Son manque de confiance en elle, sa timidité et ses exigences s’impose comme un cocktail explosif qui l’a fait passer à côté… de l’amour.
Florence Escaravage amorce une prise de conscience chez Julie, en lui faisant réaliser, tout d’abord, que cette absence de vie sentimentale est principalement du à ce cocktail derrière elle se cache pour ne s’engager dans rien. La coach appuie sur cet aspect important : Julie ne doit pas se complaire dans une dynamique relationnelle à l’autre binaire, basée sur « je ressens quelque chose » ou « je ne ressens rien ».
Car cette peur et cet état d’esprit dicte la fermeture et pousse à passer à côté de rencontres qui pourraient être fructueuses.
Florence conseille à Julie de s’ouvrir à la rencontre, en acceptant que le premier ne soit pas le bon, ne réponde pas parfaitement à son idéal inconscient d’un partenaire. Car l’amour, c’est précisément accepter de se laisser surprendre. Accepter de percevoir en l’autre, en ces personnes qui s’intéressent à ce que l’on est, les choses positives, les nouveaux horizons vers lesquels elles peuvent guider.
Chose à côté de laquelle passe totalement Julie en se restreignant à un mode de fonctionnement ancré dans ses exigences et ses peurs. Florence Escaravage s’attache à lui démontrer qu’il faut laisser la chance à la rencontre de se matérialiser, d’exister et de devenir agréable. Et surtout, que les rencontres ne sont jamais inutiles, jamais des échecs, puisqu’elles façonnent et font grandir.