Les croyances limitantes en amour qui sabotent nos relations

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Nous sommes tous plein de croyances. Il faut savoir abandonner les croyances qui nous limitent, nous empêchent de trouver le bonheur en amour. Car certaines croyances sont destructrices de nos relations. D’autres, au contraire sont constructives. On croit en ceci parce que nos parents nous l’ont inculqués ou alors on croit cela parce que tels événements amoureux nous ont habitués à penser ainsi. Quoiqu’il en soit, peu importe la croyance qui vous domine, s’il y en a une qui vous amène à tourner en rond en amour, Love Intelligence vous éclaire pour la dénicher !

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QU’EST-CE QU’UNE CROYANCE LIMITANTE ?

Sans en avoir conscience, nous sommes administrés, asservis par des croyances familiales limitantes, reçues dans notre enfance. Les croyances sont des assemblages de pensées qui peuvent avoir du sens à un moment de notre vie mais qui, à la longue, deviennent limitantes. Prenons l’exemple de Léa qui, adolescente, était ronde et portait un appareil dentaire et des lunettes. Elle a subi les moqueries de ses camarades et aujourd’hui, elle pense « je ne suis pas désirable donc je resterai seule ». Certaines croyances sont issues de notre éducation et de nos blessures d’enfance. Par exemple, Henry a vécu le divorce de ses parents et de ses deux meilleurs amis. Aujourd’hui il pense « j’ai peu de chance d’être heureux en couple sur la durée, moi aussi je finirai certainement par divorcer ». Ces croyances limitantes lient deux éléments et nous interdisent d’être heureux.

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L’EXEMPLE DE KARINE

Autre exemple, celui de Karine qui se souviendra toujours de ces moments où sa mère lui disait que tous les hommes étaient égoïstes et infidèles. Et, bien sûr, même si Karine cherche à vouloir croire le contraire, elle recherche et est attirée, car elle a cette croyance en elle, des hommes qui incarnent, dans leur attitude et dans leur manière de se comporter, un caractère égoïste ou infidèle. Pourquoi ? Car l’être humain est « congruent », c’est-à-dire qu’il cherche instinctivement à confirmer ses croyances. C’est pourquoi il faut tuer nos croyances limitantes et nous vous proposons de le faire grâce à l’étape 1 de la Méthode Florence ou en rencontrant l’un de nos coachs pour vous aider.

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NOS CROYANCES ET MYTHES FAMILIAUX EMPÊCHENT NOS RELATIONS

Florence Escaravage explique dans les livrets de la Méthode Florence que les croyances sont des fenêtres à travers lesquelles nous voyons le monde et que nos croyances ont un impact sur nos décisions en amour, sur la façon dont on ressent les choses et surtout sur la manière dont on exprime nos sentiments. Elle affirme que nos croyances contrôlent tout ce qui nous concerne et notamment la direction que prend notre vie amoureuse. Ces croyances ont donc été créées par rapport à diverses situations de notre vie ou directement par notre famille. Avec le temps, nous en avons fait des généralisations ce qui conduit à des amalgames. C’est pourquoi il faut s’en débarrasser pour retrouver le potentiel de vivre une belle relation.

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DÉNICHER UNE CROYANCE EST PLUS DIFFICILE QUE DE S’EN SÉPARER, MAIS VOUS POUVEZ Y ARRIVER TOUT(E) SEUL(E) !

« Transformer une croyance en un élément porteur et positif de notre vie, ce n’est pas difficile, c’est une décision », raconte Florence Escaravage, qui accompagne chaque jour des personnes sur le chemin de l’amour. « Le plus dur n’est pas de faire voler une croyance en éclat, mais de dénicher celle qui vous amène à tourner en rond en amour. C’est pour cela que j’ai créé les exercices de la Méthode Florence, pour aller débusquer, la croyance qui est tellement en vous que vous ne l’avez même pas identifié comme un frein ! », poursuit-elle. « Lorsque je parle, en face à face, avec une personne dans le cadre d’un coaching, il vient toujours dans la conversation une phrase, une manière de pensée qui m’alerte. Car de cette manière de pensée découle, forcément, tout un comportement dans la rencontre ou dans la relation, qui est le cœur du problème : des comportements qui « crispent » l’autre ou ternissent la relation, des comportements qui amènent la personne à imaginer qu’elle est incapable de réussir tel ou tel aspect de la relation. »

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POURQUOI SE SÉPARER DE NOS CROYANCES LIMITANTES N’EST PAS DIFFICILE

Le thérapeute Lucien Essique raconte dans son livre Des amours vécues à l’amour de soi, que se séparer d’une croyance est un acte majeur qui demande suffisamment de volonté pour sortir des schémas qui créent l’immobilisme. Mais Florence Escaravage dit ne jamais rencontrer de personnes qui ont des problèmes à abandonner une croyance dans le domaine amoureux, dès lors qu’elle a été identifiée. Pourquoi ? Car elle leur parait soudainement saugrenue, sans fondement, et surtout, la cause de leurs ennuis en amour. C’est donc une libération, mais aussi une nouvelle feuille de route qui permet à la personne de savoir dorénavant comment avancer. Si cette personne avait par exemple une croyance sur le fait que « l’amour est fluide », l’état amoureux dans les premiers temps ne doit pas souffrir d’anicroches… cette personne passe alors à côté de relations qui débutent sur un autre mode. Et surtout, elle interprète des débuts de relation comme étant vouées à l’échec, alors que l’une d’elle présentait la nécessité d’accorder quelques temps ses violons, mais en aucun cas, d’y mettre un terme. Ou, de changer de comportement car la déception est forte, ce qui amène le partenaire, en quelques jours ou semaines à vouloir s’éloigner ou quitter aussi cette relation. Florence Escaravage souhaite dresser sa liste des croyances limitantes qui ont le plus empêché ses clientes ou clients en amour. Et qui, dès lors qu’ils s’en sont libérés, se sont ouverts alors autrement aux rencontres ou à l’amour. Si vous n’arrivez pas à détecter et repérer vos croyances, découvrez l’étape 1 de la Méthode Florence qui a pour objectif de vous libérer de votre passé.

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LES CROYANCES LIMITANTES LES PLUS FRÉQUENTES OBSERVÉES PAR FLORENCE EN COACHING

Il y a les croyances sur nous-mêmes (« je suis trop ci, pas assez ça »), les croyances sur la relation amoureuse (« elle doit être fluide, sinon ce n’est pas de l’amour » ou « elle doit commencer par un coup foudre, sinon ce n’est pas le bon »), les croyances sur l’autre sexe (« une femme doit être ainsi », « un homme doit absolument être comme ci, comme ça »). Ces croyances reçues constituent, pour chacun, un guide de son propre savoir-être, savoir-ressentir, savoir-dire, savoir-faire, savoir-penser et savoir-communiquer. La plupart de nos croyances sont saines et constructives pour la relation amoureuse, mais il arrive que l’une d’entre elle vienne tout gâcher. C’est celle-ci qu’il faut dénicher ! Florence explique que lors de ses coachings, une question sur trois repose en effet sur ces croyances dénichées. Les clients veulent savoir ce que l’on pense de ce qu’ils viennent de découvrir : pourquoi ne s’en rendent-ils compte que maintenant ? Est-ce que c’est bien à cause de telle croyance que leur relation les a menés ici ou là ? Comment l’enterrer définitivement ?

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« SI JE NE RESSENS RIEN DANS LES PREMIERS TEMPS, JE PASSE MON CHEMIN »

« Un coup de foudre, sinon rien » ou le mythe du prince charmant ! La majorité des croyances des personnes que je rencontre en coaching sont en lien avec le prince charmant. Si ce n’est pas le coup de foudre, alors elles croient qu’un couple ne doit faire qu’un, ce qui enferme les deux partenaires dans une relation où les individualités de chacun sont perdues. Prenons l’exemple d’Émilie, 33 ans, qui me disait qu’aucun homme ne trouvait grâce à ses yeux. Elle croyait dur comme fer au coup de foudre car sa mère et sa grand-mère l’avaient élevée dans l’idée que, comme pour elles, le premier homme qu’elle aimerait serait le bon ! Elle attendait donc que le prince charmant lui tombe dessus comme par magie. Je lui ai donc dit qu’elle devait accepter l’idée qu’une personne qui ne lui fait aucun effet de prime abord pourrait tout à fait l’émouvoir deux jours ou deux mois plus tard. Il faut savoir se forcer à aller plus loin avec quelqu’un qui ne nous a pas séduit(e) de prime abord. Parce que neuf fois sur dix, quand on n’est pas attiré par quelqu’un, c’est qu’on ne lui a pas donné sa chance ou qu’on n’a pas su le mettre en confiance.

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« LA RENCONTRE DOIT ÊTRE NATURELLE »

Pour certains, l’amour est une question de hasard. La rencontre doit être naturelle et se faire naturellement. Cette croyance provoque une haine des sites de rencontres. Et pourtant, quand on se positionne dans une démarche de trouver l’amour, il suffit d’adopter la bonne disposition d’esprit. Découvrez mes conseils pour faire d’une rencontre LA bonne rencontre dans l’étape 4 de la Méthode Florence.

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« LE PHYSIQUE, L’ATTIRANCE SONT IMPORTANTS ET ON DOIT ÉCOUTER SON INSTINCT »

Certaines personnes ne trouvent pas leur physique avantageux et pensent alors, à tort, qu’elles ne pourront jamais trouver l’amour. Le travail de coaching consiste alors à raviver une conscience de ses atouts et de sa singularité qui ont été étouffée. L’étape 1 permet d’extraire sa croyance et l’étape 3 permet de révéler son potentiel séduction, ses atouts. C’est une question de déclics

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« L’AMOUR N’EST PAS FAIT POUR MOI »

Ce n’est pas parce que vous n’avez pas eu de chances jusqu’à maintenant, que l’amour n’est pas fait pour vous. Chacun trouve chaussure à son pied. Il suffit d’adopter la bonne attitude, les bons réflexes. C’est tout l’enjeu de la Méthode Florence, permettre aux célibataires de s’ouvrir à l’amour.

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LES AUTO-SABOTEURS, CES SCHÉMAS INTERNES QUI NOUS BLOQUENT

Nous avons, en plus de nos croyances et de nos mythes familiaux, des schémas internes. Par exemple, le désir de perfection. Comment peut-on rencontrer un homme ou une femme avec qui construire une relation si on est trop exigeant(e) ? Ces auto-saboteurs nous paralysent dans nos relations aux autres. Ils se présentent sous la forme « je ne dois pas » ou « il ne faut pas » ou encore « il faut », « je dois ». Ils sont destructeurs dans le sens où ils nous amènent à faire tout le contraire de ce qu’on souhaite. C’est un ensemble de petites phrases qu’on se répète sans cesse et qui contribuent à créer des freins dans nos relations. A trop vouloir être parfait(e), on sabote nos relations et on subit un échec au lieu d’atteindre le succès, la réussite. Nous devons pour cela analyser les sources de nos échecs et de notre mal-être. Ensuite, il faut détecter l’auto-saboteur qui nous freine. Puis il faut apprendre à lui dire « non ». Il s’agit de corriger ses pensées, de faire part de notre désaccord à cette petite voix qui veut diriger notre vie et qui contribue à la détériorer.

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LA TECHNIQUE DE LUCIEN ESSIQUE POUR DONNER UNE BONNE CLAQUE AUX CROYANCES

Lucien Essique propose ainsi, d’écrire sa croyance sur une feuille, en grosses lettres, et de l’afficher dans sa cuisine. A force d’être fatigué de la voir écrite sans cesse, on comprendra alors qu’il n’est plus possible d’être lié à cette légende et on va ressentir un besoin de s’en débarrasser. A ce moment-là, il faudra déchirer cette feuille en mille morceaux, avec détermination. S’il s’agit de croyances plus lourdes, le thérapeute propose de les graver sur une pierre puis de fracasser cette pierre à coups de masse. Aussi, on peut choisir de remplacer cette croyance par une citation motivante et inspirante pour nous redonner l’énergie d’avancer.

C’est ainsi que tous ces petits stratagèmes intérieurs nous empêchent d’engager une relation amoureuse. Renoncer à nos croyances, nos mythes familiaux, nos auto-saboteurs c’est s’offrir une certaine liberté et s’ouvrir à l’amour. De retrouver notre libre arbitre et d’avancer au lieu de reculer.

A découvrir : Lucien Essique, thérapeute, auteur du livre Des amours vécues à l’amour de soi.