). Et je ne supporte tellement pas cette idée que cette personne se l’autorise, elle, que je rejette ce trait chez elle.
Quelle place donnons-nous à l’apparence physique dans le couple ?
L’apparence physique est l’un des attraits principaux que nous utilisons pour savoir si une personne nous plaît dès les premiers échanges. Évidemment, la personnalité y est pour beaucoup, mais avouez qu’être en couple avec une personne agréable à regarder aide énormément aux sentiments que nous lui portons ! L’apparence est la première source d’information que nous détenons sur une personne. Voilà pourquoi nous y accordons tous beaucoup d’importance, dès le début d’une relation. Dès la première rencontre, nous sommes à l’affût du moindre indice qui nous aiderait à mieux connaître l’autre. L’attirance physique ne s’estompe pas au rythme des années de vie à deux, mais elle se cultive. Le désir se cultive en couple.
Notre attirance physique repose sur 3 ressorts :
1/ nos références culturelles et notre histoire qui nous poussent à être attirés plus vers un profil, qu’un autre.
2/Notre sensibilité organique, liée aux odeurs, aux phéromones, de l’ordre de l’instinct animal, sur laquelle nous n’avons pas de contrôle.
3/Il y a enfin une dimension inconsciente : on affirme avoir un type d’homme ou de femme, et pourtant on chavire un jour pour une personne qui n’a rien à voir avec ce modèle ! En effet, un échange étonnant, profond, ouvre à des connexions émotionnelles qui nous amènent à porter un regard perçant qui nous fait capter le monde intérieur de l’autre et son physique va alors nous plaire. Car il sera paré d’une aura magique.
La beauté se trouve là où on souhaite qu’elle soit
Si nous nous aimons, on nous trouve aimable. Si nous nous méprisons, on nous évite. De même que pour être convaincant il faut être convaincu. Donc, Love Intelligence travaille cette question sempiternelle : l’autre vous perçoit comme vous-même vous vous percevez. L’important n’est pas l’enveloppe mais ce qu’il y a dans l’enveloppe. Evidemment, une femme qui est jolie alors qu’elle se déteste pourra néanmoins avoir l’image d’une femme jolie, mais le regard qu’elle porte sur elle-même va énormément contribuer à faire durer ou non cette première impression de beauté. Ne vous trompez pas de priorité : qu’est-ce qui est primordial et qu’est-ce qui est accessoire ? L’apparence ou l’essence ? Dans cet état d’esprit, je citerai Philéas Fogg dans le film Le tour du monde en 80 jours : « J’ai perdu le pari mais j’ai trouvé l’amour ». C’est le plus important.
Comment faire transparaître une autre beauté que celle purement physique ? Dans son ouvrage La Dame en bleu, l’écrivain Noëlle Chatelet raconte l’histoire d’une femme qui se libère de l’obsession du « paraitre » et de la séduction. Elle explique que « la jeunesse est un moment de vie et non un devoir » et qu’ « un homme aimant ne voit pas sa femme vieillir ». Avec l’âge nous changeons, notre corps aussi, mais la maturité nous donne plus de charme et d’élégance. La vraie beauté est transparence de l’âme, reflet de l’accord avec soi-même. Il ne faut pas être belle ou beau pour plaire mais être belle ou beau parce que vous aimez finalement votre parcours de vie, vous acceptez votre parcours cahotique et que vous prenez soin de vous, au moins sur les domaines que VOUS avez choisis . C’est une révélation et non une transformation : cette beauté est en vous. Il suffit de l’exprimer, de la laisser transpirer. Il nous arrive en coaching d’accompagner des personnes très belles comme bien moins jolies, et ce n’est pas forcément plus faciles avec les premières. Tout est question de monde intérieur révélé. Notre accompagnement consiste à aider ces personnes à se mettre sur la voie d’une relation épanouissante, et la beauté n’est pas un critère qui aide, au contraire de ce que l’on croit. Ce qui fait que ces personnes trouvent l’amour assez vite après une période de relations insatisfaisantes ou d’absence de relations, c’est leur capacité à comprendre ce qu’elles doivent révéler d’elles (mieux comprendre en lisant l’étape 3 de la Méthode Florence)
La beauté, miroir de l’âme
L’émanation est plus belle que l’apposition. L’émanation c’est ce qui sort de l’intérieur vers l’extérieur. L’apposition c’est ce qu’on ajoute « sur » l’extérieur. Par exemple le sourire. Un sourire qui émane de l’intérieur, est un sourire sincère qui se dessine sur notre visage presque malgré nous, naturellement, spontanément, à la vue d’un être cher ou d’une situation qui nous fait plaisir. Le sourire apposé serait celui de la vendeuse qui se force à sourire en accueillant les clients, et qui disparait ensuite. La vraie beauté c’est la transparence de l’âme, c’est l’expression de la bonté sincère et authentique. Celle qui émane et non celle qui est apposée.
« La beauté se révèle à qui aime sincèrement avec son cœur et non avec ses yeux » Saint- Exupéry
Sommes-nous une génération vaniteuse et superficielle ?
La vanité est intrinsèque à la nature humaine. Mais notre génération a les outils et la technologie nécessaires pour que sa vanité s’affiche publiquement sur la toile. Aujourd’hui, la vanité est juste mieux (et même carrément) acceptée socialement : je m’expose et me montre belle, trendy, lookée, socialement cool… Nous sommes dans une époque où le sujet, est individualiste. Il a besoin aujourd’hui de s’entourer de personnes qui le flattent dans son statut social, ou lui procure un certain prestige dans son domaine, des gens beaux, intelligents ou riches, ou au contraire décalés… Attention donc à ne pas perdre notre authenticité de l’âme…
Est-on programmé pour être attiré par le beau ?
N’importe quel individu, inconsciemment, veut être confronté à l’idéal du beau, cela révèlerait d’une instance narcissique primaire, pour que socialement le sujet soit heureux et « tout-puissant » et se sente accomplie. Car la beauté relève de la nature, la nature produit de beau. La beauté relève d’une émotion de notre regard, de nos affects, du sensible.
Le beau/ Le laid, on est tous programmés pour faire un choix rapide…
Choisir quelqu’un de beau c’est inconsciemment pouvoir le respecter : de tous les temps on a respecté le beau. Nos idéaux esthétiques nous viennent aussi de l’enfance. L’idée du « beau » et du « laid » entrerait dans notre vie, dès l’époque des couches-culottes, pour devenir une notion pleinement consciente à 3 ans, âge de l’entrée à la maternelle : Chez les enfants, le beau est rapidement associé au bien et au plaisir, et le laid, au rejet et à la méchanceté. Le beau et le vilain constituent, sans doute, les champs lexicaux les plus employés par les parents pour s’adresser à leur enfant en bas-âge : « Il est beau ton dessin », « Tu es vilain » ou encore « C’est pas beau » après une crise de caprice… Des notions simples, rapides à comprendre, et qui forment notre première appréhension du monde, nos premiers stéréotypes.
Les plus « favorisés par la nature » alors vivent leur succès comme dû à leurs qualités personnelles. Les moins séduisants arrivent rarement à s’avouer pourquoi ils n’arrivent pas à flirter.
La beauté amène-t-elle la beauté ? Quels sont donc les facteurs qui prévalent à la constitution d’un couple ?
Les partenaires présentent des caractéristiques proches. La ressource dominante est le physique. La beauté va à la beauté, ou la beauté amène à la beauté. Puis intervient tout un travail pour améliorer ces ressources initiales : le maquillage, les bijoux, les vêtements, le sport pratiqué. Tout se passe comme si chacun savait pertinemment quelle catégorie de partenaires il pouvait envisager. Une relation amoureuse avec quelqu’un de nettement plus beau
Evidemment, il est tout à fait possible de vivre une relation amoureuse épanouie même si l’un des partenaires est considéré comme nettement plus "beau". Et le meilleur moyen de ne pas tomber dans le piège de la jalousie ou de la compétitivité est d’essayer de voir son partenaire comme un être humain à découvrir, plutôt que comme un objet où se mirer.
Ainsi, si l’attrait physique va permettre de créer une alchimie entre deux personnes, un lien fort et de belles qualités émotionnelles sont encore plus essentiels. Et si les autres ont quelque chose à redire, par exemple, que vous ne formez pas un couple très bien assorti, grand bien leur fasse ! En fin de compte, chez Love intelligence nous constatons tous les jours que l’amour est une expérience ressentie, et non visible.
L’attirance globale, la bonne nouvelle
La bonne nouvelle, c’est que l’attirance pour une personne relève d’un tout qui englobe l’attirance physique mais aussi intellectuelle, émotionnelle (la posture, ce que la personne dégage à travers ce qu’elle dit ou à travers ses gestes ou son regard). Cette attirance est majoritairement le fait de l’inconscient. Il est en effet difficile d’expliquer pourquoi lui/elle et pas un(e) autre. Généralement, cet inconscient nous pousse à retourner vers le même type d’homme/ femme, au physique ou aux qualités semblables. Découvrez la Méthode Florence pour mieux comprendre.
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