Tirons des solutions pragmatiques de cette recherche !
1. Il est certain que nous n’avons pas les moyens de nous offrir la machine de Ranganath et de ses confrères de l’université de Stanford. Sa fiabilité est d’ailleurs loin d’être effective. Toutefois, avoir le sens de l’observation nous permettra certainement de mieux cerner le comportement de l’autre. par exemple, se concentrer sur l’environnement de la personne : entendez-vous des bruits d’enfants, des grognements masculins (ou féminins) derrière la porte d’entrée au cas où vous l’abordez chez elle ? Au travail, est-ce que la personne porte une alliance ou un accessoire quelconque témoignant de la présence de son /sa chéri(e) ? Avez-vous remarqué des porte-photos sur son bureau ? Pour résumer, essayons de mettre de côté nos propres désirs, et soyons le plus objectifs possible : lorsqu’on a le sentiment que l’autre est attiré par nous (et que nous le sommes aussi), c’est une fois sur deux notre imagination qui travaille et non notre intuition.