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Contrairement aux générations qui nous ont précédés, nous tendons aujourd’hui à fonder nos relations sur la seule attirance que nous ressentons pour quelqu’un. Nos parents et grands-parents, à l’inverse, se gardaient de trop se laisser diriger par leurs émotions.
Plus individualistes, plus pressés et stressés, nous voulons privilégier l’intensité d’une expérience sur sa durée, nous recherchons donc avant tout dans l’amour la force du désir et la magie du moment. En somme, nous voulons connaître bien plus « l’euphorie » de l’état amoureux que de tisser des liens solides et pérennes.
Or l’état amoureux n’est pas un état qui dure éternellement ! C’est l’amour, véritable et ancré, qui dure. Toute la difficulté est alors de transformer l’essai (passer de l’état amoureux à l’amour). Un passage très délicat souvent mal vécu.
Lorsqu’on est amoureux, on se dit « sur son nuage », « un peu ailleurs », des images qui illustrent bien le caractère parfois illusoire de l’état amoureux. Du coup, lorsque celui-ci se transforme pour évoluer peu à peu vers de l’amour, lorsque la relation mûrit, paradoxalement nous nous sentons déçus : l’euphorie retombée, nous voyons enfin l’autre tel qu’il est.
Cela n’a pas changé depuis des décennies, depuis la libéralisation des mœurs des années 70 : auparavant, nous avions une vision de l’amour beaucoup moins indépendante, l’implication de chacun était bien plus importante.
La différence aujourd’hui est que, dans une ambiance générale d’accélération des relations sociales et du rythme de vie en général, nous avons tendance à nous précipiter beaucoup plus vite dans de nouvelles relations amoureuses, sans réflexion profonde : ainsi la phase de doute, qui accompagne systématiquement l’état amoureux, est très souvent mal vécue.
Elle arrive plus brutalement qu’avant, elle est donc plus difficile à traverser sereinement, c’est-à-dire en évitant de parvenir trop vite à la conclusion que notre partenaire n’est pas le « bon ». Plus nos illusions sont fortes, plus la déception est profonde. Là où nos parents se montraient beaucoup plus philosophes, nous avons du mal à accepter le doute en amour, que nous ne considérons pas « normal ».
Pourtant, il faut bien commencer par douter pour concevoir ses propres convictions.
NOUS NE SOMMES PAS « PRÉPARÉS À L’AMOUR »
Aujourd’hui, si certains d’entre nous ne veulent pas le comprendre, c’est tout simplement qu’ils n’y ont pas été préparés. Personne ne leur a transmis. Personne ne leur a expliqué. Un manque de repères qui pèse sur la relation. Comment être sûr que la personne que nous avons rencontrée est celle qui nous convient si on ne nous a pas appris à la reconnaître ? Nous voilà saisis par le doute, phase ressentie d’autant plus douloureusement qu’elle arrive brutalement. Et qui ne correspond plus à notre époque où l’on aspire au désir et à la symbiose.

L’état amoureux nous amène à porter un regard biaisé sur la personne que nous convoitons. Il faut bien comprendre que, si nous nous précipitons, la déception sera, tôt ou tard, inévitable. Cet état, qui nous coupe des réalités, nous aura poussés à placer cette personne sur un piédestal : quels que soient ses efforts, elle ne pourra jamais être à la hauteur. Comble de l’ironie, c’est nous qui lui en voudrons de ne pas avoir répondu à nos attentes !
Alors que si nous prenons notre temps, nous avons déjà plus de chances que la relation se construise, car nous synchronisons les rythmes de nos désirs et nous accordons nos attentes. Nous avons le temps d’être bien sûrs que cette voie est la bonne pour nous.
Prendre son temps ne dispense pas de ressentir cette désillusion, inévitable après l’état amoureux, mais elle sera déjà moindre et plus facilement gérable. Prendre son temps, c’est s’accorder une chance que la relation devienne plus intéressante, enrichissante en se donnant l’opportunité d’établir les 4 connexions indispensables à un amour vrai : les connexions d’ordre émotionnel, spirituel (les valeurs), intellectuel et sexuel.
C’est à ce moment-là qu’on trouve que l’amour est beau. Nous sommes alors en mesure de quitter l’état amoureux pour entrer « en amour ». Nous voyons l’autre tel qu’il est et nous l’aimons pour ce qu’il est.
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