Son témoignage :
Avant de rencontrer Sonia, ma love coach, j’allais d’échec en échec. Toutes mes histoires amoureuses finissaient en eau de boudin… Depuis quelques années, à chaque fois que je rencontrais un homme, il me quittait quelques mois après. Je ne comprenais pas pourquoi : c’était pour moi une vraie injustice… pourquoi aucun homme ne tombait vraiment amoureux de moi ?
En fait, à chaque fois que je rencontrais un homme qui me plaisait, c’était toujours pareil : je m’emballais très rapidement, je voulais séduire à tout prix pensant que c’était ce qu’il fallait faire pour qu’il s’attache à moi. Pour moi la séduction passait obligatoirement par la coquetterie. J’ai d’ailleurs réfléchi et réalisé que petite déjà, j’étais captivée par les vêtements sophistiqués que portait ma mère, qui était très belle et très féminine. Je me suis construite là-dessus : je suis moi-même devenue une vraie femme fatale, changeant complètement de comportement et de caractère face à un homme que je voulais séduire.
Dès ma première séance de coaching, Sonia a su être à l’écoute de mon histoire et a tout de suite compris d’où venait mon problème. Elle m’a fait prendre conscience que mon attitude était trop ouvertement séductrice, qu’elle provoquait l’effet inverse et faisait fuir les hommes. En me comportant comme ça, j’empêchais, sans les savoir, les hommes de s’attacher à moi. Toutes mes relations restaient donc très superficielles.
D’ailleurs, comme Sonia me l’a fait remarquer, la façon dont je parlais d’eux montrait à quel point je n’étais pas moi-même engagée dans une relation sérieuse et profonde. Je ne parlais que de leur réussite professionnelle et commentais les endroits « fabuleux » dans lesquels ils m’avaient emmené dîner. Je ne m’attachais pas du tout à ce qu’ils m’avaient dit d’eux, de ce qui les passionnaient. En fait, c’est comme si je ne m’intéressais pas du tout à ce qu’ils étaient mais que tout ce qui m’importait, c’était les efforts qu’ils feraient pour me séduire… J’étais uniquement dans la représentation. Effrayant !
Je devais donc changer mon fusil d’épaule et mon regard sur les relations hommes-femmes.