Le manque d’amour, un état illusoire
Chacun a, un jour, éprouvé ce sentiment d’être malaimé, de manquer d’affection. C’est un état inévitable et normal par lequel on passe inéluctablement. Mais il est éphémère. Le manque d’amour, lorsqu’il enferme une personne dans la certitude qu’elle finira seule et qu’elle n’est pas digne d’être aimée, devient le symptôme d’une maladie de l’âme qui consume lentement l’être. Sachez que le manque d’amour n’est jamais une réalité, jamais une fatalité. Se complaire dans le manque d’amour ? Le manque d’amour est seulement un état dans lequel une partie de soi se complait et par lequel elle refuse d’affronter le monde réel. Car il est toujours plus aisé de s’entretenir dans ce que l’on connait déjà que de se risquer à de plus vastes souffrances dans quelque chose que l’on ne maitrise pas et dans lequel on peut échouer.
Aimer, un besoin fondamental
Si l’absence d’amour est un mal qui peut anéantir c’est bien parce qu’il fait partie intégrante des besoins psychologiques vitaux éprouvés par l’être humain. Tous les sociologues se sont accordés sur un point : le besoin d’appartenance, d’affection, d’amour, de reconnaissance par l’autre, constitue un des fondamentaux de la nature humaine. Y renoncer, c’est s’amputer de notre nature intrinsèque la plus vitale qui soit.
L’on se construit à travers l’autre
L’on se construit à travers l’autre ? Oui, l’on existe dans la reconnaissance et la considération que l’autre ou les autres nous octroient et l’on se nourrit de cet échange d’émotions, de sentiments, de conscience mutuelle. Quand il n’y a pas d’amour, on a le sentiment, en tant qu’être humain, de retourner à l’état d’objet. C’est ce que Florence Escaravage s’attèle à démontrer dans sa Méthode Florence qui entend redonner au célibataire la capacité à aimer et être aimé au travers de 5 étapes qui bouleversent les mauvaises habitudes et les mauvaises croyances.
Lire la suite de l’article : |