Le « garçon manqué », l’invention d’une société ?
Dans la pensée collective pour grossir un peu les choses, disons que la femme aime :
porter des talons,
s’habiller avec des jupes, des robes, ne pas avoir peur de jolis des décolletés
souligner sa taille, jouer avec ses cheveux
montrer une grande délicatesse et sensibilité
aimer faire des activités de « fille »
aimer le rose et les couleurs féminines
Quand on est tout le contraire de cela, on peut rester pourtant très femme, mais l’on va faire souffrir, possiblement, notre conjoint qui ne retrouvera pas en nous ces stéréotypes typiquement féminins. Il est toutefois utile de souligner que les femmes ne correspondant pas forcément à ces critères peuvent dégager une féminité certaine !
Fort heureusement, ces stéréotypes sont en proie à de nombreuses critiques de nos jours et tendent à être éradiqués de notre société. Mais même si l’on veut les faire disparaitre, il n’empêche qu’ils sont toujours bel et bien présents dans nos représentations sociales des genres. On rencontre chez Love intelligence des hommes qui souffrent d’un côté trop masculin chez leurs femmes.
Pour faire simple, ce qui caractérise donc ce que l’on nomme aujourd’hui « garçon manqué » c’est :
le port de vêtements qui ne la mettent pas en valeur (pantalons larges, baskets, pull épais…)
la pratique de sports et d’activités « habituellement réalisés par les hommes » (mécanique, football, moto…)
une préférence pour s’entourer de personnes du sexe opposé plutôt que du même sexe
Si votre femme correspond à ces « critères » et que cela vous plait de moins en moins, suivez nos conseils et posez-vous la bonne question : puis je la faire évoluer ? Et comment ?
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