L’amour quand on a du mal à avoir un enfant !
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Amour et difficulté pour avoir un enfant
Couple, infertilité et infécondité
Chaque année, environ 500 000 couples consultent afin d’être aidés pour concevoir un enfant, soit environ 1 couple sur 7 et 1 sur 10 suit des traitements pour avoir des enfants.
L’infertilité concernerait 80 millions de personnes dans le monde. Ce chiffre a tendance à croître depuis quelques années. Cela s’explique en grande partie par l’âge de la première grossesse qui est plus tardif, en moyenne 30 ans en France. Les femmes font des enfants plus tard, attendent d’être bien installées dans leur vie professionnelle et conjugale pour fonder une famille.
Pourtant il est prouvé que la fécondité diminue avec l’âge. Elle atteint son apogée chez une femme de 20 ans puis décroît entre 30 et 35 ans, et baisse plus sérieusement à partir de 35 ans.
Par ailleurs, la contraception a amené une sorte d’illusion de la fécondité. Le fait de pouvoir contrôler sa fécondité donne l’impression de pouvoir programmer la naissance d’un enfant. En réalité notre corps n’obéit pas si facilement à ces planifications. Les ovaires sont sous la dépendance de notre système nerveux central, c’est lui qui commande les ovulations. Ainsi tous les évènements extérieurs peuvent impacter notre fécondité. On observe d’ailleurs une augmentation de ces troubles de l’ovulation. Preuve que le mental, l’inconscient, jouent un rôle dans le fait de donner la vie.
Il n’est pas évident de comprendre l’infécondité. Les causes sont diverses et parfois inexpliquées.
L’INCOMPRÉHENSION FACE À UN TEL ÉVÈNEMENT
Ca commence comme un conte de fée, elle a trouvé le Prince Quasi Charmant et elle imagine déjà le Happy End : « Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants… » Alors, elle arrête la pilule, elle potasse les règles d’or pour maximiser ses chances de tomber enceinte, l’envie de bébé se fait plus pressante, elle consulte un médecin avec son conjoint… et le verdict de l’infertilité tombe comme un couperet ! Du coup, ils tombent de haut. La réalité les arrache à leurs doux rêves de p’tits bébés, et c’est une toute autre histoire qui commence…
Chaque couple vit l’infécondité de manière différente, néanmoins nombreux sont les couples à raconter les mêmes tourments à l’annonce de l’infertilité : l’incompréhension, face à ce corps qui fait défaut ; l’impression d’injustice. « Pourquoi ne peut-on pas avoir d’enfant, nous qui le désirons si fortement tandis que d’autres en ont « par accident » ?
L’infécondité entraîne culpabilité et solitude
Il faut faire le deuil d’avoir un enfant naturellement. Ce qui est presque surhumain tant l’idée d’avoir un enfant semble naturelle et normale. Devoir surmonter ce deuil d’une naissance naturelle est quelque chose de douloureux qui demande du temps et un travail d’acceptation. Cela engendre fréquemment une dépression. C’est un véritable bouleversement psychologique qui entraîne de la souffrance et de la culpabilité, notamment pour celui qui est à l’origine de l’infécondité du couple. Le sentiment de culpabilité, d’être celui ou celle « qui ne peut pas » et qui prive son conjoint d’un enfant conçu naturellement induit une insidieuse remise en question. La personne se demande ce qui ne va pas chez elle, à l’impression de n’être pas normale. Elle se sent « nulle » et dévalorisée face à cet « échec » de sa féminité (ou de sa virilité…) Enfin, il y a un immense sentiment de solitude car les proches sont souvent d’un faible secours dans cette situation.
L’entourage, sans s’en rendre compte, à tendance à renvoyer le couple a sa solitude. Le couple n’est pas seul avec son envie de bébé : il y a leurs parents, qui les tannent gentiment depuis un an « Alors, ce petit-fils, c’est pour quand ? ». Il y a le beau-frère déjà Papa qui leur propose « le mode d’emploi » dans un éclat de rire…et la bonne copine qui les appelle de la maternité pour partager son bonheur. Toutes ces remarques enfoncent le couteau dans la plaie. Elles sont encore plus insupportables après, quand le couple s’est enfin décidé à se lancer dans le parcours de la Procréation Médicalement Assistée.
Les couples qui sont passés par là décrivent souvent leurs difficultés à communiquer avec leurs proches : comment raconter ces examens et actes médicaux si intimes ? Que faire quand on hésite entre tristesse et jalousie devant les enfants des autres ? Que répondre à ces paroles compatissantes qui donnent envie de hurler ? Le dialogue est encore plus compliqué avec l’entourage professionnel. On ne souhaite pas forcément informer son employeur de ses problèmes de fertilité. Pourtant, avec la PMA, les divers actes médicaux imposent à la femme de nombreux retards ou absences. Certaines femmes choisissent d’ailleurs de prendre un congé sabbatique.
Face à cette incompréhension de l’entourage, on compte sur son conjoint, qui sait précisément ce que nous ressentons. Mais bien souvent, le couple aussi est mis à l’épreuve tout au long du parcours de la Procréation Médicalement Assistée.
CES ÉPREUVES ONT UN IMPACT SUR LE COUPLE
Les couples s’engagent avec une foi absolue dans la réussite de ces méthodes et se retrouvent pris dans des traitements d’une lourdeur extrême, et confrontés à une intrusion dans leur vie sexuelle et dans l’intimité féminine. Ces protocoles médicaux envahissent leur quotidien, leur travail, leur couple. Certaines femmes peuvent néanmoins compter sur le soutien de leur mari et assurent que cette épreuve a renforcé leur couple. Ce n’est pas le cas de chacune. Certaines se sentent considérées comme un ventre uniquement. Leurs maris ont probablement trop focalisés leurs attentes sur leurs femmes et cela tourne à l’obsession de l’enfant. Il faut faire très attention à être à l’écoute de sa/son partenaire et pouvoir assurer un soutien sinon le couple risque de se fragiliser encore plus et ce, jusqu’à la rupture.
Les médecins ont aussi un rôle important de soutien à fournir. Ils doivent bien faire comprendre au couple qu’il faut dissocier le problème de la fécondité, de leur sexualité. Il est de leur ressort de les déculpabiliser face à cette situation. Une trop forte culpabilisation de la part des partenaires nuit à leur relation.
Certains couples éprouvent parfois des sentiments ambigus : culpabilité et repli sur soi pour le partenaire diagnostiqué « infertile », ressentiment inavouable pour le conjoint « privé » de bébé. Le dialogue au sein du couple semble alors indispensable pour affronter ensemble les difficultés. D’autant plus si les partenaires font le choix de la Procréation Médicalement Assistée.
Voici nos 4 conseils clés pour vivre joliment, et dans l’épanouissement cette …plus ou moins longue…période !
CHOISIR UNE BELLE SEXUALITÉ ALORS QU’ELLE POURRAIT ÊTRE TERNIE ET ROUTINIÈRE À CAUSE DU RYTHME IMPOSÉ PAR LE PROJET BÉBÉ.
L’intimité du couple risque d’être chamboulée lors de ce protocole médical : le test de Huhner (analyse du sperme quelques heures après un rapport sexuel), les prélèvements de sperme par masturbation, les rapports sexuels programmés, l’injection de l’embryon dans l’utérus… Toutes ces pratiques manquent vraiment de romantisme ! À cela s’ajoutent la fatigue, la prise de poids et l’irritabilité, fréquentes chez la femme en raison des traitements hormonaux prescrits.
Certes toutes ces contraintes peuvent miner le couple mais vous pouvez aussi faire en sorte de prendre le dessus des choses et en profiter pour faire parler votre imagination. Par exemple, à la place de voir vos rapports sexuels programmés comme une routine terriblement ennuyeuse et sans folie, transformez ces instants en des moments de découvertes. Feuilletez le kamasutra avec votre partenaire et essayez une nouvelle pause sexuelle. Vous pouvez aussi changer d’ambiance/de lieu, d’apparat à chaque fois. Si vous procédez ainsi, l’envie et le désir d’avoir d’avoir des rapports réapparaîtra.
C’est vrai que c’est plus facile à dire qu’à faire, néanmoins, c’est la meilleurs solution pour une vie sexuelle épanouie : le changement, les atours, la séduction, la nouveauté, le contexte choisi ! Bien que ces moments de rapports sexuels ne soient pas totalement spontanés, étant dictés par le timing, profitez en pour faire en sorte que certains soient merveilleux, d’autres originaux et amusants, d’autres romantiques…vous verrez qu’ils pourront finalement enrichir votre vie sexuelle et surtout enrichir votre relation. Plus vous allez dans ce sens, plus vous saurez être davantage à l’écoute de vos besoins et des désirs de l’autre.
COMMENT CETTE FRAGILISATION DU COUPLE PEUT ELLE DEVENIR, AU CONTRAIRE, UN ATOUT SUPPLÉMENTAIRE POUR L’AMOUR DU COUPLE : EXPLICATIONS !
La répétition des échecs fragilise-t-elle, aussi, chaque jour un peu plus le couple ? Pas focément. Cette fragilisation peut renforcer le lien au sein même du couple car cette épreuve - qu’ils vivent à deux - les unit profondément. Ils sont les seuls à se comprendre et à savoir ce qui peut aider l’autre. Par là, ils font preuve d’une véritable compassion l’un envers l’autre. C’est un des ciments forts du couple. Le couple gagne en maturité.
Retour en arrière : l’autre bénéfice du problème de stérilité
Il est bénéfique de profiter de cette période pour se remettre en question, essayer de réfléchir à son désir d’être parent, à son couple, à soi lorsqu’on était enfant aussi. Vous pouvez éventuellement parler de toutes ces questions avec un psychologue. C’est une période propice pour faire émerger de vieux problèmes pour les chasser à jamais, pour mettre en lumière une partie de votre personnalité que vous ne connaissiez pas ou pour résoudre certains conflits.
Orientations personnelles incontournables pour bien vivre l’attente :
Il est indispensable d’approfondir vos projets, vos rêves ou de découvrir une activité que vous n’avez encore jamais osé faire : pratiquer une danse par exemple ou prendre des cours de chants. Centrez-vous sur vous ! Soyez à l’écoute de vos besoins, faîtes vous du bien. Car si cela prend un peu de temps, il faut que ce temps vous soit profitable. Plus vous vous investirez sur d’autres sources de satisfaction et d’épanouissement, moins l’attente sera dure.
Renforcer les liens du couple et sa complicité EN DEHORS du projet bébé.
Centrez-vous sur votre couple aussi. Mettez à profit vos moments à deux, réapprenez à vous découvrir et à vous aimer. Faites des sorties, des dîners en amoureux pour éviter que l’envie d’être à 3 saccage votre relation à vous 2 !
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