Le couple pour réparer les blessures de son passé
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Nous vous avons déjà parlé de la méthode IMAGO, qui affirme que notre enfance influence nos relations. Aujourd’hui, nous revenons sur ce sujet avec une approche un peu différente, celle du psychiatre Christophe Fauré. Dans son livre Ensemble mais seuls, il se demande si le couple n’a pas pour rôle de réparer les blessures de notre passé. Explications.
NOS EXPÉRIENCES DU PASSÉ LAISSENT DES TRACES SUR NOTRE PRÉSENT
Freud disait que nos impasses relationnelles, nos fonctionnements, nos souffrances du présent sont très largement expliqués par les événements de notre passé, notamment de notre enfance. Même si tout cela se déroule dans notre inconscient. Nous avons tous en nous des blessures du passé. Et même si en grandissant elles peuvent nous sembler mineures ou banales, elles sont bien présentes et actives dans notre vie psychique. Ces cicatrices réapparaissent sous une forme qu’on n’identifie pas forcément mais elles cherchent encore aujourd’hui à guérir.
Une rupture sentimentale, un manque d’amour ou d’attention, des violences psychologiques ou physiques, le déni de nos besoins fondamentaux sont autant d’expériences de notre passé qui ont laissé une cicatrice bien présente en nous et qui refont surface lors de chacune de nos relations affectives dans notre vie d’adulte. La plupart de ces comportements plus ou moins défectueux s’opèrent au-delà de notre conscience, et nous nous retrouvons, sans nous en rendre compte, à demander à notre couple qu’il remédie à nos blessures intérieures.
UNE PIÈCE DE THÉÂTRE QUI SE REJOUE ENCORE ET ENCORE
Notre cerveau et notre esprit essayent sans relâche de cicatriser nos blessures intérieures. Ces traumatismes cherchent constamment une voie d’apaisement. Comment ? En rejouant inlassablement les scénarios de notre enfance dans le but de réactiver les situations douloureuses de notre passé dans l’espoir que cette fois-ci la fin sera heureuse et le problème définitivement réglé. Mais le résultat n’est pas toujours celui qu’on attendait…
Ces blessures sont comme une pièce de théâtre. Notre cerveau rejoue encore et encore les mêmes scènes dans l’espoir d’obtenir enfin un happy end. Les acteurs sont différents mais le texte reste le même. Lorsque nous rencontrons des personnes susceptibles de répondre à nos besoins d’autrefois, notre inconscient distribue les nouveaux rôles et remonte sur scène pour rejouer cette pièce de théâtre de notre vie passée. C’est pourquoi Harville Hendrix, dans son livre Le couple : mode d’emploi explique que notre enfance influence le choix de notre partenaire.
L’INCONSCIENCE NOUS EMPÊCHE DE COMPRENDRE
Le problème est que tout se passe dans notre inconscient. Le couple se retrouve alors à son insu au milieu de règlements de compte appartenant au passé et dont aucun des partenaires n’a vraiment conscience. Chacun pense jouer son propre scénario qui concerne les enjeux présents. Mais en réalité, c’est une tragédie qui se joue et tous les enjeux présents prennent en fait racine dans notre passé familial – et ne concernent donc pas directement le couple. Par exemple, nous ne comprenons pas que les conflits de pouvoir entre nous et notre partenaire sont en fait la transposition exacte des conflits de pouvoir qui nous opposaient à notre père trop autoritaire.
NOTRE COLÈRE N’EST PAS DIRECTEMENT ADRESSÉE À NOTRE PARTENAIRE
Nous ne comprenons pas non plus que la colère de notre moitié nous angoisse autant parce qu’elle nous renvoie à la peur que suscitait en nous la violence de notre père. Nous ne comprenons pas non plus que les disputes liées aux tâches ménagères avec notre conjointe nous rappellent notre mère trop maniaque. Ainsi, la colère ressentie lors de ces différentes situations n’est pas directement adressée à notre partenaire mais à notre parent responsable de notre traumatisme. Notre réaction peut alors être excessive et nous ne comprenons pas, ni nous, ni notre partenaire, pourquoi. Et comme personne ne comprend la racine du problème présent, alors l’autre riposte et c’est le conflit assuré.
Nous avons tendance à l’oublier mais notre partenaire a lui aussi ses propres scénarios d’enfance ! Et ses blessures se réactivent aussi dans le présent, ce qui complique encore plus la situation.
SOMMES-NOUS « TORDUS » ?
Bien sûr que non. Nous ne sommes pas toujours conscients de tout cela. Et quand nous le sommes, nous faisons de notre mieux pour apaiser nos conflits intérieurs, ce qui est une forme d’intelligence.
Nous choisissons notre partenaire en fonction de nos scénarios, les nôtres et les siens. Nous cherchons une certaine compatibilité entre nos blessures d’enfance et celles de notre partenaire. Par exemple, si nous avons eu un père violent, nous allons nous tourner vers un homme de nature violente afin de pouvoir rejouer les scénarios du passé dans le but d’obtenir une fin favorable. Mais ce n’est pas si simple… Car la plupart du temps, les blessures sont complémentaires les unes des autres et risquent de bien fonctionner ensemble, créant l’impression d’une harmonie parfaite entre les deux partenaires.
C’EST EN NOTRE PARTENAIRE QUE NOUS CHERCHONS À PANSER NOS BLESSURES D’AUTREFOIS
En résumé, nous avons tous des blessures issues de notre passé, même lors d’une enfance heureuse car l’on nous a forcément dirigé vers tel ou tel développement de soi alors que nous aurions eu un penchant naturel vers autre chose. Et nous cherchons encore, dans le moment présent, à guérir de ces blessures, de ces manques. C’est en notre partenaire que nous cherchons à panser ces blessures, nous pensons que notre moitié pourra nous réparer. Seulement, notre partenaire aussi cherche la même chose que nous, lui aussi souhaite se réparer à travers nous.
LE COUPLE, UN OUTIL DE GUÉRISON DE NOS BLESSURES D’AUTREFOIS ?
Le couple est le lieu privilégié pour que nos blessures du passé se réactivent. Et il est tout à fait possible que notre couple parvienne à apaiser nos problématiques datant de notre enfance. En effet, certains couples réussissent à dépasser leurs fantômes respectifs, à verrouiller ces blessures du passé. Comment ? Grâce à un amour très fort et à une puissante volonté de ne pas laisser le passé interférer sur le présent. Le couple peut guérir des souffrances d’autrefois mais cela demande beaucoup de vigilance, de prévoyance, de perspicacité et de lucidité.
En revanche, cela devient beaucoup plus compliqué quand aucun des deux partenaires ne fait le rapprochement entre les conflits du présent et les souffrances du passé. Cette situation peut créer de graves malentendus au sein du couple. De ce point de vue, ce serait d’un grand secours de libérer le couple de ce poids injuste du passé de chacun des partenaires car ce sont des problématiques qui ne le concernent pas directement.
LE SOULAGEMENT DE NE PLUS REPRODUIRE EN BOUCLE CES SCÉNARIOS PARASITAIRES
Christophe Fauré affirme clairement, dans son ouvrage Ensemble mais seuls, que « ce serait un réel soulagement de ne pas se retrouver face à cette désespérante tendance à reproduire, en boucle et en aveugle, des scénarios qui ne cessent de faire souffrir depuis déjà trop longtemps. Ce serait une vraie délivrance de ne plus se contraindre à tomber toujours sur le même type de partenaires dont la distance, la négligence, l’incapacité à aimer renvoient directement à celles de ce père ou de cette mère d’autrefois. » Et le psychiatre conclut en disant : « Quel bonheur ce serait de voir enfin son/sa partenaire pour ce qu’il/elle est et d’interagir véritablement avec lui/elle, sans être parasité par le filtre déformant d’une représentation parentale dont personne n’a plus besoin. »
LA PRISE DE CONSCIENCE, LE PREMIER PAS VERS L’ÉRADICATION DE NOS CONFLITS RELATIONNELS LIÉS À NOS BLESSURES DU PASSÉ
Les explications ci-dessus vous permettent de comprendre l’origine de certains conflits au sein de votre couple. Prendre conscience de certains schémas relationnels répétitifs qui encombrent vos relations est un premier pas vers leur élimination. C’est pourquoi le psychiatre Christophe Fauré propose d’étudier 5 scénarios universels que beaucoup d’entre nous reproduisent au sein de notre couple.
SCHÉMA N°1 : L’ABANDON AFFECTIF
L’abandon affectif peut prendre diverses formes et se vivre de manière plus ou moins violente. Par exemple, une femme dont la mère a été très distante affectivement durant son enfance la conduit aujourd’hui à attendre une trop grande implication de la part de son partenaire. Une femme dont la mère est décédée quand elle avait 8 ans la pousse aujourd’hui à être dépendante des autres pour combler son besoin d’affection car elle sombre facilement dans la solitude.
Cette souffrance survenue dans notre enfance peut persister dans notre présent et laisser une trace de vulnérabilité émotionnelle. Cela peut nous conduire à conditionner nos besoins affectifs et cet abandon affectif de l’un de nos parents peut engendrer une véritable angoisse d’abandon dans nos rapports à l’autre.
Le problème c’est que nous ne sommes plus d’impuissants enfants, nous avons aujourd’hui les moyens de répondre à ces manques d’autrefois. Mais au lieu de raisonner comme un adulte, nous continuons à raisonner comme un enfant, et nous refusons de faire le deuil de l’amour de ce parent. Pourtant, et nous l’ignorons, ce deuil est nécessaire à notre guérison, à notre libération. Alors on s’obstine à croire que la solution viendra de notre partenaire, on continue à penser qu’il sera capable de recouvrir l’amour dont nous avons manqué enfant de la part de nos parents. Et cela crée un schéma de dépendance affective.
SCHÉMA N°2 : L’ENFANT « THÉRAPEUTE » D’UN PARENT DÉFAILLANT
Prenons l’exemple d’une femme qui divorce et sombre sans la dépression après le départ de son mari. Mère d’un enfant de 12 ans, elle trouve en lui tout le soutien et l’affection nécessaires pour tenir émotionnellement. Alors, inconsciemment, la mère et son fils entrent dans une configuration soignant/soigné, où l’enfant devient le thérapeute de sa mère, et cela peut devenir leur mode privilégié de relation si ce schéma se pérennise.
Pour l’enfant, cette situation lui offre un amour maternel qui le comble ; pour la mère, un puissant réconfort, si bien que la recherche d’un nouveau compagnon passe au second plan. Malheureusement, ce type d’amour n’est pas sain car l’enfant assimile le fait que recevoir de l’amour a un prix, et il pense que s’il veut recevoir l’amour de sa mère alors il doit agir comme son thérapeute et être son sauveur émotionnel. Pour lui, le statut de sauveur est fournisseur d’amour.
Mais plus tard, l’enfant devenu adulte aura tendance à s’attacher à des personnes qui demanderont à être sauvées : les dépressifs, les alcooliques ou toxicomanes, les personnes en souffrance affectives, les complexés… Et il choisira donc un partenaire fragile émotionnellement, à l’image de sa mère déprimée qu’il n’a pas pu sauver. L’enfant devenu adulte a donc en lui un sentiment d’échec et une puissante culpabilité qui persistent et qui le poussent à s’améliorer avec son partenaire. Et cela le pousse à s’oublier, à oublier de s’épanouir personnellement et à s’enfermer dans une sorte d’isolement. L’adulte cherche alors à reproduire inlassablement ce même plan dans ses relations, il continue à chercher une relation de soignant/soigné dans le but de réussir à guérir son partenaire, à défaut d’avoir réussi à sauver sa mère.
Et puis comme sa croyance selon laquelle il ne peut être aimé que s’il accepte d’être le thérapeute de l’autre est profondément ancrée en lui, il est possible qu’inconsciemment il maintienne l’autre dans son mal-être car pour lui la guérison de sa partenaire rime avec la fin de son couple. Autrement dit, le sauveur a besoin de la souffrance du sauvé pour exister.
SCHÉMA N°3 : SE PROTÉGER DE L’ENVAHISSEMENT MATERNEL
Il n’est pas rare d’entendre un homme se plaindre de sa femme via des accusations telles que « ma femme ne me laisse pas respirer » ou « ma femme m’étouffe, elle est trop envahissante ». Il ne s’agit pas d’une méfiance à l’égard de toutes les femmes mais simplement d’une seule et unique femme : sa mère. Ce scénario est la conséquence d’un enfant qui s’est retrouvé sous l’emprise affective trop importante de sa mère, souvent dû à l’absence physique ou émotionnelle de son père. Le père absent n’a donc pas donné à son fils toute l’attention masculine dont il avait besoin, laissant à la mère le champ libre pour investir massivement son fils. Sans obstacles ni contestations sur son chemin, la mère crée une relation fusionnelle avec son fils lui inculquant implicitement qu’il doit l’aimer sans conditions. Le petit garçon a alors vécu toute son enfance avec la croyance selon laquelle il devait satisfaire en priorité tous les besoins de sa mère, avant les siens, pour être aimé en retour.
Une fois devenu adulte, l’homme pense que s’abandonner à l’amour de sa mère, de la femme, des femmes en général… revient à s’abandonner lui-même. Pour lui, être sous l’emprise de l’amour de sa mère, des femmes, est synonyme de perte d’identité et de manque d’autonomie. La relation à la mère et à la femme s’avère dangereuse pour son épanouissement personnel. Il engage alors un mécanisme de défense qui consiste à mettre de la distance physiquement et/ou psychiquement avec la femme et de ne pas trop lui révéler son espace intérieur.
Mais cette peur d’envahissement maternel se projette sur sa conjointe et l’homme a du mal à s’engager dans sa relation de couple. Pour lui, engagement rime avec envahissement. Et sa conjointe se sent abandonnée.
SCHÉMA N°4 : CONTRÔLER POUR NE PAS ÊTRE CONTRÔLÉ
Similaire au scénario précédent, il diffère dans le sens où cette fois, le petit garçon se rebelle face à l’envahissement fusionnel de sa mère.
Mais cette révolte ne se manifeste pas, elle est implicite. Le petit garçon fait de la résistance passive face à ce qu’il croit être une tentative de prise de contrôle de son être par sa mère. Devenu adulte, le garçon continue à adopter ce mode défensif avec ses conjointes. Pour éviter d’être sous l’emprise de sa femme, il développe des attitudes de contrôle vis-à-vis d’elle et empêche toute prise de contrôle féminine. Il va donc avoir tendance à plutôt choisir des femmes soumises car elles ne représentent pas une menace envers lui, tout en fantasmant sur des maîtresses toutes vêtues de cuir qui lui rappellent le plaisir d’être dominé. Son but est de ne pas laisser sa femme prendre le dessus sur lui. Ce comportement peut aboutir à des attitudes visant à diminuer voire à dévaloriser sa femme. Une attitude machiste qui prend racine dans ses peurs de petit garçon.
SCHÉMA N°5 : LA FILLE EN MANQUE DU PÈRE
Lorsque son père a été absent dans son enfance, physiquement ou affectivement, une femme peut se retrouver à l’âge adulte en manque du rôle que ce père devait jouer dans sa vie affective de femme en devenir. En effet, en tant que femme, le sentiment d’existence dépend en partie du regard que son père, en tant qu’homme, a porté sur elle. Le regard paternel, radicalement différent du regard maternel, permet à une petite fille de s’identifier comme femme et d’être validée et reconnue dans sa différence sexuelle.
Si ce regard paternel est absent, alors la femme devenue adulte ne cessera de chercher cette approbation dans les yeux des hommes dont elle se fera aimer. Cela peut entraîner une très forte exigence, une peur d’être abandonnée, un manque de confiance et la recherche d’un mari capable de combler les manques affectifs de son père. Il découle de ce scénario, des très fortes attentes quant aux pouvoirs thérapeutiques du couple qui risquent de tourner à la frustration et la colère si le couple s’avère incapable de combler ses besoins affectifs. Le conjoint se retrouve alors à subir les frais de cette souffrance de petite fille face à l’indifférence paternelle.
DES SCHÉMAS QUI SE CONJUGUENT ET S’EMBOITENT LES UNS AVEC LES AUTRES
Evidemment, ces 5 schémas ne sont que des exemples parmi tant d’autres. Néanmoins, ils nous permettent de comprendre en quoi les enjeux émotionnels de notre passé influencent notre vie relationnelle présente.
De plus, ces différents schémas peuvent se conjuguer et s’emboîter les uns dans les autres. Par exemple, si on regroupe les schémas 3, 4 et 5, on peut obtenir une jeune femme en manque du regard paternel qui va se montrer très exigeante avec son mari. Mari qui lui, de son côté, cherche inconsciemment à se dégager de l’emprise maternelle et qui ne va donc pas répondre aux attentes pressantes et pesantes de sa femme. Moins il y répond, plus elle se sent mal. Plus elle lui demande de l’aimer, plus il se sent menacé. L’homme se place alors dans une disposition défensive et crée une distance affective. La femme cherche à ramener son mari auprès d’elle quand lui cherche à s’éloigner.
Ainsi, dans une telle relation, chacun essaye de réparer ses blessures du passé mais ces souffrances les conduisent chacun à se déconnecter volontairement de l’autre. Et les deux partenaires se retrouvent dans une bien triste solitude au sein même de leur couple.
NOUS NE SOMMES PLUS DES ENFANTS : LAISSONS LE PASSÉ DERRIÈRE NOUS
Le poids du passé semble écrasant à la lecture de ce qui précède. Nous pouvons continuer à nous percevoir comme un enfant avec ce sentiment d’impuissance face à nos blessures du passé. Mais la réalité est que nous sommes bien des adultes aujourd’hui. Nous disposons d’un niveau de compréhension et de capacités de changement que l’enfant que nous étions n’avait pas. Personne n’est responsable de notre bien-être, nous en sommes les dépositaires. Nous ne pouvons pas continuer à nous déresponsabiliser et faire porter indéfiniment le chapeau à nos parents quant à nos difficultés relationnelles du présent. Pourquoi ? Parce qu’aujourd’hui nous avons les moyens de prendre nous-même en charge nos propres blessures.
Regardons en face et identifions nos points de rupture, nos vulnérabilités, nos fragilités. C’est déjà la première étape, incontournable ; Puis, deux solutions s’offrent à nous : soit nous nous acharnons à obtenir un pardon de la part de nos parents soit nous lâchons prise sur un passé qui ne pourra jamais être réécrit. Attendre le pardon n’est pas le meilleur moyen de guérir car vos parents risquent de ne pas comprendre ce que vous leur demandez ou bien de ne pas s’estimer en faute. Alors autant prendre les devants et commencer à lâcher prise, continuer votre chemin en essayant de créer votre propre bonheur présent. Assumer le passé, après l’avoir revisité, et aller de l’avant. Si non, le risque est de se retrouver dans une détresse psychique mélangée de rancœur et c’est une véritable impasse.
UNE PSYCHOTHÉRAPIE POUR AMÉLIORER SA RELATION DE COUPLE
Si votre situation de couple est telle qu’aucun de vous deux n’a le recul nécessaire pour faire la part des choses, seule une psychothérapie pourra améliorer votre situation. Il s’agit d’une thérapie individuelle dont l’enjeu est de vous aider à identifier vos scénarios du passé et de comprendre l’impact qu’ils ont sur votre colère au sein de votre couple.
Lorsque vous aurez acquis cette compréhension et cette distance par rapport à votre passé, vous serez en droit de demander à votre couple de réparer et de panser vos blessures. Vous pourrez rejouer les scénarios de votre passé en attribuant les bons rôles à chacun. Grâce à votre couple, vous pourrez apprendre ce que vous n’avez pas pu apprendre autrefois.
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